Des universitaires algériens mandatés par le régime, ont appelé le front Polisario, à faire usage d’avantages de nouvelles technologies d’information et de communication (NTIC), pour mieux maculer l’image du Maroc auprès de l’opinion internationale.
Boumerdes, à l'université Mohamed Bouguerra, où se tient un forum de propagande du Polisario, organisé et chèrement financé, par le régime algérien, des universitaires payés pour y prendre la parole, ont indiqué qu’il était primordial pour les séparatistes du Polisario d’exploiter à outrance, les NTIC afin de casser à l’international, l’image médiatique du Maroc, objectif stratégique et coutant fort cher au régime d’Alger.
Ainsi, un universitaire algérien dénommé Mohamed Laagab, a souligné la nécessité pour l’Algérie que le Polisario ouvre «un front électronique» contre le Maroc.
«Facebook et Youtube, ont prouvé leur efficacité» pour mener campagne contre l’ennemi, a expliqué l’agent algérien à son auditoire polisarien.
Dans le même sens, fut l’intervention d’un autre universitaire algérien, agent du régime, dénommé Abdelali Rezagui, qui a appelé le Polisario à «investir massivement internet, notamment les réseaux sociaux pour amener l'opinion internationale» à regarder le Maroc négativement au quotidien.
«Il faut ouvrir des canaux de communication surtout avec les citoyens des pays influents à l'ONU, particulièrement les Etats-Unis, la Chine, la France, l'Allemagne et le Japon. Il s'agit de pays où l'opinion publique est prise en considération», a-t-il affirmé, rapporte l’agence d’orientation du régime, l’APS.
Ainsi, un universitaire algérien dénommé Mohamed Laagab, a souligné la nécessité pour l’Algérie que le Polisario ouvre «un front électronique» contre le Maroc.
«Facebook et Youtube, ont prouvé leur efficacité» pour mener campagne contre l’ennemi, a expliqué l’agent algérien à son auditoire polisarien.
Dans le même sens, fut l’intervention d’un autre universitaire algérien, agent du régime, dénommé Abdelali Rezagui, qui a appelé le Polisario à «investir massivement internet, notamment les réseaux sociaux pour amener l'opinion internationale» à regarder le Maroc négativement au quotidien.
«Il faut ouvrir des canaux de communication surtout avec les citoyens des pays influents à l'ONU, particulièrement les Etats-Unis, la Chine, la France, l'Allemagne et le Japon. Il s'agit de pays où l'opinion publique est prise en considération», a-t-il affirmé, rapporte l’agence d’orientation du régime, l’APS.