A quelques mois de la fin du troisième quinquennat du président algérien Abdelaziz Bouteflika (2010-2014), les projets préconisés pour ce mandat sont encore à la traîne. 70% de ces projets n'ont pas encore démarré.
En effet, selon les données requises du service d'orientation pour la préparation de la loi de finances 2014, certains secteurs stratégiques n'ont pas pu consommer plus de 30% des budgets alloués dans le cadre du
troisième quinquennat, tels que: les secteurs du logement, de l'énergie et des mines, en particulier les projets spéciaux pour réaliser 13 stations de dessalement d'eau de mer, dont la réalisation a été confiée au ministère, à l’ère de l'ancien ministre, Chakib Khelil, dans une des conditions où la transparence fait défaut, ainsi que ceux de l’intérieur et collectivités locales, dans les plans de développement municipaux; souligne Echorouk.
Ce retard figure parmi les raisons directes pour annuler la loi de finances complémentaire 2013, par le ministre Abdelmalek Sellal, selon une source liée à la préparation du projet de loi de finances complémentaire, rapportée par le quotidien algérien.
Le document du cadre spécial sur la loi des finances 2014, a révélé que le secteur du logement qui a enregistré le plus grand retard dans l'achèvement du quintet du programme ancien, dont le montant dépasse 360 milliards de dinars, un an avant la fin du quinquennat, un retard qui a coïncidé avec le report supplémentaire que le gouvernement a tenté d'enregistrer dans la loi de finances complémentaire annulée, estimée à 150 mille nouvelles unités.
Ainsi, selon la même source, le rythme de la réalisation des projets publiques confirme que le gouvernement maîtrise la distribution des promesses plus que l’exécution de son engagement, en particulier les projets de logement, les travaux publics, le transport, la santé et l'éducation.
En effet, selon les données requises du service d'orientation pour la préparation de la loi de finances 2014, certains secteurs stratégiques n'ont pas pu consommer plus de 30% des budgets alloués dans le cadre du
Ce retard figure parmi les raisons directes pour annuler la loi de finances complémentaire 2013, par le ministre Abdelmalek Sellal, selon une source liée à la préparation du projet de loi de finances complémentaire, rapportée par le quotidien algérien.
Le document du cadre spécial sur la loi des finances 2014, a révélé que le secteur du logement qui a enregistré le plus grand retard dans l'achèvement du quintet du programme ancien, dont le montant dépasse 360 milliards de dinars, un an avant la fin du quinquennat, un retard qui a coïncidé avec le report supplémentaire que le gouvernement a tenté d'enregistrer dans la loi de finances complémentaire annulée, estimée à 150 mille nouvelles unités.
Ainsi, selon la même source, le rythme de la réalisation des projets publiques confirme que le gouvernement maîtrise la distribution des promesses plus que l’exécution de son engagement, en particulier les projets de logement, les travaux publics, le transport, la santé et l'éducation.