Les nombreux rounds de négociations entre directes ou informelles entre le Maroc et le Polisario menées pendant plusieurs années par l’Onu pour le règlement du conflit du Sahara Occidental, ont abouti tous à l’impasse.
Cet enlisement fait dire aux experts et ONG qui s’y intéressent, d’envisager d’autres voies de recours pour sortir de l’impasse. Parmi les solutions alternatives, on parle de plus en plus de négociations directes mais cette fois-ci entre le Maroc et l’Algérie. C’est le cas de la parlementaire sahraouie, M'Barka Bouaida qui a affirmé la semaine dernière devant la 4ème commission de l’ONU à New York, que la solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain et dont les "origines sont connues", réside "dans l'intégration régionale" et des "négociations directes entre le Maroc et l'Algérie".
Contrairement aux prétentions de certaines parties proches du mouvement indépendantiste, le Sahara, a-t-elle soutenu, est actuellement "une région stable et bien sécurisée, tout le monde peut le constater sur place et la MINURSO le reconnaît pleinement ». S'adressant à certains pétitionnaires participant aux débats de la 4ème Commission et qui évoquaient de nouveau les évènements des campements de Gdim Izik, près de Laâyoune, (sud du Maroc), M’Barka Bouaida a insisté sur le fait qu’il n’y a pas eu de morts civils comme l’ont constaté et reconnu les ONG internationale. Elle a demandé à ces intervenants de cesser «d'instrumentaliser des tentatives vouées à l'échec et qui ont pour but de semer la zizanie interne et la confusion à l'internationale". Revenant sur le cas de sa compatriote Aminatou Haidar, la députée a rappelé qu'avant que celle-ci ne change de veste pour épouser les thèses séparatistes, elle était "d'abord Marocaine, disposant d'un passeport marocain et a accepté des indemnités payées par l'Etat marocain lors du processus de réconciliation lancé au Maroc dans le cadre de l'Instance Equité et Réconciliation (IER)".
Pour mettre un terme à ces cas isolés qui prêtent plus à la confusion qu’à autre chose de plus sérieux, la parlementaire sahraouie qui a rappelé que "les Sahraouis sont marocains et les Marocains sont sahraouis", a soutenu que le règlement du conflit passe par des négociations directes entre Rabat et Alger. Elle a en outre, appelé la Communauté internationale à "appuyer l'urgence de trouver une solution rapide à ce conflit" qui réside, selon elle, dans l'intégration régionale du Maghreb.
La députée M’barka Bouaida s’est par ailleurs félicitée du début de l’ère de démocratisation en Tunisie et en Libye. Elle s’est par contre, interrogée jusqu’à quand nos frères algériens vont-ils attendre avant de prendre conscience des nouvelles donnes dans la région et d’aller de l'avant pour trouver ensemble une solution juste et équitable au vieux conflit artificiel crée de toutes pièces par les régimes algérien de feu Houari Boumediene et libyen déchu du colonel Mouammar Kadhafi.
Cet enlisement fait dire aux experts et ONG qui s’y intéressent, d’envisager d’autres voies de recours pour sortir de l’impasse. Parmi les solutions alternatives, on parle de plus en plus de négociations directes mais cette fois-ci entre le Maroc et l’Algérie. C’est le cas de la parlementaire sahraouie, M'Barka Bouaida qui a affirmé la semaine dernière devant la 4ème commission de l’ONU à New York, que la solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain et dont les "origines sont connues", réside "dans l'intégration régionale" et des "négociations directes entre le Maroc et l'Algérie".
Contrairement aux prétentions de certaines parties proches du mouvement indépendantiste, le Sahara, a-t-elle soutenu, est actuellement "une région stable et bien sécurisée, tout le monde peut le constater sur place et la MINURSO le reconnaît pleinement ». S'adressant à certains pétitionnaires participant aux débats de la 4ème Commission et qui évoquaient de nouveau les évènements des campements de Gdim Izik, près de Laâyoune, (sud du Maroc), M’Barka Bouaida a insisté sur le fait qu’il n’y a pas eu de morts civils comme l’ont constaté et reconnu les ONG internationale. Elle a demandé à ces intervenants de cesser «d'instrumentaliser des tentatives vouées à l'échec et qui ont pour but de semer la zizanie interne et la confusion à l'internationale". Revenant sur le cas de sa compatriote Aminatou Haidar, la députée a rappelé qu'avant que celle-ci ne change de veste pour épouser les thèses séparatistes, elle était "d'abord Marocaine, disposant d'un passeport marocain et a accepté des indemnités payées par l'Etat marocain lors du processus de réconciliation lancé au Maroc dans le cadre de l'Instance Equité et Réconciliation (IER)".
Pour mettre un terme à ces cas isolés qui prêtent plus à la confusion qu’à autre chose de plus sérieux, la parlementaire sahraouie qui a rappelé que "les Sahraouis sont marocains et les Marocains sont sahraouis", a soutenu que le règlement du conflit passe par des négociations directes entre Rabat et Alger. Elle a en outre, appelé la Communauté internationale à "appuyer l'urgence de trouver une solution rapide à ce conflit" qui réside, selon elle, dans l'intégration régionale du Maghreb.
La députée M’barka Bouaida s’est par ailleurs félicitée du début de l’ère de démocratisation en Tunisie et en Libye. Elle s’est par contre, interrogée jusqu’à quand nos frères algériens vont-ils attendre avant de prendre conscience des nouvelles donnes dans la région et d’aller de l'avant pour trouver ensemble une solution juste et équitable au vieux conflit artificiel crée de toutes pièces par les régimes algérien de feu Houari Boumediene et libyen déchu du colonel Mouammar Kadhafi.