Le militant sahraoui Mustafa Salma Ould Sidi Mouloud a affirmé que "la solution de la question du Sahara réside dans un plan d'autonomie consensuel et négocié prenant en compte les intérêts de tous".
Dans une interview accordée à la chaine de télévision "France-24 " depuis Nouakchott dans le cadre de son émission hebdomadaire "Invité & événement", Mustapha Salma a dit : "Nous voulons une solution de juste milieu, mettant fin aux souffrances des sahraouis et cela consiste en un plan d'autonomie consensuel négocié dans le cadre d'un accord international regroupant toutes les parties en vue de mettre un terme à ce conflit et ouvrant ainsi de nouvelles perspectives devant la région du Maghreb".
Selon Mustapha Salma, la communauté internationale ne reconnait pas la pseudo "rasd", "une entité fantoche destinée seulement à la consommation extérieure et à induire en erreur les sahraouis". "C'est l'Algérie qui parraine et aide le polisario qui demeure une marque déposée auprès des autorités algériennes", a-t-il précisé.
Le militant sahraoui a aussi réitéré son souhait de pouvoir rejoindre sa famille dans les camps de Tindouf le plus tô t possible, rappelant les conditions de son arrestation par les milices des mercenaires et la torture qu'il a subie dans les geô les du polisario ainsi que son éloignement forcé à Nouakchott.
S'agissant de la situation des sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf , Mustapha Salma a fait savoir que " les dirigeants du polisario les considèrent comme des citoyens de la rasd, alors que la communauté internationale, les définissent des refugiés".
Ancien Inspecteur général de la "police" du polisario, Mustafa Salma a été arrêté par les mercenaires le 21 septembre 2010, sur son chemin de retour dans les camps de Tindouf en Algérie, après avoir rendu visite à son père dans la ville de Smara dans les provinces du sud du Maroc, dans le cadre des visites familiales supervisées par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR).
Lors d'une conférence de presse, le 9 août 2010 à Smara durant sa visite au Maroc, il a annoncé, devant des notables et des Chioukhs Sahraouis, son soutien au plan d'autonomie proposé par le Maroc pour le règlement définitif du conflit du Sahara, après avoir constaté "le grand progrès des villes sahraouies et les grands efforts d'urbanisation de la région et d'intégration des sahraouis dans tous les aspects de la vie quotidienne".
Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud a annoncé également son intention de retourner aux camps de Tindouf pour expliquer et convaincre les Sahraouis des camps du bien-fondé de la proposition marocaine qualifiée de "sérieuse et crédible" par l'ONU et la communauté internationale.
Kidnappé par les milices des séparatistes puis maintenu dans un lieu de détention secrète mains menottées et yeux bandés pendant 71 jours, il ne sera relâché par le " Polisario " que sous la pression internationale et les campagnes de sensibilisation qui ont mis à nu les pratiques inhumaines des séparatistes.
Il sera ensuite remis, début décembre 2010, à la délégation du HCR en Mauritanie où il demeure toujours dans une situation de blocage, multipliant les actions de protestation avant d'entamer un sit-in ouvert devant le HCR pour réclamer " la régularisation " de sa situation en vue de retrouver sa famille.
Dans une interview accordée à la chaine de télévision "France-24 " depuis Nouakchott dans le cadre de son émission hebdomadaire "Invité & événement", Mustapha Salma a dit : "Nous voulons une solution de juste milieu, mettant fin aux souffrances des sahraouis et cela consiste en un plan d'autonomie consensuel négocié dans le cadre d'un accord international regroupant toutes les parties en vue de mettre un terme à ce conflit et ouvrant ainsi de nouvelles perspectives devant la région du Maghreb".
Selon Mustapha Salma, la communauté internationale ne reconnait pas la pseudo "rasd", "une entité fantoche destinée seulement à la consommation extérieure et à induire en erreur les sahraouis". "C'est l'Algérie qui parraine et aide le polisario qui demeure une marque déposée auprès des autorités algériennes", a-t-il précisé.
Le militant sahraoui a aussi réitéré son souhait de pouvoir rejoindre sa famille dans les camps de Tindouf le plus tô t possible, rappelant les conditions de son arrestation par les milices des mercenaires et la torture qu'il a subie dans les geô les du polisario ainsi que son éloignement forcé à Nouakchott.
S'agissant de la situation des sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf , Mustapha Salma a fait savoir que " les dirigeants du polisario les considèrent comme des citoyens de la rasd, alors que la communauté internationale, les définissent des refugiés".
Ancien Inspecteur général de la "police" du polisario, Mustafa Salma a été arrêté par les mercenaires le 21 septembre 2010, sur son chemin de retour dans les camps de Tindouf en Algérie, après avoir rendu visite à son père dans la ville de Smara dans les provinces du sud du Maroc, dans le cadre des visites familiales supervisées par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR).
Lors d'une conférence de presse, le 9 août 2010 à Smara durant sa visite au Maroc, il a annoncé, devant des notables et des Chioukhs Sahraouis, son soutien au plan d'autonomie proposé par le Maroc pour le règlement définitif du conflit du Sahara, après avoir constaté "le grand progrès des villes sahraouies et les grands efforts d'urbanisation de la région et d'intégration des sahraouis dans tous les aspects de la vie quotidienne".
Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud a annoncé également son intention de retourner aux camps de Tindouf pour expliquer et convaincre les Sahraouis des camps du bien-fondé de la proposition marocaine qualifiée de "sérieuse et crédible" par l'ONU et la communauté internationale.
Kidnappé par les milices des séparatistes puis maintenu dans un lieu de détention secrète mains menottées et yeux bandés pendant 71 jours, il ne sera relâché par le " Polisario " que sous la pression internationale et les campagnes de sensibilisation qui ont mis à nu les pratiques inhumaines des séparatistes.
Il sera ensuite remis, début décembre 2010, à la délégation du HCR en Mauritanie où il demeure toujours dans une situation de blocage, multipliant les actions de protestation avant d'entamer un sit-in ouvert devant le HCR pour réclamer " la régularisation " de sa situation en vue de retrouver sa famille.