Le président du Centre européen pour l'intelligence stratégique et la sécurité (ESISC), Claude Moniquet avait affirmé auparavant que les détournements de l'aide humanitaire destinée aux populations dans les camps de Tindouf sont «l'œuvre conjointe de la direction du Polisario et de certains milieux algériens proches du pouvoir».
Un rapport d'une vingtaine de pages explique comment l'aide est largement détournée au profit des dirigeants du polisario et aussi de diverses parties algériennes, a précisé le président de l'ESISC, ajoutant qu'il nous a même été confirmé de plusieurs sources, y compris algériennes, que l'Etat algérien perçoit des taxes sur une partie de l'aide.
Selon des sources sécuritaires dans la région, Omar Sahraoui est impliqué dans l'enlèvement des trois Européens dans la région de Tindouf. Lesquels auraient, selon des sources bien informées, commencé à surveiller de plus près l'aide internationale envoyée aux résidents des camps de Lahmada. Ils seraient devenus plus pointilleux après avoir eu des doutes sur la destination finale de cette aide, dont une partie se retrouve sur les marchés des pays de la région.
Une hypothèse qui pourrait expliquer que le Polisario a été derrière leur enlèvement et l'aurait fait exécuter par ses propres membres, sinon commandité à des trafiquants opérant dans la zone sahélo-saharienne sous la couverture d'Aqmi. Ce dont atteste la déclaration du président du pseudo-Parlement sahraoui, Khatri Addouh qui a annoncé, dans la nuit de mercredi à jeudi, qu'un groupe de personnes, dont des individus impliqués directement dans l'enlèvement de trois ressortissants européens à Rabouni près de Tindouf, ont été arrêtées par ses milices. Addouh qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, a expliqué qu'il s'agit d'un groupe constitué de personnes impliquées dans le crime organisé, précisant toutefois qu'"ils agissaient pour le compte d'une organisation criminelle inconnue jusqu'ici". Inconnue de qui ? Pas du Polisario, ni de la DRS algérienne qui quadrillent les lieux pour faire durer au maximum la séquestration et les souffrances des populations sahraouies qu'ils maintiennent contre leur gré dans leurs camps de concentration.
Alors que le gouvernement d’Alger consacre des millions de dollars pour ouvrir et faire fonctionner les « ambassades » et autres bureaux du Polisario à travers le monde et financer différents lobbies pour soutenir « la cause sahraoui » et, tout en achètent pour des dizaines de milliards de dollars d’équipements militaires dont une partie bénéficiera aux combattants du Polisario, les populations sahraouies refugiées en territoire algérien à Tindouf en Algérie continuent de vivre dans des conditions misérables en dépit de l’aide internationale notamment européenne qui leur est allouée.
Un rapport d'une vingtaine de pages explique comment l'aide est largement détournée au profit des dirigeants du polisario et aussi de diverses parties algériennes, a précisé le président de l'ESISC, ajoutant qu'il nous a même été confirmé de plusieurs sources, y compris algériennes, que l'Etat algérien perçoit des taxes sur une partie de l'aide.
Selon des sources sécuritaires dans la région, Omar Sahraoui est impliqué dans l'enlèvement des trois Européens dans la région de Tindouf. Lesquels auraient, selon des sources bien informées, commencé à surveiller de plus près l'aide internationale envoyée aux résidents des camps de Lahmada. Ils seraient devenus plus pointilleux après avoir eu des doutes sur la destination finale de cette aide, dont une partie se retrouve sur les marchés des pays de la région.
Une hypothèse qui pourrait expliquer que le Polisario a été derrière leur enlèvement et l'aurait fait exécuter par ses propres membres, sinon commandité à des trafiquants opérant dans la zone sahélo-saharienne sous la couverture d'Aqmi. Ce dont atteste la déclaration du président du pseudo-Parlement sahraoui, Khatri Addouh qui a annoncé, dans la nuit de mercredi à jeudi, qu'un groupe de personnes, dont des individus impliqués directement dans l'enlèvement de trois ressortissants européens à Rabouni près de Tindouf, ont été arrêtées par ses milices. Addouh qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, a expliqué qu'il s'agit d'un groupe constitué de personnes impliquées dans le crime organisé, précisant toutefois qu'"ils agissaient pour le compte d'une organisation criminelle inconnue jusqu'ici". Inconnue de qui ? Pas du Polisario, ni de la DRS algérienne qui quadrillent les lieux pour faire durer au maximum la séquestration et les souffrances des populations sahraouies qu'ils maintiennent contre leur gré dans leurs camps de concentration.
Alors que le gouvernement d’Alger consacre des millions de dollars pour ouvrir et faire fonctionner les « ambassades » et autres bureaux du Polisario à travers le monde et financer différents lobbies pour soutenir « la cause sahraoui » et, tout en achètent pour des dizaines de milliards de dollars d’équipements militaires dont une partie bénéficiera aux combattants du Polisario, les populations sahraouies refugiées en territoire algérien à Tindouf en Algérie continuent de vivre dans des conditions misérables en dépit de l’aide internationale notamment européenne qui leur est allouée.