La consommation de drogue, qui a pris des proportions inquiétantes en Algérie, touche aussi la police. Des tests médicaux ont confirmé la dépendance de 24 gardiens de la paix à la drogue, dont six à Tipaza, cinq à Oran et quatre à Bordj Bou Arreridj, a-t-on appris ce samedi 14 septembre auprès d’une source policière.
Pour stopper la propagation de ce phénomène dans les rangs de la police, le directeur général de la DGSN, Abdelghani Hamel, a ordonné à l’ensemble des chefs des sûretés de wilayas de faire preuve d’intransigeance vis-à-vis des agents dont la consommation de drogue a été confirmée et de procéder à leur licenciement, selon la même source.
Le responsable de la direction de communication de la DGSN, Djilali Boudalia, a estimé qu’il s’agit d’un chiffre « trop exagéré », mais sans donner de précisions sur le nombre de policiers consommateurs de drogue. « Cependant, il y a lieu de préciser que ces premiers résultats ont été dépistés lors d’un ensemble d’analyses médicales que la Sûreté nationale effectue depuis très longtemps et de manière périodique à ses personnels, à travers ses services spécialisés de la santé et l’action sociale », affirme-t-il.
« Le recours au contrôle et au suivi de l’état de santé des policiers a toujours existé et fait l’objet d’un suivi rigoureux par la hiérarchie, et chaque mention est soigneusement écrite dans le livret de santé de chaque fonctionnaire ». Au cas où un fonctionnaire est contrôlé positif dans les tests préventifs, « il fera l’objet de mesures qui s’imposent conformément au code de déontologie et de l’éthique policière, et ce, à l’instar des différents services de police du monde ».
La formation accélérée de des policiers algériens a fait que leur niveau soit incohérent avec leur fonction sur le terrain en matière de circulation surtout la gente féminine qui passe son temps à discuter avec son collègue masculin si ce n'est pas avec son portable ce qui la rend indifférente à l'encombrement. Les policiers algériens sont mal renseignés sur la cartographie de la ville au vu de la demande des étrangers de passage, ne serait qu'ils soient porteurs des dépliants du plan de la ville. A moins qu'ils ne sont forgés que pour matraquer le peuple et garder le temple.
Le responsable de la direction de communication de la DGSN, Djilali Boudalia, a estimé qu’il s’agit d’un chiffre « trop exagéré », mais sans donner de précisions sur le nombre de policiers consommateurs de drogue. « Cependant, il y a lieu de préciser que ces premiers résultats ont été dépistés lors d’un ensemble d’analyses médicales que la Sûreté nationale effectue depuis très longtemps et de manière périodique à ses personnels, à travers ses services spécialisés de la santé et l’action sociale », affirme-t-il.
« Le recours au contrôle et au suivi de l’état de santé des policiers a toujours existé et fait l’objet d’un suivi rigoureux par la hiérarchie, et chaque mention est soigneusement écrite dans le livret de santé de chaque fonctionnaire ». Au cas où un fonctionnaire est contrôlé positif dans les tests préventifs, « il fera l’objet de mesures qui s’imposent conformément au code de déontologie et de l’éthique policière, et ce, à l’instar des différents services de police du monde ».
La formation accélérée de des policiers algériens a fait que leur niveau soit incohérent avec leur fonction sur le terrain en matière de circulation surtout la gente féminine qui passe son temps à discuter avec son collègue masculin si ce n'est pas avec son portable ce qui la rend indifférente à l'encombrement. Les policiers algériens sont mal renseignés sur la cartographie de la ville au vu de la demande des étrangers de passage, ne serait qu'ils soient porteurs des dépliants du plan de la ville. A moins qu'ils ne sont forgés que pour matraquer le peuple et garder le temple.