L’équipe nationale algérienne de football "représentante du monde arabe", affrontera demain la « Mannschaft » l’équipe d’Allemagne pour le compte des huitièmes de finale de la coupe du monde 2014 organisée au Brésil, soit 32 ans après l’avoir battu en Espagne en 1982.
La victoire de l’Algérie, à l’époque, avait surpris tout le monde. A présent, ce sont les joueurs de cette même équipe nationale algérienne qui reconnaissent avoir été dopés à leur insu.
Tous les joueurs de l’époque l’ont affirmé. Neuf joueurs de cette équipe ont eu des enfants handicapés. Belloumi, Assad, Ferguani, Mrezkane, ….pour ne citer que ceux-là ont tous un ou plusieurs enfants handicapés. Même Djamel Menad qui n’a participé aux éliminatoires de cette coupe de monde a eu une fille handicapée à 100%. Mohamed Chaib, également, est père de trois filles handicapées.
Ce n’est plus un doute pour ces joueurs victimes de dopage organisé par les services secrets algériens. Le scandale a éclaté aux débuts des années 2000. Tous les joueurs de l’équipe nationale algérienne se sont réunis plusieurs fois avant de décider de révéler leurs doutes à la presse. Ils voulaient connaître toute la vérité et mettre la lumière sur cette affaire. « Ce n’est pas normal que de nombreux joueurs de cette équipe aient enfantés des handicapés », interpellera Djamel Menad et d’autres qui ont pris part à cette coupe de monde.
Après enquête, ces joueurs ont fini par découvrir que le médecin « Russe » de l’équipe algérienne de l’époque (en 1982), qui leur donnait des pilules à avaler à la veille de chaque match, avait fait toute sa carrière dans les rangs du KGB. Il faut se rappeler que l’entraîneur de l’époque, n’était autre que le Kabyle Mahiedine Khalef, frère du n.1 de la Sécurité Militaire algérienne, Kasdi Merbah, de son vrai nom Mahiedine Abderamen. Il s’est avéré que c’est ce dernier qui a placé son frère à la tête de l’équipe nationale avant de prendre attache avec le KGB pour doper l’équipe algérienne et faire un bon résultat au mondial de 1982 !
Plus de 30 ans après, la vérité a failli éclater, mais le DRS,fidèle à sa réputation, a pris les choses en main. En 2010, les services algériens sont intervenus directement pour étouffer dans l’œuf ce scandale. Ils ont sommé tous les joueurs de se taire en contre partie de prises en charge, d’emplois intéressants et d’autres privilèges. Plusieurs articles sur ce sujet ont été publiés entre 2007 et 2010 par le journal Le Monde, Le Buteur, Liberté, El Watan, et la presse arabophone algérienne.
Les joueurs ont affirmé qu’ils ont été dopés à leur insu. Les responsables de la tour de Bouzaréah qui gère la presse Algérienne ont sommé également toutes les rédactions de la presse algérienne de n’écrire aucun mot sur cette affaire ! Effectivement, le DRS a étouffé l’affaire et personne n’a soufflé aucun mot, depuis !Un secret d’Etat pour le régime algérien.
Cette semaine, nous verrons de quoi est capable l’équipe Algérienne « Arabe » devant les ténors germaniques ! Avec la victoire certaine de l’Allemagne, le pouvoir algérien arrêtera peut être de nous endormir avec la victoire de l’Algérie contre l’Allemagne en Espagne un certain été 82.
Saïd F. .
Ce n’est plus un doute pour ces joueurs victimes de dopage organisé par les services secrets algériens. Le scandale a éclaté aux débuts des années 2000. Tous les joueurs de l’équipe nationale algérienne se sont réunis plusieurs fois avant de décider de révéler leurs doutes à la presse. Ils voulaient connaître toute la vérité et mettre la lumière sur cette affaire. « Ce n’est pas normal que de nombreux joueurs de cette équipe aient enfantés des handicapés », interpellera Djamel Menad et d’autres qui ont pris part à cette coupe de monde.
Après enquête, ces joueurs ont fini par découvrir que le médecin « Russe » de l’équipe algérienne de l’époque (en 1982), qui leur donnait des pilules à avaler à la veille de chaque match, avait fait toute sa carrière dans les rangs du KGB. Il faut se rappeler que l’entraîneur de l’époque, n’était autre que le Kabyle Mahiedine Khalef, frère du n.1 de la Sécurité Militaire algérienne, Kasdi Merbah, de son vrai nom Mahiedine Abderamen. Il s’est avéré que c’est ce dernier qui a placé son frère à la tête de l’équipe nationale avant de prendre attache avec le KGB pour doper l’équipe algérienne et faire un bon résultat au mondial de 1982 !
Plus de 30 ans après, la vérité a failli éclater, mais le DRS,fidèle à sa réputation, a pris les choses en main. En 2010, les services algériens sont intervenus directement pour étouffer dans l’œuf ce scandale. Ils ont sommé tous les joueurs de se taire en contre partie de prises en charge, d’emplois intéressants et d’autres privilèges. Plusieurs articles sur ce sujet ont été publiés entre 2007 et 2010 par le journal Le Monde, Le Buteur, Liberté, El Watan, et la presse arabophone algérienne.
Les joueurs ont affirmé qu’ils ont été dopés à leur insu. Les responsables de la tour de Bouzaréah qui gère la presse Algérienne ont sommé également toutes les rédactions de la presse algérienne de n’écrire aucun mot sur cette affaire ! Effectivement, le DRS a étouffé l’affaire et personne n’a soufflé aucun mot, depuis !Un secret d’Etat pour le régime algérien.
Cette semaine, nous verrons de quoi est capable l’équipe Algérienne « Arabe » devant les ténors germaniques ! Avec la victoire certaine de l’Allemagne, le pouvoir algérien arrêtera peut être de nous endormir avec la victoire de l’Algérie contre l’Allemagne en Espagne un certain été 82.
Saïd F. .