Le mess des officiers de l’école interarmes de Cherchell, dans la wilaya de Tipaza, à l’ouest d’Alger a été la cible d’un attentat survenu ce soir, immédiatement après la rupture du jeun.
L’attaque aurait été perpétrée par deux kamikazes dont l’un était à bord d’une moto. Les témoins parlent d’une succession deux explosions. Les attaques ont fait, selon les sources entre un et deux morts et plusieurs dizaines de blessés.
L’attentat est survenu alors que les algériens marquaient la soirée particulière du 27ème jour du ramadhan, la nuit du destin, qui est suivi avec une grande ferveur. Visiblement, les auteurs de l’attentat cherchaient à marquer le coup à leur manière en essayant de commettre un carnage à un moment où le mess des officiers connait une affluence maximale pour la rupture du jeun. Plusieurs attentats ont été enregistrés depuis le début du ramadhan notamment en Kabylie, principale zone d’activité terroriste au nord du pays. Deux policiers et un militaire ont été tués mardi soir dans deux attentats distincts dans la région de Bordj Bou Arreridj et Boumerdes. Trois civils ont également été tués et deux autres blessés le 19 août près de la commune de Maâtkas, à 25 kilomètres au sud de Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à l'est d'Alger) lors d'un accrochage avec des hommes armés venus kidnapper un habitant de ce village. Enfin un attentat suicide a ciblé le 14 aout dernier le commissariat de Tizi-Ouzou faisant 33 blessés.
Parmi les victimes figurent 16 militaires et deux civils, a précisé une source hospitalière.
Les blessés ont été évacués vers les hôpitaux des villes voisines de Sidi Ghiles et de Tipaza et vers l'hôpital central de l'armée à Aïn-Naadja à Alger, a indiqué une source hospitalière.
Selon El Watan, les deux kamikazes voulaient faire un nombre important de victimes en tentant de s'introduire à l'intérieur du mess des officiers de l'école au moment ou tous les militaires étaient rassemblés pour rompre le jeûne.
Les groupes islamistes ont multiplié depuis le début du ramadan, le 1er août, les attentats à l'est d'Alger, particulièrement en Kabylie.
Deux policiers et un militaire ont été tués mardi soir dans deux attentats distincts dans la région de Bordj Bou Arreridj, à quelque 220 km sud-est de la capitale, et Boumerdes (50 km à l'est d'Alger).
Trois civils ont également été tués et deux autres blessés le 19 août près de la commune de Maâtkas, à 25 kilomètres au sud de Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à l'est d'Alger) lors d'un accrochage avec des hommes armés venus kidnapper un habitant de ce village.
L’attaque aurait été perpétrée par deux kamikazes dont l’un était à bord d’une moto. Les témoins parlent d’une succession deux explosions. Les attaques ont fait, selon les sources entre un et deux morts et plusieurs dizaines de blessés.
L’attentat est survenu alors que les algériens marquaient la soirée particulière du 27ème jour du ramadhan, la nuit du destin, qui est suivi avec une grande ferveur. Visiblement, les auteurs de l’attentat cherchaient à marquer le coup à leur manière en essayant de commettre un carnage à un moment où le mess des officiers connait une affluence maximale pour la rupture du jeun. Plusieurs attentats ont été enregistrés depuis le début du ramadhan notamment en Kabylie, principale zone d’activité terroriste au nord du pays. Deux policiers et un militaire ont été tués mardi soir dans deux attentats distincts dans la région de Bordj Bou Arreridj et Boumerdes. Trois civils ont également été tués et deux autres blessés le 19 août près de la commune de Maâtkas, à 25 kilomètres au sud de Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à l'est d'Alger) lors d'un accrochage avec des hommes armés venus kidnapper un habitant de ce village. Enfin un attentat suicide a ciblé le 14 aout dernier le commissariat de Tizi-Ouzou faisant 33 blessés.
Parmi les victimes figurent 16 militaires et deux civils, a précisé une source hospitalière.
Les blessés ont été évacués vers les hôpitaux des villes voisines de Sidi Ghiles et de Tipaza et vers l'hôpital central de l'armée à Aïn-Naadja à Alger, a indiqué une source hospitalière.
Selon El Watan, les deux kamikazes voulaient faire un nombre important de victimes en tentant de s'introduire à l'intérieur du mess des officiers de l'école au moment ou tous les militaires étaient rassemblés pour rompre le jeûne.
Les groupes islamistes ont multiplié depuis le début du ramadan, le 1er août, les attentats à l'est d'Alger, particulièrement en Kabylie.
Deux policiers et un militaire ont été tués mardi soir dans deux attentats distincts dans la région de Bordj Bou Arreridj, à quelque 220 km sud-est de la capitale, et Boumerdes (50 km à l'est d'Alger).
Trois civils ont également été tués et deux autres blessés le 19 août près de la commune de Maâtkas, à 25 kilomètres au sud de Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à l'est d'Alger) lors d'un accrochage avec des hommes armés venus kidnapper un habitant de ce village.