Capital Economics est un cabinet britannique de conseil et de recherche économique, basé à Londres. Il a produit une note destinée aux investisseurs internationaux sur l’évolution future de l’économie marocaine.
Dans une note produite le 1er octobre et dont les contenus sont détaillés par le site du quotidien économique britannique, The Financial Times, Capital Economics a indiqué que la force motrice future de l’économie marocaine sera incontestablement, son industrie automobile.
Selon le cabinet de conseil londonien, les autres secteurs d’activité économiques (Agriculture, agro-industrie, aéronautique, tourisme et services financiers) constitueraient des compléments de revenus pour l’économie marocaine autour de son tronc futur qui sera composé majoritairement de l’industrie automobile (voiture et équipements).
‘‘Le secteur automobile du pays aidera à booster la croissance du PIB de 4,5 à 5 pour cent en 2015-2016, contre les 2,5 pour cent de cette année 2014’’ a expliqué Capital Economics.
Selon ce dernier, le Maroc finira par s’affranchir de sa dépendance à sa productivité agricole, laquelle, les années de sécheresse, plombe ses indicateurs économiques. Le développement des capacités de productions automobiles, notamment le passage à l’allure supérieure de la production de l’usine Renault de Tanger (400.000 voitures par an) rapprochera le Maroc de son ambition stratégique, d’être une économie diversifiée, axée sur l'exportation, mettant à profit sa proximité avec l'Europe et les coûts relativement bas de sa main-d'œuvre.
Capital Economics a conclu que néanmoins, le royaume avait encore un long chemin à parcourir au niveau de l’équilibrage de son économie par le renforcement de ses offres et demandes internes, lesquelles sont encore fragilisées par les persistances de facteurs négatifs comme le chômage et la pauvreté qui réduisent considérablement la masse de consommateurs aux pouvoirs d’achats soutenus.
Selon le cabinet de conseil londonien, les autres secteurs d’activité économiques (Agriculture, agro-industrie, aéronautique, tourisme et services financiers) constitueraient des compléments de revenus pour l’économie marocaine autour de son tronc futur qui sera composé majoritairement de l’industrie automobile (voiture et équipements).
‘‘Le secteur automobile du pays aidera à booster la croissance du PIB de 4,5 à 5 pour cent en 2015-2016, contre les 2,5 pour cent de cette année 2014’’ a expliqué Capital Economics.
Selon ce dernier, le Maroc finira par s’affranchir de sa dépendance à sa productivité agricole, laquelle, les années de sécheresse, plombe ses indicateurs économiques. Le développement des capacités de productions automobiles, notamment le passage à l’allure supérieure de la production de l’usine Renault de Tanger (400.000 voitures par an) rapprochera le Maroc de son ambition stratégique, d’être une économie diversifiée, axée sur l'exportation, mettant à profit sa proximité avec l'Europe et les coûts relativement bas de sa main-d'œuvre.
Capital Economics a conclu que néanmoins, le royaume avait encore un long chemin à parcourir au niveau de l’équilibrage de son économie par le renforcement de ses offres et demandes internes, lesquelles sont encore fragilisées par les persistances de facteurs négatifs comme le chômage et la pauvreté qui réduisent considérablement la masse de consommateurs aux pouvoirs d’achats soutenus.