En ce nouvel an 2012, année charnière ; celle de toutes les appréhensions pour la plupart de ceux qui se laissent gagner par les rumeurs, répandues par des apprentis sorciers sur la toile, d’une fin du monde. 2012 est aussi l’année des espérances pour les autres ; ceux qui, pour de bonnes raisons, savent garder la tête froide parce qu’ayant foi en Dieu.
Il est important de le dire, ne serait-ce que pour faire enrager les adeptes de Lucifer et du rite satanique de la kabbale, ou alors les faire rire. Ce qu’ils seront tentés de faire sans aucun doute, tant est grande leur assurance dans la voie de la perdition et son aboutissement aux portes des sept enfers. En cette douzième année du début du 21ème siècle, il y a aussi l’Algérie du visible et celle de l’invisible. De celle visible, tout le monde peut en observer à loisir tous les détails ; ils ne sont pas reluisants. De celle invisible et informelle, on ne peut que supputer au sujet de ce qu’elle renferme, et aussi bien pronostiquer, imaginer, construire toutes sortes de scénarii sur ses secrets, son mystère n’en demeurera pas moins épais, et le couvercle de la boîte de Pandore toujours aussi bien fermé.
Que nous réserve l’an 2012 ; il n’y a pas beaucoup d’algériens qui sauraient le dire. C’est la reconduction permanente d’un statu quo dont le contenu aussi n’arrête pas de se renouveler au fil des ans, et dont la durée est toujours indéterminée. L’état des lieux est toujours le même, sans qu’un changement visible et perceptible ne viennent troubler l’ordre rituel des choses ou, plus précisément, son désordre, consommé depuis longtemps. Nous restons à voguer d’une échéance politique à une autre et, une fois celle-ci arrivée à sa fin, nous assistons à sa tacite reconduction, dans presque les mêmes termes et les mêmes têtes… Il est question cette année d’élections communales et législatives. Tout le monde est enfiévré, du moins les prétendants aux postes politiques ; appât du gain oblige.
Le commun des algériens lui, ne s’en soucie pas beaucoup car confronté, une fois de plus, à une envolée générale et inexplicable des prix de toutes les denrées confondues, en même temps qu’il reste toujours aux prises avec les mêmes problèmes devenus, à la longue, assez récurrents. Les augmentations des prix sont pratiquées sans crier gare, parfois changeant deux fois par semaine et d’un jour à l’autre. Personne n’est en mesure de donner une quelconque explication rationnelle à ce sujet et, d’ailleurs, presque personne ne la demande non plus.
C’est certainement par la force de l’habitude, qu’habille un sentiment de lassitude et que couronne encore un état d’impuissance, face à un désert de mutisme. Les gens grouillent partout à la recherche de tout et n’importe quoi. Une manière de meubler son temps peut-être. Tout le monde s’agite, se démène et se dérange. Les routes sont sillonnées par ceux qui vont et ceux qui viennent mais aucun résultat positif et constructif ne semble surgir de toute cette formidable dynamique consentie par tous. Seuls ceux qui restent immobiles engrangent en finalité le produit de toute cette agitation.
Ce sont les barons de l’informel. D’un pays au devenir semblant plonger de plus en plus dans une situation informelle généralisée. Le seul rituel qui s’y déroule est le mouvement quotidien, tout aussi informel, de formidables masses d’argent transbahutées, qu’on ne compte plus mais que l’on pèse. C’est unique dans le monde. Ceci à l’heure de la carte de crédit. L’Algérie de 2012 est pratiquement cela et pas autre chose de ce qui compose généralement les actions communes aux autres pays de la planète.
Les débits que sont les poches des citoyens vont directement alimenter les crédits des caisses secrètes de la mafia pour lui permettre de mieux s’affermir et durer. Le seul facteur qui n’est pas pris en compte par les individus qui la composent est simplement Dieu, tout comme les satanistes, avec tout ce qui peut se produire également, en termes de surprises, au cours de cette année 2012, dont il est assuré qu’elle sera riche en évènements de toute nature, pas des moindres, ainsi que de tous ceux les moins attendus. Quand au calendrier maya, il s’est terminé le 28 octobre 2011, sans aucun évènement, hormis le fait à présent, que ces derniers affirment attendre le retour de leurs ancêtres… Ceux-là au moins savent à quoi s’en tenir. Qui vivra verra.
Il est important de le dire, ne serait-ce que pour faire enrager les adeptes de Lucifer et du rite satanique de la kabbale, ou alors les faire rire. Ce qu’ils seront tentés de faire sans aucun doute, tant est grande leur assurance dans la voie de la perdition et son aboutissement aux portes des sept enfers. En cette douzième année du début du 21ème siècle, il y a aussi l’Algérie du visible et celle de l’invisible. De celle visible, tout le monde peut en observer à loisir tous les détails ; ils ne sont pas reluisants. De celle invisible et informelle, on ne peut que supputer au sujet de ce qu’elle renferme, et aussi bien pronostiquer, imaginer, construire toutes sortes de scénarii sur ses secrets, son mystère n’en demeurera pas moins épais, et le couvercle de la boîte de Pandore toujours aussi bien fermé.
Que nous réserve l’an 2012 ; il n’y a pas beaucoup d’algériens qui sauraient le dire. C’est la reconduction permanente d’un statu quo dont le contenu aussi n’arrête pas de se renouveler au fil des ans, et dont la durée est toujours indéterminée. L’état des lieux est toujours le même, sans qu’un changement visible et perceptible ne viennent troubler l’ordre rituel des choses ou, plus précisément, son désordre, consommé depuis longtemps. Nous restons à voguer d’une échéance politique à une autre et, une fois celle-ci arrivée à sa fin, nous assistons à sa tacite reconduction, dans presque les mêmes termes et les mêmes têtes… Il est question cette année d’élections communales et législatives. Tout le monde est enfiévré, du moins les prétendants aux postes politiques ; appât du gain oblige.
Le commun des algériens lui, ne s’en soucie pas beaucoup car confronté, une fois de plus, à une envolée générale et inexplicable des prix de toutes les denrées confondues, en même temps qu’il reste toujours aux prises avec les mêmes problèmes devenus, à la longue, assez récurrents. Les augmentations des prix sont pratiquées sans crier gare, parfois changeant deux fois par semaine et d’un jour à l’autre. Personne n’est en mesure de donner une quelconque explication rationnelle à ce sujet et, d’ailleurs, presque personne ne la demande non plus.
C’est certainement par la force de l’habitude, qu’habille un sentiment de lassitude et que couronne encore un état d’impuissance, face à un désert de mutisme. Les gens grouillent partout à la recherche de tout et n’importe quoi. Une manière de meubler son temps peut-être. Tout le monde s’agite, se démène et se dérange. Les routes sont sillonnées par ceux qui vont et ceux qui viennent mais aucun résultat positif et constructif ne semble surgir de toute cette formidable dynamique consentie par tous. Seuls ceux qui restent immobiles engrangent en finalité le produit de toute cette agitation.
Ce sont les barons de l’informel. D’un pays au devenir semblant plonger de plus en plus dans une situation informelle généralisée. Le seul rituel qui s’y déroule est le mouvement quotidien, tout aussi informel, de formidables masses d’argent transbahutées, qu’on ne compte plus mais que l’on pèse. C’est unique dans le monde. Ceci à l’heure de la carte de crédit. L’Algérie de 2012 est pratiquement cela et pas autre chose de ce qui compose généralement les actions communes aux autres pays de la planète.
Les débits que sont les poches des citoyens vont directement alimenter les crédits des caisses secrètes de la mafia pour lui permettre de mieux s’affermir et durer. Le seul facteur qui n’est pas pris en compte par les individus qui la composent est simplement Dieu, tout comme les satanistes, avec tout ce qui peut se produire également, en termes de surprises, au cours de cette année 2012, dont il est assuré qu’elle sera riche en évènements de toute nature, pas des moindres, ainsi que de tous ceux les moins attendus. Quand au calendrier maya, il s’est terminé le 28 octobre 2011, sans aucun évènement, hormis le fait à présent, que ces derniers affirment attendre le retour de leurs ancêtres… Ceux-là au moins savent à quoi s’en tenir. Qui vivra verra.