Après une trêve qui a durée de la réélection d’Abdelaziz Bouteflika jusqu’à la veille du mois de ramadan, les hostilités sont reparties de plus belle entre les clans du pouvoir.
Ainsi, le chef de l’état-major Gaïd Salah aurait, devant des témoins éberlués, juré ses grands Dieux de « dégommer » avant la fin de l’été le patron du DRS, le général Mohamed Mediène.
Cet excès de colère serait du selon nos sources à un entretien entre Gaïd Salah et le frère du président Saïd qui l’aurait informé d’une demande faite à Abdelaziz Bouteflika par de hauts gradés de l’armée de remplacer l’actuel chef d’état-major.
Saïd Bouteflika aurait même affirmé à Gaïd Salah que c’est el DRS qui aurait ameuté tout ce beau monde là. La réaction donc du vice-ministre de la défense ne s’est pas fait attendre, puisqu’il a demandé à la justice militaire de poursuivre l’instruction du dossier du général Hasan, qui a dirigé pendant longtemps les services de la lutte antiterroriste.
Ce proche de Mohamed Mediène a été mis en résidence surveillée et risquerait même la peine de mort si les charges retenues contre lui venaient à être confirmées par la justice. Un nouveau round dans la guerre des clans est donc engagé, et plusieurs observateurs parient que ce ne sera pas le dernier.
Ainsi, le chef de l’état-major Gaïd Salah aurait, devant des témoins éberlués, juré ses grands Dieux de « dégommer » avant la fin de l’été le patron du DRS, le général Mohamed Mediène.
Saïd Bouteflika aurait même affirmé à Gaïd Salah que c’est el DRS qui aurait ameuté tout ce beau monde là. La réaction donc du vice-ministre de la défense ne s’est pas fait attendre, puisqu’il a demandé à la justice militaire de poursuivre l’instruction du dossier du général Hasan, qui a dirigé pendant longtemps les services de la lutte antiterroriste.
Ce proche de Mohamed Mediène a été mis en résidence surveillée et risquerait même la peine de mort si les charges retenues contre lui venaient à être confirmées par la justice. Un nouveau round dans la guerre des clans est donc engagé, et plusieurs observateurs parient que ce ne sera pas le dernier.