Il semble clairement que la politique algérienne, souffre d’un handicape de taille, elle souffre de plusieurs maux entrainant l’économie vers une croissance ralentie, où la baisse du pouvoir d’achat persiste et se transforme en un drame pour la majorité appauvrie.
Devant tout ce marasme qui ne veut pas changer, demeure un chef du gouvernement, qui continue d’être impopulaire selon les témoignages et les sondages effectués. Ceci n’écarte pas aussi la responsabilité des membres du gouvernement, dont la plupart des ministres aurait du, il y a longtemps déclarer son incompétence et partir par la grande porte pour ne pas continuer à saigner le pauvre citoyen et le pays avec.
Les augmentations des prix de tous les produits sont caractérisées sur le terrain, même les prix fixés et subventionnés par l’Etat Algérien, sont touchés par les augmentations anarchiques, aucun respect des lois, l’instance du contrôle demeure en panne, certains agents de la DCP, pensent toujours corruption, Ce qui serait inespéré, ce serait la prolongation du marasme économique et la reconduction de l’actuel gouvernement.
Une reconduction, selon l’opinion publique, qui provoquerait certainement remous et exaspération au sein de la majorité appauvrie et qui attend le changement qui tarde à venir.
La composition actuelle du parlement semble avoir paradoxalement et contre toute prévision donnée, un nouvel élan à l’Algérie. La déchirure que connait le parti de tous les Algériens FLN, laisse tout le Maghreb perplexe.
Si vraiment le débat politique n’arrive pas à l’emporter et si l’on ne parvient pas à juguler la puissance des intérêts de certains groupes privilégiés, on pourra assister à un nouveau marasme à l’entrée sociale prochaine et c’est grave, alors que le pays demeure en sursis et l’irruption du volcan est imminente et risque d’entrainer dans la boue le labeur de plusieurs années !
Les responsables militaires devraient être raisonnables et admettre que le temps est venu pour eux de passer la main et de se retirer de la scène politique. Ils ne peuvent pas aller à l’encontre d’une évolution devenue irréversible dans le monde, et qui, en dehors des pays de grande tradition démocratique, a déjà touché, certains pays, l’Afrique n’y échappera pas.
Selon un Général, l’Algérie a un pressant besoin d’air frais et d’oxygène et seuls des hommes aux qualités morales irréprochables peuvent le lui apporter.
Elle a besoin d’un Etat de droit et seul un régime démocratique est en mesure de le réaliser. Le Général ajoute que depuis 1992, l’Algérie est dirigée par un régime qui refuse d’assumer le pouvoir au grand jour, préférant tirer les ficelles derrière le rideau, articuler les personnages à distance et souffler le texte en coulisse. Mais ; continue notre général, le mauvais choix des acteurs désignés pour jouer le rôle principal et les turpitudes de nombre de leurs collègues, les militaires ont fini par éroder la confiance que la population avait placée en eux. Il ne faut donc pas s’étonner, qu’après une si longue coupure. L’équipe « d’hommes d’Etat » dont le président de la République voulait s’entourer n’est en définitive qu’un assemblage hétéroclite de personnalités appartenant, pour la plupart d’entre elles, à ce passé qu’il avait tant de fois décrié, comme il ne faut pas non plus s’étonner que les postes économiques clés confiés à des émigrés tous aussi coupés des réalités.
Les ministres de Ouyahia, ont presque tous failli à leur mission, il ne s’agit pas de nous faire avaler la couleuvre de l’auto route est-ouest, ou la réalisation des rames de tramway, ou plus encore la distribution de millier de couffins pour les démunis pendant le Ramadhan, car c’est toute la population algérienne appauvrie, y compris les travailleurs résiduels et les petit fonctionnaires à l’exception des policiers et douaniers ont aujourd’hui besoin de ce couffin. Depuis l’année 2000, chaque année le nombre de démunis augmente, bientôt c’est la majorité des algériens qui aura besoin de ce couffin
Ben Bri
Devant tout ce marasme qui ne veut pas changer, demeure un chef du gouvernement, qui continue d’être impopulaire selon les témoignages et les sondages effectués. Ceci n’écarte pas aussi la responsabilité des membres du gouvernement, dont la plupart des ministres aurait du, il y a longtemps déclarer son incompétence et partir par la grande porte pour ne pas continuer à saigner le pauvre citoyen et le pays avec.
Les augmentations des prix de tous les produits sont caractérisées sur le terrain, même les prix fixés et subventionnés par l’Etat Algérien, sont touchés par les augmentations anarchiques, aucun respect des lois, l’instance du contrôle demeure en panne, certains agents de la DCP, pensent toujours corruption, Ce qui serait inespéré, ce serait la prolongation du marasme économique et la reconduction de l’actuel gouvernement.
Une reconduction, selon l’opinion publique, qui provoquerait certainement remous et exaspération au sein de la majorité appauvrie et qui attend le changement qui tarde à venir.
La composition actuelle du parlement semble avoir paradoxalement et contre toute prévision donnée, un nouvel élan à l’Algérie. La déchirure que connait le parti de tous les Algériens FLN, laisse tout le Maghreb perplexe.
Si vraiment le débat politique n’arrive pas à l’emporter et si l’on ne parvient pas à juguler la puissance des intérêts de certains groupes privilégiés, on pourra assister à un nouveau marasme à l’entrée sociale prochaine et c’est grave, alors que le pays demeure en sursis et l’irruption du volcan est imminente et risque d’entrainer dans la boue le labeur de plusieurs années !
Les responsables militaires devraient être raisonnables et admettre que le temps est venu pour eux de passer la main et de se retirer de la scène politique. Ils ne peuvent pas aller à l’encontre d’une évolution devenue irréversible dans le monde, et qui, en dehors des pays de grande tradition démocratique, a déjà touché, certains pays, l’Afrique n’y échappera pas.
Selon un Général, l’Algérie a un pressant besoin d’air frais et d’oxygène et seuls des hommes aux qualités morales irréprochables peuvent le lui apporter.
Elle a besoin d’un Etat de droit et seul un régime démocratique est en mesure de le réaliser. Le Général ajoute que depuis 1992, l’Algérie est dirigée par un régime qui refuse d’assumer le pouvoir au grand jour, préférant tirer les ficelles derrière le rideau, articuler les personnages à distance et souffler le texte en coulisse. Mais ; continue notre général, le mauvais choix des acteurs désignés pour jouer le rôle principal et les turpitudes de nombre de leurs collègues, les militaires ont fini par éroder la confiance que la population avait placée en eux. Il ne faut donc pas s’étonner, qu’après une si longue coupure. L’équipe « d’hommes d’Etat » dont le président de la République voulait s’entourer n’est en définitive qu’un assemblage hétéroclite de personnalités appartenant, pour la plupart d’entre elles, à ce passé qu’il avait tant de fois décrié, comme il ne faut pas non plus s’étonner que les postes économiques clés confiés à des émigrés tous aussi coupés des réalités.
Les ministres de Ouyahia, ont presque tous failli à leur mission, il ne s’agit pas de nous faire avaler la couleuvre de l’auto route est-ouest, ou la réalisation des rames de tramway, ou plus encore la distribution de millier de couffins pour les démunis pendant le Ramadhan, car c’est toute la population algérienne appauvrie, y compris les travailleurs résiduels et les petit fonctionnaires à l’exception des policiers et douaniers ont aujourd’hui besoin de ce couffin. Depuis l’année 2000, chaque année le nombre de démunis augmente, bientôt c’est la majorité des algériens qui aura besoin de ce couffin
Ben Bri