Qui ignore que la guerre de libération de l’Algérie s’est déroulée en grande partie dans la zone Sud Est du Maroc?
Qui ignore que la région de l’oriental du Maroc a constitué durant des décennies la base arrière du FLN?
Qui ignore que des millions d’algériens sont nés, ont vécu, étudié et travaillé au Maroc? Qui ignore que des liens de parenté, langue et culture ainsi que le destin commun unissent les peuples algériens et marocains?
Personne ne peut nier ces évidences historiques qui s’imposent de toute leur force à l’exception de la mafia militaro-politico-financière d’Alger qui a fait du Maroc, à tort, son ennemi juré au prix même de nuire aux intérêts de tous les pays du Maghreb.
Personne n’ignore que, même n’étant pas un pays pétrolier, le Maroc parvient tant bien que mal à remédier à son déficit socio-économique et jouit d’une rassurante stabilité politique et paix sociale que des lobbyings d’Alger, souffrant de jalousie maladive, lui envient.
Personne ne peut ignorer que le Maroc, malgré ses contraintes budgétaires, devance l’Algérie, en matière de structuration, d’aménagement et de développement de territoire de près de 50 ans. Personne ne peut ignorer que les grands projets que le Maroc a initiés dans le cadre de la déclinaison régionale des plans EMERGENCE, AZUR, MAROC VERT, RAWAJ…. ont fait du royaume du Maroc un territoire compétitif, captif et attractif.
Personne ne peut nier ces atouts, importants avantages comparatifs, sont davantage boostés par les programmes de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain, par la mise à niveau et la requalification des villes ainsi que par le renforcement de l’infrastructure routière, ferroviaire, portuaire et aéroportuaire qui a permis au Maroc de s’interconnecter à l’interne et à l’international,aux meilleures normes de vitesse, de fréquence et de compétitivité. Personne n’ignore que le Maroc qui s’est lancé dans le parachèvement de son processus démocratique, a réalisé d’importantes avancées dans le domaines des libertés et des droits de l’homme ainsi que le respect des grandes valeurs humaines mondialement reconnues.
Personne n(ignore que le Maroc, pays libéral, historiquement ouvert sur le marché mondial, est désormais, assez qualifié pour relever les défis qu’impose un monde en perpétuelle transmutation et s’arrimer aux exigences de la mondialisation.
Ces acquis, outre l’expérience et l’expertise cumulées, ont fait du Maroc une destination de prédilection pour les touristes et investisseurs algériens. Même la main d’oeuvre marocain qualifiée, notamment dans les domaines de l’agriculture et du bâtiment est convoitée par les algériens et même les institutions privées et publiques algériennes.
A mille lieux de cette réalité incontestable d’un Maroc qui, nonobstant les moyens de bord, progresse, l’Algérie sombre malencontreusement dans la morosité. En témoigne le coût considérable qu’impose le pouvoir d’Alger rien que pour soutenir le polisario militairement, diplomatiquement et financièrement alors que des centaines de milliers de ménages, écorchés jusqu’au sang, végètent et s(usent.
Ce lourd fardeau financier est encore aggravé par la dilapidation des deniers publiques et.la fuite fiscale dont le montant global dépasse largement le budget de la trésorerie algérienne. Cette politique inefficiente qu’impose les lobbyings d’Alger au peuple algérien a sérieusement accentué les déficits socio-économiques dont souffrent surtout les classes moyens, précaires et pauvres.
Combien sont-ils en Algérie ceux qui peuvent s’offrir un mouton de l’AID pour plus de 75000 DINARS? Et ce sont ces déficits causés par un pouvoir totalitariste qui ont fait de l’Algérie un terrain fertile pour la recrudescence du terrorisme tel que le confirment les actes perpétrés, des années durant, par le Groupe Islamique Armé, le Groupe des Salafistes pour la Prédilection et le combat, devenue Al Qaïda au Maghreb Islamique. AQMI.
Face à ces deux situations contradictoires défavorables aux positions historiques du pouvoir d’Alger; un Maroc qui progresse doucement et surement et un état algérien qui stagne pour ne pas dire régresse, les lobbyings d’Alger se sont engagés, vainement, à ternir la belle image du Maroc et saper ses économies d’une part et à camoufler l’amère réalité algérienne, pays pétrolier et premier exportateur mondial du gaz.
Après la fermeture de la frontière terrestre maroco algérienne en 1994 sous prétexte de contrôler le terroristes, les narcotrafiquants et les mafieux de l’immigration clandestine, Bouteflika et ses acolytes ne cessent d’instrumentaliser les média algériens pour qu’ils s’en prennent au Maroc.
L’objectif est d’entraver l’essor sans précédant que connait le Maroc et aviver l’animosité entre les deux peuples et alimenter le cœur des algériens de haine et de rancune envers leurs frères marocains.à tel point que même quand les relations tendues tendent vers le raffermissement, généraux et politicards prennent tout tout le souffle qu’il faut pour attiser les braises
Aussi, nous nous demandons si ces lobbyings ne contenteront plus maintenir la frontière terrestre fermée mais ils décideront aussi la fermeture des frontière maritime et aérienne quitte à ce que même la sœur, neveux et nièces, beaux parents et amis de Bouteflika, président de la république de l’Algérie, ne pourront se rendre en Algérie pour assister à ses funérailles.
Mohamed Zerhoudi
Qui ignore que la région de l’oriental du Maroc a constitué durant des décennies la base arrière du FLN?
Personne ne peut nier ces évidences historiques qui s’imposent de toute leur force à l’exception de la mafia militaro-politico-financière d’Alger qui a fait du Maroc, à tort, son ennemi juré au prix même de nuire aux intérêts de tous les pays du Maghreb.
Personne n’ignore que, même n’étant pas un pays pétrolier, le Maroc parvient tant bien que mal à remédier à son déficit socio-économique et jouit d’une rassurante stabilité politique et paix sociale que des lobbyings d’Alger, souffrant de jalousie maladive, lui envient.
Personne ne peut ignorer que le Maroc, malgré ses contraintes budgétaires, devance l’Algérie, en matière de structuration, d’aménagement et de développement de territoire de près de 50 ans. Personne ne peut ignorer que les grands projets que le Maroc a initiés dans le cadre de la déclinaison régionale des plans EMERGENCE, AZUR, MAROC VERT, RAWAJ…. ont fait du royaume du Maroc un territoire compétitif, captif et attractif.
Personne ne peut nier ces atouts, importants avantages comparatifs, sont davantage boostés par les programmes de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain, par la mise à niveau et la requalification des villes ainsi que par le renforcement de l’infrastructure routière, ferroviaire, portuaire et aéroportuaire qui a permis au Maroc de s’interconnecter à l’interne et à l’international,aux meilleures normes de vitesse, de fréquence et de compétitivité. Personne n’ignore que le Maroc qui s’est lancé dans le parachèvement de son processus démocratique, a réalisé d’importantes avancées dans le domaines des libertés et des droits de l’homme ainsi que le respect des grandes valeurs humaines mondialement reconnues.
Personne n(ignore que le Maroc, pays libéral, historiquement ouvert sur le marché mondial, est désormais, assez qualifié pour relever les défis qu’impose un monde en perpétuelle transmutation et s’arrimer aux exigences de la mondialisation.
Ces acquis, outre l’expérience et l’expertise cumulées, ont fait du Maroc une destination de prédilection pour les touristes et investisseurs algériens. Même la main d’oeuvre marocain qualifiée, notamment dans les domaines de l’agriculture et du bâtiment est convoitée par les algériens et même les institutions privées et publiques algériennes.
A mille lieux de cette réalité incontestable d’un Maroc qui, nonobstant les moyens de bord, progresse, l’Algérie sombre malencontreusement dans la morosité. En témoigne le coût considérable qu’impose le pouvoir d’Alger rien que pour soutenir le polisario militairement, diplomatiquement et financièrement alors que des centaines de milliers de ménages, écorchés jusqu’au sang, végètent et s(usent.
Ce lourd fardeau financier est encore aggravé par la dilapidation des deniers publiques et.la fuite fiscale dont le montant global dépasse largement le budget de la trésorerie algérienne. Cette politique inefficiente qu’impose les lobbyings d’Alger au peuple algérien a sérieusement accentué les déficits socio-économiques dont souffrent surtout les classes moyens, précaires et pauvres.
Combien sont-ils en Algérie ceux qui peuvent s’offrir un mouton de l’AID pour plus de 75000 DINARS? Et ce sont ces déficits causés par un pouvoir totalitariste qui ont fait de l’Algérie un terrain fertile pour la recrudescence du terrorisme tel que le confirment les actes perpétrés, des années durant, par le Groupe Islamique Armé, le Groupe des Salafistes pour la Prédilection et le combat, devenue Al Qaïda au Maghreb Islamique. AQMI.
Face à ces deux situations contradictoires défavorables aux positions historiques du pouvoir d’Alger; un Maroc qui progresse doucement et surement et un état algérien qui stagne pour ne pas dire régresse, les lobbyings d’Alger se sont engagés, vainement, à ternir la belle image du Maroc et saper ses économies d’une part et à camoufler l’amère réalité algérienne, pays pétrolier et premier exportateur mondial du gaz.
Après la fermeture de la frontière terrestre maroco algérienne en 1994 sous prétexte de contrôler le terroristes, les narcotrafiquants et les mafieux de l’immigration clandestine, Bouteflika et ses acolytes ne cessent d’instrumentaliser les média algériens pour qu’ils s’en prennent au Maroc.
L’objectif est d’entraver l’essor sans précédant que connait le Maroc et aviver l’animosité entre les deux peuples et alimenter le cœur des algériens de haine et de rancune envers leurs frères marocains.à tel point que même quand les relations tendues tendent vers le raffermissement, généraux et politicards prennent tout tout le souffle qu’il faut pour attiser les braises
Aussi, nous nous demandons si ces lobbyings ne contenteront plus maintenir la frontière terrestre fermée mais ils décideront aussi la fermeture des frontière maritime et aérienne quitte à ce que même la sœur, neveux et nièces, beaux parents et amis de Bouteflika, président de la république de l’Algérie, ne pourront se rendre en Algérie pour assister à ses funérailles.
Mohamed Zerhoudi