Depuis la soit-disant réélection de Bouteflika pour un quatrième mandat, la presse algérienne ne parle plus de la maladie du tyran d’El Mouradia. Aucun mot sur sa maladie. Bouteflika est laissé tranquille. Le mondial est venu à point nommé pour faire oublier aux algériens l’incapacité physique et psychologique de Bouteflika de gérer l’Algérie.
Le même constat est fait par d’autres journalistes de la presse écrite algérienne. Le DRS qui gère à sa guise la presse en Algérie à partir de la tour de Bouzaréah à Alger ne laisse rien au hasard. Les journalistes connus pour leurs positions politiques hostiles au régime sont marginalisés par leurs responsables. Ils restent frustrés devant le bon nombre de révélations qui ne peuvent pas étaler dans la presse sur les corruptions dans lesquelles sont impliquées des hauts responsables de l’armée des membres des clans présidentielles.