Casablanca, capitale économique du Royaume, est en passe de devenir un «hub financier leader dans le continent africain», écrit jeudi «Forbes Magazine» dans son pendant électronique, en rappelant qu'il s'agit là d'une «ambition royale formulée avec une ferme volonté depuis le début du règne du Souverain».
«Depuis l'accession au Trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Souverain a nourri une ambition formulée avec une ferme volonté, celle de faire de la grande métropole marocaine et centre économique, une plateforme financière leader dans le continent africain», souligne le magazine américain dans un article intitulée : «Le Roi Mohammed VI édifie une nouvelle citée financière pour le monde».
Afin de concrétiser cet objectif, S.M. le Roi a annoncé, en 2010, la création de «Casablanca Finance City» (CFC), qui «constitue un centre financier régional, ainsi qu'une porte d'entrée privilégiée pour l'Afrique du Nord, de l'Ouest et Centrale», indique la publication, en précisant que la place financière de Casablanca se fixe pour objectif d'attirer les grandes institutions financières nationales et internationales qui souhaitent accéder et opérer dans les marchés africains francophones.
Parmi les activités de la CFC figure «la vente d'accès aux marchés de l'Afrique francophone, en octroyant des avantages fiscaux et financiers aux institutions concernées, ainsi qu'aux prestataires de services telles que les compagnies de consulting et aux grandes multinationales ayant des filiales régionales», note Abdelmalek Alaoui, membre dirigeant de «Global Intelligence Headquarters», dont les propos sont rapportés par «Forbes Magazine».
Bien que la CFC est en cours de construction sur quelque 100 hectares au cœur de Casablanca, des compagnies de par le monde ont, déjà, déposé des demandes pour obtenir des licences d'exploitation, fait observer la publication américaine qui met en exergue l'«attrait grandissant» qu'exerce la CFC sur les investisseurs internationaux, précisant que jusqu'à présent pas moins de 25 compagnies ont obtenu le statut CFC.
«Nous voulons attirer les poids lourds mondiaux de la finance et des services professionnels tels que Goldman Sachs, Citigroup, JP Morgan, General Electric, Bowman Gilfillan, entres autres», souligne, pour sa part, un haut cadre de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI).
«Forbes Magazine» indique, dans ce cadre, qu'un nombre croissant de compagnies internationales se sont installées dans le Royaume, car elles considèrent le Maroc en tant que «plateforme convenable pour leurs investissements en Afrique du Nord, de l'ouest et centrale, et en tant que pays disposant d'une infrastructure de classe mondiale, de main d'oeuvre qualifiée, et d'un climat favorable aux affaires».
Said Ibrahimi, directeur général de la Société d'aménagement et de gestion de la CFC explique qu'avec cette place financière «nous fournirons des réponses pragmatiques à ces compagnies internationales qui souhaitent faire converger leurs activités financières en Afrique».
Afin de concrétiser cet objectif, S.M. le Roi a annoncé, en 2010, la création de «Casablanca Finance City» (CFC), qui «constitue un centre financier régional, ainsi qu'une porte d'entrée privilégiée pour l'Afrique du Nord, de l'Ouest et Centrale», indique la publication, en précisant que la place financière de Casablanca se fixe pour objectif d'attirer les grandes institutions financières nationales et internationales qui souhaitent accéder et opérer dans les marchés africains francophones.
Parmi les activités de la CFC figure «la vente d'accès aux marchés de l'Afrique francophone, en octroyant des avantages fiscaux et financiers aux institutions concernées, ainsi qu'aux prestataires de services telles que les compagnies de consulting et aux grandes multinationales ayant des filiales régionales», note Abdelmalek Alaoui, membre dirigeant de «Global Intelligence Headquarters», dont les propos sont rapportés par «Forbes Magazine».
Bien que la CFC est en cours de construction sur quelque 100 hectares au cœur de Casablanca, des compagnies de par le monde ont, déjà, déposé des demandes pour obtenir des licences d'exploitation, fait observer la publication américaine qui met en exergue l'«attrait grandissant» qu'exerce la CFC sur les investisseurs internationaux, précisant que jusqu'à présent pas moins de 25 compagnies ont obtenu le statut CFC.
«Nous voulons attirer les poids lourds mondiaux de la finance et des services professionnels tels que Goldman Sachs, Citigroup, JP Morgan, General Electric, Bowman Gilfillan, entres autres», souligne, pour sa part, un haut cadre de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI).
«Forbes Magazine» indique, dans ce cadre, qu'un nombre croissant de compagnies internationales se sont installées dans le Royaume, car elles considèrent le Maroc en tant que «plateforme convenable pour leurs investissements en Afrique du Nord, de l'ouest et centrale, et en tant que pays disposant d'une infrastructure de classe mondiale, de main d'oeuvre qualifiée, et d'un climat favorable aux affaires».
Said Ibrahimi, directeur général de la Société d'aménagement et de gestion de la CFC explique qu'avec cette place financière «nous fournirons des réponses pragmatiques à ces compagnies internationales qui souhaitent faire converger leurs activités financières en Afrique».