"Le Polisario est une marque déposée auprès des autorités algériennes", a affirmé l’ancien chef de police du Polisario, Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, sur la chaîne d’information France 24, lors de l’émission hebdomadaire "Invité & évènement".
Pour le militant sahraoui réfugié à Nouakchott, en Mauritanie, le Polisario est "une entité fantoche servant à la consommation extérieure et à induire en erreur les sahraouis".
La communauté internationale ne reconnaît d’ailleurs pas la "RASD" qui est "parrainée par l’Algérie" explique Mustapha Salma, ajoutant que les Sahraouis veulent une "solution de juste milieu" qui mettrait fin à leurs souffrances.
Un plan d’autonomie élargie au Sahara, tel que proposé par le Maroc, dans le cadre d’un accord international, s’avère la meilleure solution pour mettre fin à ce conflit qui bloque le processus de construction du grand Maghreb arabe.
L’ancien inspecteur général de la police du Polisario, arrêté le 21 septembre 2010 par les séparatistes pour avoir exprimé son soutien au projet marocain d’autonomie au Sahara, avait été libéré fin octobre de la même année et transféré à Nouakchott. C’est de là qu’il dénonce depuis les dépassements commis à Tindouf et l’interdiction qui lui est imposée par le Polisario de visiter sa famille dans les camps de réfugiés.
Pour le militant sahraoui réfugié à Nouakchott, en Mauritanie, le Polisario est "une entité fantoche servant à la consommation extérieure et à induire en erreur les sahraouis".
La communauté internationale ne reconnaît d’ailleurs pas la "RASD" qui est "parrainée par l’Algérie" explique Mustapha Salma, ajoutant que les Sahraouis veulent une "solution de juste milieu" qui mettrait fin à leurs souffrances.
Un plan d’autonomie élargie au Sahara, tel que proposé par le Maroc, dans le cadre d’un accord international, s’avère la meilleure solution pour mettre fin à ce conflit qui bloque le processus de construction du grand Maghreb arabe.
L’ancien inspecteur général de la police du Polisario, arrêté le 21 septembre 2010 par les séparatistes pour avoir exprimé son soutien au projet marocain d’autonomie au Sahara, avait été libéré fin octobre de la même année et transféré à Nouakchott. C’est de là qu’il dénonce depuis les dépassements commis à Tindouf et l’interdiction qui lui est imposée par le Polisario de visiter sa famille dans les camps de réfugiés.