Les chômeurs menacent de reprendre leur mouvement de protestation dès septembre . Après une accalmie relative, les chômeurs reviennent sur la scène pour dénoncer l’inertie des pouvoirs publics qui tardent à concrétiser les promesses faites par le gouvernement.
Le CNDDC menace dans un communiqué «d'aller plus loin en radicalisant son action de ce mois de septembre, si la situation des chômeurs perdure».
Dans un communiqué transmis à notre rédaction dans la soirée d'hier, le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) revient à la charge et annonce l'organisation d'un large mouvement de protestation «pour interpeller les autorités, en particulier le cabinet du Premier ministre».
Contacté hier dans la soirée par notre confrère InfoSoir, Tahar Belabès, coordinateur du CNDDC, annonce la couleur. «Nous allons reprendre notre mouvement de protestation dès ce mois de septembre», nous dit-il, avant d’ajouter que le mouvement qu’il dirige «est impatient quant à la mise en application des mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre, lesquelles sont toujours, selon lui, au stade des promesses».
Les autorités locales, notamment dans les wilayas de Sud, sont montrées du doigt par le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) qui n’a pas hésité de menacer d’aller plus loin en radicalisant son action si la situation perdure.
Dans un communiqué, le CNDDC souligne que leur décision fait suite à la position des autorités qui continuent à marginaliser ces jeunes qui ne réclament que l’amélioration de leurs conditions sociales, dont le droit à un emploi.
Les chômeurs qui ont manifesté en juin dernier dans la ville de Béjaïa expliquent ce retour à la contestation en disant qu’«il n’y a pas d’autre alternative pour faire réagir les autorités concernées».
Le comité qui se dit impatient souligne que les mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre sont toujours au stade des promesses.
«Jusqu’à présent, rien n’a été concrétisé sur le terrain», clame le CNDDC dans le document. Selon lui, la non-prise en charge effective du dossier des chômeurs, notamment ceux du Sud qui restent à la traîne, prouve encore une fois l’échec des pouvoirs publics de désamorcer la crise dont les victimes sont ces jeunes en détresse.
Il a souligné que la faute n’est pas au gouvernement mais aux autorités locales qui tardent à appliquer les mesures annoncées par le premier responsable du gouvernement lors de sa visite dans quelques wilayas du Sud.
Cette visite qui intervient suite aux nombreuses actions de protestation menées par les jeunes du Sud se voulait une réaction pour apaiser les esprits et atténuer la tension, selon les membres du comité. Le CNDDC qui qualifie ces critiques de «diffamatoires» n’a pas manqué de dire que l’objectif de ces «manœuvres» est de casser leur mouvement.
Le communiqué de la coordination relève que «jusqu'à présent, rien n'a été concrétisé sur le terrain» ; «la non-prise en charge effective du dossier des chômeurs, notamment ceux du Sud qui restent à la traîne, prouve encore une fois l'échec des pouvoirs publics de désamorcer la crise dont les victimes sont ces jeunes en détresse».
Les autorités locales, notamment dans les wilayas de Sud, sont montrées du doigt par le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) qui menace d'aller plus loin en radicalisant son action «si la situation perdure». Le coordinateur du mouvement des chômeurs, nous a également indiqué que «la faute n'incombe pas au gouvernement mais aux autorités locales qui tardent à appliquer les mesures annoncées par le premier responsable du gouvernement lors de sa visite dans quelques wilayas du Sud».
Ces responsables locaux, selon le coordinateur, «continuent à marginaliser ces jeunes qui ne réclament que l'amélioration de leurs conditions sociales, dont le droit à un emploi». Pour rappel, les chômeurs ont souvent manifesté à travers plusieurs régions du pays, en particulier en juin dernier dans la ville de Béjaïa, «mais il n’y a rien de concret sur le terrain, ce qui explique, selon le CNDDC, ce retour à la contestation, en disant qu'’’il n'y a pas d'autre alternative pour faire réagir les autorités concernées’’».
Par ailleurs, le CNDDC qui a essuyé des critiques émanant de «certains cercles dans les rouages des administrations locales», qualifie ces critiques de «diffamatoires». Pour lui, l'objectif de ces «manœuvres» est de casser le mouvement «qui se prépare dans la sérénité». «Un plan machiavélique est souvent élaboré par des perturbateurs, dont le seul objectif est de salir la réputation des chômeurs et du mouvement.
Cette fois-ci encore, notre mouvement, celui du mois de septembre prochain, se veut pacifique pour dénoncer «les barons» de la politique de blocage des initiatives prises par l’administration centrale», conclut le coordinateur national du CNDDC.
Le CNDDC menace dans un communiqué «d'aller plus loin en radicalisant son action de ce mois de septembre, si la situation des chômeurs perdure».
Contacté hier dans la soirée par notre confrère InfoSoir, Tahar Belabès, coordinateur du CNDDC, annonce la couleur. «Nous allons reprendre notre mouvement de protestation dès ce mois de septembre», nous dit-il, avant d’ajouter que le mouvement qu’il dirige «est impatient quant à la mise en application des mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre, lesquelles sont toujours, selon lui, au stade des promesses».
Les autorités locales, notamment dans les wilayas de Sud, sont montrées du doigt par le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) qui n’a pas hésité de menacer d’aller plus loin en radicalisant son action si la situation perdure.
Dans un communiqué, le CNDDC souligne que leur décision fait suite à la position des autorités qui continuent à marginaliser ces jeunes qui ne réclament que l’amélioration de leurs conditions sociales, dont le droit à un emploi.
Les chômeurs qui ont manifesté en juin dernier dans la ville de Béjaïa expliquent ce retour à la contestation en disant qu’«il n’y a pas d’autre alternative pour faire réagir les autorités concernées».
Le comité qui se dit impatient souligne que les mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre sont toujours au stade des promesses.
«Jusqu’à présent, rien n’a été concrétisé sur le terrain», clame le CNDDC dans le document. Selon lui, la non-prise en charge effective du dossier des chômeurs, notamment ceux du Sud qui restent à la traîne, prouve encore une fois l’échec des pouvoirs publics de désamorcer la crise dont les victimes sont ces jeunes en détresse.
Il a souligné que la faute n’est pas au gouvernement mais aux autorités locales qui tardent à appliquer les mesures annoncées par le premier responsable du gouvernement lors de sa visite dans quelques wilayas du Sud.
Cette visite qui intervient suite aux nombreuses actions de protestation menées par les jeunes du Sud se voulait une réaction pour apaiser les esprits et atténuer la tension, selon les membres du comité. Le CNDDC qui qualifie ces critiques de «diffamatoires» n’a pas manqué de dire que l’objectif de ces «manœuvres» est de casser leur mouvement.
Le communiqué de la coordination relève que «jusqu'à présent, rien n'a été concrétisé sur le terrain» ; «la non-prise en charge effective du dossier des chômeurs, notamment ceux du Sud qui restent à la traîne, prouve encore une fois l'échec des pouvoirs publics de désamorcer la crise dont les victimes sont ces jeunes en détresse».
Les autorités locales, notamment dans les wilayas de Sud, sont montrées du doigt par le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) qui menace d'aller plus loin en radicalisant son action «si la situation perdure». Le coordinateur du mouvement des chômeurs, nous a également indiqué que «la faute n'incombe pas au gouvernement mais aux autorités locales qui tardent à appliquer les mesures annoncées par le premier responsable du gouvernement lors de sa visite dans quelques wilayas du Sud».
Ces responsables locaux, selon le coordinateur, «continuent à marginaliser ces jeunes qui ne réclament que l'amélioration de leurs conditions sociales, dont le droit à un emploi». Pour rappel, les chômeurs ont souvent manifesté à travers plusieurs régions du pays, en particulier en juin dernier dans la ville de Béjaïa, «mais il n’y a rien de concret sur le terrain, ce qui explique, selon le CNDDC, ce retour à la contestation, en disant qu'’’il n'y a pas d'autre alternative pour faire réagir les autorités concernées’’».
Par ailleurs, le CNDDC qui a essuyé des critiques émanant de «certains cercles dans les rouages des administrations locales», qualifie ces critiques de «diffamatoires». Pour lui, l'objectif de ces «manœuvres» est de casser le mouvement «qui se prépare dans la sérénité». «Un plan machiavélique est souvent élaboré par des perturbateurs, dont le seul objectif est de salir la réputation des chômeurs et du mouvement.
Cette fois-ci encore, notre mouvement, celui du mois de septembre prochain, se veut pacifique pour dénoncer «les barons» de la politique de blocage des initiatives prises par l’administration centrale», conclut le coordinateur national du CNDDC.