Ces criquets d'Oujda, ces étranges de frontières, ces malfaiteurs, ces bandits, ces falsificateurs, ces voyous ont transformé la joie d'un peuple a un deuil permanent, ces ennemis de l'Algérie de mes grands parents n'ont aucune traçabilité dans l'histoire de mon histoire, n'ont aucune relation avec mon islam, ma culture, ma langue, mes origines, la couleur de mes terres.
Mon Algérie est meurtrie, elle souffre le martyrs entre un despotisme qui la gouverne et un peuple qui agonise. Tous ce qui a été dit dans ce guide n'est qu'une partie de la vérité, une vérité amère, une vérité a l'image de nos dirigeants. Dans la pratique: la femme algérienne est accostée dans les bus, dans la rue "des hommes de 65 ans se comportent d’une manière obscène au passage de n'importe quel sexe féminin et de n'importe quel âge.
Ceci est le résultat d’une politique d'Etat vide de moralité et de sens, 48 années d’improvisation, d'essais, de torture, de confiscation, d'oppression, de répression, d'absence de liberté, de destruction, de falsification, de déculturation, de colmatage, de cirque, de rabotage, de trabendiste, de n'importe quoi. Nous devrions remettre l'Algérie sur les rails de 1962, restituer son indépendance, mettre le pays sur une gouvernance démocratique avec un vrai parlement, une justice au dessus de tous, le partage des richesses, la liberté d'expression et de pensée, une administration au service de l'Algérie, donner la chance a tous les algériens pour travailler l'Algérie . Mon Algérie est jalouse de l'Algérie de mes grands parents. Mon Algérie a peur de ne plus communiquer avec l'Algérie de mes enfants. L’Algérie de mes enfants n'auront pas la malchance de connaitre la gouvernance sous la dynastie d’Oujda. Ma mission est d’effacer de la mémoire collective le passage de cette dynastie après leur condamnation par contumace.
DEMOS