Le dernier des chefs historiques de l’Algérie aurait émis le souhait d’être enterré au Maroc comme l’ensemble des membres de sa famille décédés. L’information rapportée par un site d’information algérien, qui cite une source diplomatique proche d’Aït Ahmed, indique même que ce vœu de l’un des derniers chefs de la Résistance algérienne encore en vie a été exprimé depuis fort longtemps.
Hocine Aït Ahmed, ancien responsable de la fameuse Organisation Secrète, né en 1926 à Michelet en Kabylie, avait dirigé le Front des forces socialistes, FFS, parti qui a incarné pendant longtemps l’opposition au pouvoir algérien, avant d’en quitter la direction, dernièrement, laissant la relève aux jeunes cadres du parti.
Il fait partie des six chefs historiques enlevés, dans un avion, en 1957, par les services secrets français. Aït Ahmed dira plus tard que «le Roi du Maroc avait tout fait pour nous libérer. Il a même proposé son propre fils aux autorités françaises contre notre libération».
Rattrapé par son âge, Hocine Aït Ahmed, né en 1926 à Michelet, a pris enfin la décision de quitter la présidence de son parti, le Front des Forces Socialistes (FFS). Il n’était pas présent aux travaux du dernier congrès de son parti, tenu le week-end passé à Alger. Le responsable de la fameuse Organisation Secrète avait assisté deux jours auparavant aux funérailles de sa sœur et d’un cousin au Maroc.
Selon un ancien diplomate Algérien qui habite la région de Lausanne et qui a rencontré plusieurs fois Hocine Aït Ahmed, ce dernier aurait émis le souhait d’être enterré au Maroc comme l’ensemble des membres de sa famille décédés.
Selon toujours la même source, ce vœu de l’enfant prodige de Michelet a été exprimé depuis fort longtemps. Si cette information s’avérait vraie, cela sera le premier chef Algérien à être enterré à l’étranger.
Le dernier des chefs historiques avait porté un témoignage sur le plateau d’une chaîne de télévision marocaine concernant le détournement de l’avion qui transportait les six chefs historiques en 1957 au Maroc par les services secrets français, dont faisait partie Aït Ahmed. « Le roi du Maroc (Mohamed V, ndr) avait tout fait pour nous libérer..», un témoignage lourd de sens, quant aux accusations sans fondements au sujet du détournement de l’avion des responsables du FLN durant la guerre de libération nationale.
« Aït Ahmed ne s’est jamais déplacé à Alger secrètement, ni lors de ce congrès ni lors des élections législatives. Il ne fait confiance à personne, même ici en Suisse il est très méfiant et ne fréquente pas n’importe quel endroit. Il ne se déplace jamais seul », dira la même source.
L’ancien diplomate algérien est allé jusqu’à démentir les informations faisant état de la vente de la villa de Hocine Aït Ahmed à Alger, affirme le site algérien « Izwawen » qui a rapporté cette infos.. .
Il fait partie des six chefs historiques enlevés, dans un avion, en 1957, par les services secrets français. Aït Ahmed dira plus tard que «le Roi du Maroc avait tout fait pour nous libérer. Il a même proposé son propre fils aux autorités françaises contre notre libération».
Rattrapé par son âge, Hocine Aït Ahmed, né en 1926 à Michelet, a pris enfin la décision de quitter la présidence de son parti, le Front des Forces Socialistes (FFS). Il n’était pas présent aux travaux du dernier congrès de son parti, tenu le week-end passé à Alger. Le responsable de la fameuse Organisation Secrète avait assisté deux jours auparavant aux funérailles de sa sœur et d’un cousin au Maroc.
Selon un ancien diplomate Algérien qui habite la région de Lausanne et qui a rencontré plusieurs fois Hocine Aït Ahmed, ce dernier aurait émis le souhait d’être enterré au Maroc comme l’ensemble des membres de sa famille décédés.
Selon toujours la même source, ce vœu de l’enfant prodige de Michelet a été exprimé depuis fort longtemps. Si cette information s’avérait vraie, cela sera le premier chef Algérien à être enterré à l’étranger.
Le dernier des chefs historiques avait porté un témoignage sur le plateau d’une chaîne de télévision marocaine concernant le détournement de l’avion qui transportait les six chefs historiques en 1957 au Maroc par les services secrets français, dont faisait partie Aït Ahmed. « Le roi du Maroc (Mohamed V, ndr) avait tout fait pour nous libérer..», un témoignage lourd de sens, quant aux accusations sans fondements au sujet du détournement de l’avion des responsables du FLN durant la guerre de libération nationale.
« Aït Ahmed ne s’est jamais déplacé à Alger secrètement, ni lors de ce congrès ni lors des élections législatives. Il ne fait confiance à personne, même ici en Suisse il est très méfiant et ne fréquente pas n’importe quel endroit. Il ne se déplace jamais seul », dira la même source.
L’ancien diplomate algérien est allé jusqu’à démentir les informations faisant état de la vente de la villa de Hocine Aït Ahmed à Alger, affirme le site algérien « Izwawen » qui a rapporté cette infos.. .