L’Algérie après avoir chassé hors de ses frontières des hommes intelligents, honnêtes et compétents dans le domaine de la gestion, est maintenant incapable de se hisser au niveau de ses voisins.
Alors pour masquer son échec, elle ne peut qu’engendrer la haine avec des pays voisins et même un peu plus éloigné ( cas de l’Egypte). Sans problèmes épineux avec son entourage, l’Algérie ne sait pas respirer et donc ne sait pas vivre dans l’entente et la cohésion d’un voisinage paisible.
Il faut être aveugle pour ne pas s’apercevoir que le Pouvoir Algérien depuis son indépendence n’a eu de cesse de saper l’entente qu’il avait avec ses voisins dont il a vite oublié l’énorme sacrifice qu’ils ont payé pour la liberté de l’Algérie. De véritables renégats en quelque sorte et le mot n’est pas fort.
Est-ce qu’on peut imaginer un seul instant qu’après tout ce que fait l’Algérie en mal à son voisin le Maroc, celui-ci pourra un jour se mettre à la même table et oublier tout le mal qu’il lui a fait se terrible voisin. Je me demande ce qu’on ces dirigeants de Musulman. Ils ont tout renié la foi, le bien et le sang qui unit ces deux peuples.
Quand au peuple, quarante années de mauvaise gestion et de haine a fini de ne plus voir clair et marche sans conscience et sans critique dans la combine du pouvoir. Puisse un jour que ce Peuple voit un peu plus claire et s’apercevoir que le Pouvoir est en train de saper toutes espérances de toutes les générations à venir.
Pour conclure, voir le Président Boutef se transformer en VRP du Polisario. Quelle honte. C’est à croire qu’il n’a aucune dignité. OUI aucune.
En fait, Bouteflika n’a qu’une seule obsession: C'est d'avoir des appuis qui l’accompagne dans le combat de sa vie contre son pays natal pour que le Maroc continue à souffrir.
Il est tellement honteux de son origine marocaine qu’il a effacé son lieu de naissance, Oujda, qui était auparavant mentionné dans sa biographie sur le site de la présidence algérienne (www.elmouradia.dz).
Il a lié la politique énergétique de l’Algérie au destin de quelques enturbannés, d’un Polisario fantôme présidé depuis 34 ans par un marocain, et dont la plupart des membres fondateurs ont réintégré le royaume.