Nous n’avons jamais été étonnés d’apprendre que polisario et services algériens travaillent la main dans la main pour semer les désordres au Maroc. Ni non plus que la SM (Sécurité militaire) algérienne crée, finance et soutient militairement les séparatistes.
Ce qu’un rapport pertinent, rendu public par une organisation américaine de défense des droits de l’Homme, nous apprend ne nous surprend guère : l’implication du polisario, et particulièrement de Mohamed Ben Abdelaziz, «président» de la fantomatique «République arabe sahraouie démocratique» dans les désordres et soulèvements de Lâayoune, le financement direct de réseaux pro-polisario à l’intérieur du Maroc même, les tentatives d’implantation dans certaines villes, en dehors des provinces du sud… Bref, une vaste opération de déstabilisation à laquelle, et ce depuis un moment déjà, participent les «services algériens»…
Ceux-ci ont pour habitude de nier formellement non seulement leur implication plus qu’avérée, mais même l’intention d’attenter à la souveraineté marocaine, quitte à accuser le Maroc de paranoïa. C’est méconnaître, en effet, le machiavélisme qui n’a jamais cessé de caractériser la diplomatie algérienne, particulièrement dans cette affaire du Sahara marocain. L’ONG américaine a formellement prouvé que Mohamed Ben Abdelaziz, dit « al-Marrakchi », finance des groupuscules qui lui sont acquis à l’intérieur du Maroc, hostiles à l’unité nationale, séduits par la propagande du polisario et, ce faisant, adversaires donc de l’autonomie élargie que le Maroc a soumise aux Nations unies en avril 2007 et que la communauté mondiale soutient fermement. On remarquera qu’à l’approche de chaque échéance de négociations sur l’affaire du Sahara, les tentatives pour les entraver, voire les saboter, se multiplient.
La propagande du polisario, relayée par celle des services algériens, se met en branle avec l’objectif de brouiller les cartes et créer la confusion dans les esprits. Nous sommes à la veille des rencontres prévues la semaine prochaine à Manhasset (New York) entre le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le polisario sous la houlette de Christopher Ross, représentant spécial au Sahara du secrétaire général des Nations unies. Et une fois encore, les irréductibles adversaires de la paix et donc du projet d’autonomie, que sont l’Algérie et le polisario, n’en démordent pas de les entraver.
Le polisario et ses parrains ont choisi une tactique digne de « l’entrisme » pour créer ce que les marxistes appellent une brèche ou « front intérieur » qui dessert leur propagande et noyaute la société, sur la base de recrutements de jeunes égarés, militants de causes perdues et prêts à tout. Le schéma ne déroge pas à la tradition. Et c’est parce que, justement, le Maroc promeut les droits de l’Homme et leur corollaire, la liberté, que ces partisans du polisario ont exploité la situation pour inciter les uns et les autres aux violences et aux affrontements avec les autorités. Avec, et ce fut l’un des objectifs visés, la conséquence que le Maroc s’est vu ensuite critiquer, dénoncer non sans malveillance, par les associations pseudo-gauche d’Espagne et d’ailleurs en Europe.
À vrai dire, on n’a pas attendu les révélations de telle ou telle instance pour mesurer à quel point le polisario et ses stipendiés font de l’infiltration et de « l’agitrop » leur sport préféré. Le polisario a été créé par les services algériens et franquistes et, en novembre 1975, des groupes entiers de la population de Lâayoune, Boujdour et d’Amgalla avaient été déplacés « manu militari » dans les fourgons de la sécurité militaire algérienne vers Tindouf, le gouvernement de feu Boumedienne voulant à tout prix fabriquer des « réfugiés » aux yeux de la communauté internationale. Le malentendu n’a jamais été dissipé à ce niveau, et la méconnaissance des forfaits algériens constitue le nœud gordien de l’affaire.
Il existe une volonté d’expansionnisme territorial des dirigeants algériens qui se dissimule derrière la propagande humanitaire, qui les conduit ensuite à des actions dont la morale, diplomatique ou autre, ou simplement de voisinage ne saurait se prévaloir. Le Maroc en est d’autant plus conscient qu’il n’a jamais cédé aux interminables tentatives de déstabilisation qui sont une autre manière de lui faire la guerre…
Ce qu’un rapport pertinent, rendu public par une organisation américaine de défense des droits de l’Homme, nous apprend ne nous surprend guère : l’implication du polisario, et particulièrement de Mohamed Ben Abdelaziz, «président» de la fantomatique «République arabe sahraouie démocratique» dans les désordres et soulèvements de Lâayoune, le financement direct de réseaux pro-polisario à l’intérieur du Maroc même, les tentatives d’implantation dans certaines villes, en dehors des provinces du sud… Bref, une vaste opération de déstabilisation à laquelle, et ce depuis un moment déjà, participent les «services algériens»…
La propagande du polisario, relayée par celle des services algériens, se met en branle avec l’objectif de brouiller les cartes et créer la confusion dans les esprits. Nous sommes à la veille des rencontres prévues la semaine prochaine à Manhasset (New York) entre le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le polisario sous la houlette de Christopher Ross, représentant spécial au Sahara du secrétaire général des Nations unies. Et une fois encore, les irréductibles adversaires de la paix et donc du projet d’autonomie, que sont l’Algérie et le polisario, n’en démordent pas de les entraver.
Le polisario et ses parrains ont choisi une tactique digne de « l’entrisme » pour créer ce que les marxistes appellent une brèche ou « front intérieur » qui dessert leur propagande et noyaute la société, sur la base de recrutements de jeunes égarés, militants de causes perdues et prêts à tout. Le schéma ne déroge pas à la tradition. Et c’est parce que, justement, le Maroc promeut les droits de l’Homme et leur corollaire, la liberté, que ces partisans du polisario ont exploité la situation pour inciter les uns et les autres aux violences et aux affrontements avec les autorités. Avec, et ce fut l’un des objectifs visés, la conséquence que le Maroc s’est vu ensuite critiquer, dénoncer non sans malveillance, par les associations pseudo-gauche d’Espagne et d’ailleurs en Europe.
À vrai dire, on n’a pas attendu les révélations de telle ou telle instance pour mesurer à quel point le polisario et ses stipendiés font de l’infiltration et de « l’agitrop » leur sport préféré. Le polisario a été créé par les services algériens et franquistes et, en novembre 1975, des groupes entiers de la population de Lâayoune, Boujdour et d’Amgalla avaient été déplacés « manu militari » dans les fourgons de la sécurité militaire algérienne vers Tindouf, le gouvernement de feu Boumedienne voulant à tout prix fabriquer des « réfugiés » aux yeux de la communauté internationale. Le malentendu n’a jamais été dissipé à ce niveau, et la méconnaissance des forfaits algériens constitue le nœud gordien de l’affaire.
Il existe une volonté d’expansionnisme territorial des dirigeants algériens qui se dissimule derrière la propagande humanitaire, qui les conduit ensuite à des actions dont la morale, diplomatique ou autre, ou simplement de voisinage ne saurait se prévaloir. Le Maroc en est d’autant plus conscient qu’il n’a jamais cédé aux interminables tentatives de déstabilisation qui sont une autre manière de lui faire la guerre…