Le général-major Mehenna Djebbar n’est plus le patron de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) dépendant du DRS. Selon nos informations, le président Abdelaziz Bouteflika a décidé de mettre fin à ses fonctions.
Notre source n’a pas indiqué le nom de son remplaçant. Le général-major Djebbar était considéré comme l’un des éléments les plus influents du DRS. La DCSA est une structure stratégique du DRS.
Ce nouveau changement intervient au lendemain du remaniement ministériel. Il intervient également dans un contexte marqué par une restructuration du DRS. trois directions (la presse, la DCSA et la police judiciaire) ont été transférées à l’état-major de l’armée, dont le chef, le général de corps d’armée Ahmed Gaid Salah, a vu ses pouvoirs renforcés.
Le président Abdelaziz Bouteflika avait opéré ce mercredi 11 septembre d’importants changements au sein du gouvernement avec le limogeage de plusieurs ministres. Avant ce remaniement, le chef de l'État avait amputé le DRS du service de la communication, de la direction de la sécurité de l’armée et de la police judiciaire.
Le Département renseignement et sécurité est en train d’être détricoté par le président. Après le général Djebbar, à qui le tour ? Le général Toufik ?
Bouteflika entouré Gaïd Salah et Sellal.Bouteflika s’attaque frontalement à la citadelle du Département du renseignement et sécurité (DRS). Qui l’eût cru quand on sait que sans ce service de renseignement, Bouteflika n’aurait jamais été ce locataire plénipotentiaire du palais présidentiel ? Mais l’histoire est faite de retournements qu’il est souvent difficile de prévoir.
Le DRS qui donnait des frissons aux Algériens voit ses responsables dégommés les uns après les autres. Le président a mis fin aux fonctions du terrible Mehenna Djebbar, le bras droit du patron du DRS. L’information révélée par TSA et non confirmée officiellement vaut son pesant de poudre. Car Djebbar, responsable de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA), était jusque-là presque un intouchable. Le messie de dieu, le général Toufik. Cela veut-il dire que le clan présidentiel a désormais pris le dessus sur le DRS dont on le disait l’adversaire ?
Instruit de cette proximité des deux généraux, il n’y a pas lieu de s’étonner de ce limogeage, puisque ladite DCSA comme d’ailleurs la communication et la police judiciaire, est passée sous la coupe de l’armée, autrement dit le général Gaïd Salah, tout-puissant vice-ministre de la Défense National, chef de l’état-major de l’Armée, et fidèle de Bouteflika. Reste le général Toufik, intouchable patron du DRS depuis 1989. Sera-t-il la prochaine cible du président ? Les jours prochains nous le diront.
Notre source n’a pas indiqué le nom de son remplaçant. Le général-major Djebbar était considéré comme l’un des éléments les plus influents du DRS. La DCSA est une structure stratégique du DRS.
Le président Abdelaziz Bouteflika avait opéré ce mercredi 11 septembre d’importants changements au sein du gouvernement avec le limogeage de plusieurs ministres. Avant ce remaniement, le chef de l'État avait amputé le DRS du service de la communication, de la direction de la sécurité de l’armée et de la police judiciaire.
Le Département renseignement et sécurité est en train d’être détricoté par le président. Après le général Djebbar, à qui le tour ? Le général Toufik ?
Bouteflika entouré Gaïd Salah et Sellal.Bouteflika s’attaque frontalement à la citadelle du Département du renseignement et sécurité (DRS). Qui l’eût cru quand on sait que sans ce service de renseignement, Bouteflika n’aurait jamais été ce locataire plénipotentiaire du palais présidentiel ? Mais l’histoire est faite de retournements qu’il est souvent difficile de prévoir.
Le DRS qui donnait des frissons aux Algériens voit ses responsables dégommés les uns après les autres. Le président a mis fin aux fonctions du terrible Mehenna Djebbar, le bras droit du patron du DRS. L’information révélée par TSA et non confirmée officiellement vaut son pesant de poudre. Car Djebbar, responsable de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA), était jusque-là presque un intouchable. Le messie de dieu, le général Toufik. Cela veut-il dire que le clan présidentiel a désormais pris le dessus sur le DRS dont on le disait l’adversaire ?
Instruit de cette proximité des deux généraux, il n’y a pas lieu de s’étonner de ce limogeage, puisque ladite DCSA comme d’ailleurs la communication et la police judiciaire, est passée sous la coupe de l’armée, autrement dit le général Gaïd Salah, tout-puissant vice-ministre de la Défense National, chef de l’état-major de l’Armée, et fidèle de Bouteflika. Reste le général Toufik, intouchable patron du DRS depuis 1989. Sera-t-il la prochaine cible du président ? Les jours prochains nous le diront.