La nomination par l'Union africaine (UA) d'un prétendu «envoyé spécial» pour le Sahara est une nouvelle manœuvre désespérée de l'Etat algérien visant à détourner l'attention sur le projet marocain d'autonomie, a affirmé mercredi le porte-parole de l'Association des tribus sahraouies en Europe (ATSME), Lahcen Mahraoui.
Dans une déclaration à la MAP, Lahcen Mahraoui a souligné que l'ATSME, basée à Paris, rejette et qualifie de non évènement cette nomination et appelle la communauté internationale à n'accorder aucun crédit à cette manœuvre qui a pour dessein de parasiter le processus onusien.
«Nous nous interrogeons sur le bien-fondé d'une telle nomination qui émane d'un regroupement régional, le seul au monde au sein duquel siège un mouvement séparatiste, a-t-il affirmé, faisant remarquer que l'UA a pris une décision unilatérale sans en référer aux parties concernées par ce conflit régional.
«Depuis quand l'Union africaine est-elle plus qualifiée que l'Onu ?», s'est interrogé le porte-parole de l'ATSME, notant qu'«on peut aussi se demander qu'est ce qui peut justifier une telle nomination alors que l'Onu demeure saisie du dossier et au moment même où le projet d'autonomie présenté par le Maroc comme solution politique pour régler définitivement ce problème régional est jugé sérieux et crédible par le Conseil de sécurité dans toutes ses résolutions depuis avril 2007».
Pour Lahcen Mahraoui, l'Etat algérien, par le biais de ses pétrodollars, cherche à faire la mainmise sur ce groupement régional dont il veut se servir pour imposer son seul agenda politique : contrer l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc.
L'ATSME saisit cette occasion pour appeler les Etats africains à revoir cette Union pour gagner en crédibilité, a-t-il encore dit, insistant sur la nécessité pour l'UA de «corriger les erreurs du passé en expulsant le mouvement séparatiste du polisario et en réintégrant le Royaume du Maroc». .
«Nous nous interrogeons sur le bien-fondé d'une telle nomination qui émane d'un regroupement régional, le seul au monde au sein duquel siège un mouvement séparatiste, a-t-il affirmé, faisant remarquer que l'UA a pris une décision unilatérale sans en référer aux parties concernées par ce conflit régional.
«Depuis quand l'Union africaine est-elle plus qualifiée que l'Onu ?», s'est interrogé le porte-parole de l'ATSME, notant qu'«on peut aussi se demander qu'est ce qui peut justifier une telle nomination alors que l'Onu demeure saisie du dossier et au moment même où le projet d'autonomie présenté par le Maroc comme solution politique pour régler définitivement ce problème régional est jugé sérieux et crédible par le Conseil de sécurité dans toutes ses résolutions depuis avril 2007».
Pour Lahcen Mahraoui, l'Etat algérien, par le biais de ses pétrodollars, cherche à faire la mainmise sur ce groupement régional dont il veut se servir pour imposer son seul agenda politique : contrer l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc.
L'ATSME saisit cette occasion pour appeler les Etats africains à revoir cette Union pour gagner en crédibilité, a-t-il encore dit, insistant sur la nécessité pour l'UA de «corriger les erreurs du passé en expulsant le mouvement séparatiste du polisario et en réintégrant le Royaume du Maroc». .