Des députés algériens favorables au gouvernement ont proposé la levée de l'état d'urgence en vigueur depuis 1992. Cette proposition est le signe d'une possible annulation de cette mesure d'exception, que l'opposition accuse de réduire les libertés politiques.
L'état d'urgence a été instauré en février 1992 en plein processus électoral suspendu par l'armée alors que les islamistes du FIS étaient en passe de devenir majoritaires au parlement.
Amélioration de la situation sécuritaire
Dans les années 1990, le gouvernement a justifié son maintien par la lutte contre les maquis islamistes puis, plus récemment, contre Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).
L'agence officielle de presse APS rapporte mercredi que 21 députés, parmi lesquels des élus du FLN au pouvoir, ont déposé une proposition de loi en faveur de la levée de l'état d'urgence. Les promoteurs de cette initiative, ajoute l'agence, considèrent que l'amélioration de la situation sécuritaire «enlève tout argument pratique au maintien de cet état de fait».
Pour être recevable, une proposition de loi doit être déposée par 20 députés au moins.
L'état d'urgence a été instauré en février 1992 en plein processus électoral suspendu par l'armée alors que les islamistes du FIS étaient en passe de devenir majoritaires au parlement.
Amélioration de la situation sécuritaire
Dans les années 1990, le gouvernement a justifié son maintien par la lutte contre les maquis islamistes puis, plus récemment, contre Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).
L'agence officielle de presse APS rapporte mercredi que 21 députés, parmi lesquels des élus du FLN au pouvoir, ont déposé une proposition de loi en faveur de la levée de l'état d'urgence. Les promoteurs de cette initiative, ajoute l'agence, considèrent que l'amélioration de la situation sécuritaire «enlève tout argument pratique au maintien de cet état de fait».
Pour être recevable, une proposition de loi doit être déposée par 20 députés au moins.