Le royaume, qui a survécu aux vagues de bouleversements, qui ont changé la carte géopolitique de la région se distingue comme une force, comparé à la situation désastreuse des pays voisins.
En relations internationales, la notion de puissance régionale est une notion relative et évolutive. Dire du Maroc qu’elle est une puissance dans sa région exige la présentation des réalisations des politiques et des réformes
en plus du rapport d’influence que tient le Maroc avec son voisinage et à l’international. Il n’a pas tort celui qui a dit que les investisseurs sont malins et savent lire entre les lignes. Le sensationnel n’a pas d’effet sur les hommes d’affaires.
Ainsi, on va se mettre dans la peau d’un investisseur qui veut réaliser une croissance à l’international et qui a besoin d’une terre émergente, porteuse de profits et cultivatrice de stabilité. En effet, ce même éventuel investisseur suit de très près ce qui se passe en Espagne, en Italie, en France… et de l’autre côté, il garde sous le coude, le déstination Maroc. Il constate qu’il s’agit d’une plate-forme qui s’ouvre sur un marché africain de plus de 500 millions de consommateurs avec une croissance moyenne de 5%.
Ce même Maroc, dont 70% des exportations sont orientées vers l’Europe, n’est pas à la marge des défis de la crise financière internationale. Mais, il a su encourager la montée en puissance d’une nouvelle classe moyenne. De ce fait, en plus de la sécurité, les services de proximité et la bancarisation de l’économie, le Maroc a une jeunesse éduquée, cultivée et formée aux standards internationaux. Le royaume qui a survécu aux vagues de bouleversements qui ont changé la carte géopolitique de la région se distingue comme une force lorsqu’on le met au milieu de la situation désastreuse des pays voisins. Dans ce cas, on compare et on tranche et le choix du Maroc est ainsi fait, positivement, par défaut.
A l’heure actuelle, le Maroc compte sur un contexte très important. En effet, en cette période ou les autres vont moins bien. Mécaniquement, le positionnement du Maroc est meilleur par rapport à ses partenaires commerciaux et ses partenaires de proximité qui sont les pays du sud de l’Europe. Il est en situation favorable également par rapport aux pays du parcours méditerranéen. Ainsi, un pays peut être considéré comme une puissance régionale s’il est bien connecté avec les instances régionales et mondiales.
Le Maroc est dans ce sens membre actif de l'Organisation des Nations unies, de la Ligue arabe, de l'Union du Maghreb arabe, de la Francophonie, de l'Organisation de la coopération islamique, du Groupe des 77 et de l'Union pour la Méditerranée, et de la Communauté des États Sahélo-Sahariens. Certes, le Maroc est le seul pays africain à ne fait pas partie de l'Union Africaine, or, il peut bénéficier des services de la totalité des services de l’organisation, tels que les services de la BAD.
Si la tentative du Maroc en 1987 d’intégrer la Communauté économique européenne n’a pas rencontré de succès, en 2008, l’Union Européenne octroie au royaume 2008 un «Statut avancé». En mai 2009, il a rejoint le Centre Nord-Sud du Conseil de l'Europe. En 2004, le Maroc est désigné en tant qu'allié majeur hors-OTAN par les États-Unis.
Par ailleurs, le secteur bancaire marocain a montré qu’il est assez solide. Plusieurs champions nationaux gèrent l’activité et ils expriment un fort intérêt pour le marché domestique. Ceci dit, deux de ces banques marocaines sont des champions régionaux.
En relations internationales, la notion de puissance régionale est une notion relative et évolutive. Dire du Maroc qu’elle est une puissance dans sa région exige la présentation des réalisations des politiques et des réformes
Ainsi, on va se mettre dans la peau d’un investisseur qui veut réaliser une croissance à l’international et qui a besoin d’une terre émergente, porteuse de profits et cultivatrice de stabilité. En effet, ce même éventuel investisseur suit de très près ce qui se passe en Espagne, en Italie, en France… et de l’autre côté, il garde sous le coude, le déstination Maroc. Il constate qu’il s’agit d’une plate-forme qui s’ouvre sur un marché africain de plus de 500 millions de consommateurs avec une croissance moyenne de 5%.
Ce même Maroc, dont 70% des exportations sont orientées vers l’Europe, n’est pas à la marge des défis de la crise financière internationale. Mais, il a su encourager la montée en puissance d’une nouvelle classe moyenne. De ce fait, en plus de la sécurité, les services de proximité et la bancarisation de l’économie, le Maroc a une jeunesse éduquée, cultivée et formée aux standards internationaux. Le royaume qui a survécu aux vagues de bouleversements qui ont changé la carte géopolitique de la région se distingue comme une force lorsqu’on le met au milieu de la situation désastreuse des pays voisins. Dans ce cas, on compare et on tranche et le choix du Maroc est ainsi fait, positivement, par défaut.
A l’heure actuelle, le Maroc compte sur un contexte très important. En effet, en cette période ou les autres vont moins bien. Mécaniquement, le positionnement du Maroc est meilleur par rapport à ses partenaires commerciaux et ses partenaires de proximité qui sont les pays du sud de l’Europe. Il est en situation favorable également par rapport aux pays du parcours méditerranéen. Ainsi, un pays peut être considéré comme une puissance régionale s’il est bien connecté avec les instances régionales et mondiales.
Le Maroc est dans ce sens membre actif de l'Organisation des Nations unies, de la Ligue arabe, de l'Union du Maghreb arabe, de la Francophonie, de l'Organisation de la coopération islamique, du Groupe des 77 et de l'Union pour la Méditerranée, et de la Communauté des États Sahélo-Sahariens. Certes, le Maroc est le seul pays africain à ne fait pas partie de l'Union Africaine, or, il peut bénéficier des services de la totalité des services de l’organisation, tels que les services de la BAD.
Si la tentative du Maroc en 1987 d’intégrer la Communauté économique européenne n’a pas rencontré de succès, en 2008, l’Union Européenne octroie au royaume 2008 un «Statut avancé». En mai 2009, il a rejoint le Centre Nord-Sud du Conseil de l'Europe. En 2004, le Maroc est désigné en tant qu'allié majeur hors-OTAN par les États-Unis.
Par ailleurs, le secteur bancaire marocain a montré qu’il est assez solide. Plusieurs champions nationaux gèrent l’activité et ils expriment un fort intérêt pour le marché domestique. Ceci dit, deux de ces banques marocaines sont des champions régionaux.