Le projet Desertec voit enfin le bout du tunnel. Le gigantesque projet international de production d’énergie solaire démarrera en 2012 au Maroc. Paul Van Son, le PDG de Desertec Industrial Initiative (DII) a annoncé, le 5 octobre, la prochaine construction de la première unité de ce plan colossal.
Il s’agit de l’installation, sur plusieurs années, d’un réseau de centrales solaires étendu sur toute l’Afrique du Nord et le Moyen orient. L’objectif est de produire, à partir de l’énergie solaire et éolienne, de l’électricité destinée à la fois à alimenter les pays du Sud de la méditerranée et à couvrir une partie des besoins de l’Europe à l’horizon 2050.
Après plusieurs mois d’incertitudes et d’hésitations, les responsables de Desertec ont tranché. Pourtant, le choix du pays n’a pas été facile. Finalement, la stabilité politique et sociale du Maroc a été déterminante. La volonté résolue de son gouvernement de développer le secteur des énergies renouvelables a aussi pesé dans la balance.
Le Maroc est déjà engagé dans un vaste programme de production d’énergie propre. A côté de l’énergie solaire, plusieurs champs éoliens sont actuellement en service. En 2020, le pays prévoit de couvrir 42% de se besoins en électricité à partir des énergies éolienne, solaire et hydraulique.
Le Maroc est de surcroît, relié à l’Europe par deux câbles sous-marins. Autant d’arguments qui ont décidé Desertec à passer à l’action, en construisant sa première centrale solaire dès 2012, pour un investissement de 800 millions de dollars. Desertec est le fruit d’une initiative d’industriels et de financiers allemands, qui rallie au fur et à mesure d’autres organisations et opérateurs internationaux.
Leur objectif est de faire pièce aux risques liés à l’approvisionnement en énergies classiques et aux enjeux du réchauffement climatique. Le projet consiste à déployer dans le Sud et l’Est de la Méditerranée, un réseau de centrales solaires et éoliennes pour répondre aux besoins en énergie de la région et de l’Europe. Ce prodigieux programme, qui s’étendra sur plusieurs années, voire des décennies, nécessitera des investissements immenses, de l’ordre de 400 milliards d’euros.
Il s’agit de l’installation, sur plusieurs années, d’un réseau de centrales solaires étendu sur toute l’Afrique du Nord et le Moyen orient. L’objectif est de produire, à partir de l’énergie solaire et éolienne, de l’électricité destinée à la fois à alimenter les pays du Sud de la méditerranée et à couvrir une partie des besoins de l’Europe à l’horizon 2050.
Après plusieurs mois d’incertitudes et d’hésitations, les responsables de Desertec ont tranché. Pourtant, le choix du pays n’a pas été facile. Finalement, la stabilité politique et sociale du Maroc a été déterminante. La volonté résolue de son gouvernement de développer le secteur des énergies renouvelables a aussi pesé dans la balance.
Le Maroc est déjà engagé dans un vaste programme de production d’énergie propre. A côté de l’énergie solaire, plusieurs champs éoliens sont actuellement en service. En 2020, le pays prévoit de couvrir 42% de se besoins en électricité à partir des énergies éolienne, solaire et hydraulique.
Le Maroc est de surcroît, relié à l’Europe par deux câbles sous-marins. Autant d’arguments qui ont décidé Desertec à passer à l’action, en construisant sa première centrale solaire dès 2012, pour un investissement de 800 millions de dollars. Desertec est le fruit d’une initiative d’industriels et de financiers allemands, qui rallie au fur et à mesure d’autres organisations et opérateurs internationaux.
Leur objectif est de faire pièce aux risques liés à l’approvisionnement en énergies classiques et aux enjeux du réchauffement climatique. Le projet consiste à déployer dans le Sud et l’Est de la Méditerranée, un réseau de centrales solaires et éoliennes pour répondre aux besoins en énergie de la région et de l’Europe. Ce prodigieux programme, qui s’étendra sur plusieurs années, voire des décennies, nécessitera des investissements immenses, de l’ordre de 400 milliards d’euros.