A en lire les derniers communiqués officiels de pays limitrophes du Sahel, la réponse est indéniablement oui.
Dernier communiqué en date du 11 octobre et publié par la direction des douanes malienne, le polisario est partie prenante dans le trafic d’armes et de drogues dans la zone sahélo-saharienne et ce, en relation très étroite avec l’organisation terroriste d’AQMI.
D’autres informations affirment que de nombreuses filières, composées essentiellement de maliens, nigériens et algériens seraient très actives dans cette région et ont pour vocation première d’assurer la disponibilité en véhicules, le transport et la livraison de cette marchandise (armes et drogues douces) à leur commanditaire terroriste.
En retour, le polisario se voit livrer une cargaison de cocaïne destinée à être convoyée vers l’Europe via l'Algérie.
D’ailleurs, et pour confirmer ces informations, de nombreux membres du polisario ont été arrêtés récemment par les services sécuritaires maliens, dont des officiers en uniforme. Ils seront traduits devant les tribunaux sous le chef d’inculpation de trafic de plus d’une tonne de drogue.
Ceci étant dit, l’autre question qui se pose, et qui, à mon humble avis, est fondamentale est la suivante : Peut-on imaginer un instant que des représentants de pays, dont la crédibilité au plan international et régional n’est plus à démonter, puissent s’asseoir autour d’une table de négociations avec des représentants d’une organisation mafieuse ?
Il me semble que ce serait une honte et une insulte aux règles du droit international.
Il est donc urgent que l’Union Africaine prenne une décision courageuse et conforme aux principes accords internationaux en matière de terrorisme et de lutte contre la criminalité transnationale d’exclure le polisario, mais aussi les pays qui le soutiennent.
L’organisation panafricaine se trouve désormais face au mur et il y va de sa crédibilité. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à se trouver dans cette position. Je pense aux nombreuses ONG’s, associations et défenseurs de cette organisation mafieuse qu’est en fait le polisario et ce, il faut bien le souligner, avec l’assentiment des généraux algériens qui se sucrent au passage.
Les membres de la direction de cette organisation, ainsi que ses représentants à l’étranger, devraient être poursuivis pour trafic international d’armes, de drogue, d’êtres humains et de soutien actif à une organisation terroriste, l’AQMI. Ils ne représentent en aucune façon la population sahraouie séquestrée dans les camps de la honte de Tindouf et ne peuvent prétendre parler en son nom.
Dernier communiqué en date du 11 octobre et publié par la direction des douanes malienne, le polisario est partie prenante dans le trafic d’armes et de drogues dans la zone sahélo-saharienne et ce, en relation très étroite avec l’organisation terroriste d’AQMI.
D’autres informations affirment que de nombreuses filières, composées essentiellement de maliens, nigériens et algériens seraient très actives dans cette région et ont pour vocation première d’assurer la disponibilité en véhicules, le transport et la livraison de cette marchandise (armes et drogues douces) à leur commanditaire terroriste.
En retour, le polisario se voit livrer une cargaison de cocaïne destinée à être convoyée vers l’Europe via l'Algérie.
D’ailleurs, et pour confirmer ces informations, de nombreux membres du polisario ont été arrêtés récemment par les services sécuritaires maliens, dont des officiers en uniforme. Ils seront traduits devant les tribunaux sous le chef d’inculpation de trafic de plus d’une tonne de drogue.
Ceci étant dit, l’autre question qui se pose, et qui, à mon humble avis, est fondamentale est la suivante : Peut-on imaginer un instant que des représentants de pays, dont la crédibilité au plan international et régional n’est plus à démonter, puissent s’asseoir autour d’une table de négociations avec des représentants d’une organisation mafieuse ?
Il me semble que ce serait une honte et une insulte aux règles du droit international.
Il est donc urgent que l’Union Africaine prenne une décision courageuse et conforme aux principes accords internationaux en matière de terrorisme et de lutte contre la criminalité transnationale d’exclure le polisario, mais aussi les pays qui le soutiennent.
L’organisation panafricaine se trouve désormais face au mur et il y va de sa crédibilité. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à se trouver dans cette position. Je pense aux nombreuses ONG’s, associations et défenseurs de cette organisation mafieuse qu’est en fait le polisario et ce, il faut bien le souligner, avec l’assentiment des généraux algériens qui se sucrent au passage.
Les membres de la direction de cette organisation, ainsi que ses représentants à l’étranger, devraient être poursuivis pour trafic international d’armes, de drogue, d’êtres humains et de soutien actif à une organisation terroriste, l’AQMI. Ils ne représentent en aucune façon la population sahraouie séquestrée dans les camps de la honte de Tindouf et ne peuvent prétendre parler en son nom.