Les dernières résolutions adoptées par les instances internationales ainsi que les déclarations faites par de nombreuses personnalités et associations étrangères viennent de donner un camouflet magistral à la diplomatie chancelante algérienne qui se trouve au bord de l’apoplexie.
Ce camouflet peut être comparé à l’estocade que porte le torero à un taureau titubant afin de lui couper les oreilles.
En effet, l’aller du camouflet réside la déclaration finale sanctionnant les travaux de la 10ème session du Conseil d'association Maroc-UE tenue le 23 avril 2012 à Luxembourg, qui encourage toutes les parties à continuer de travailler avec l'Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l'ONU en vue de progresser dans la recherche d'une solution, en faisant preuve de réalisme et d'un esprit de compromis dans le cadre des propositions présentées par le Maroc. Elle exprime également son attachement au respect des droits de l'Homme dans les camps sahraouis de Tindouf.
Le retour de ce camouflet est venu de l’ONU, plus précisément du Conseil de Sécurité.
En effet, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté à l’unanimité une résolution prorogeant d'un an le mandat de la MINURSO. Une résolution qui exprime aussi un rejet des approches révolues que les autres parties, Algérie et polisario, essaient de faire renaître de leurs cendres.
De plus une simple lecture du texte de la résolution fait ressortir que le Conseil de Sécurité a pris acte des efforts du Maroc pour parvenir à une solution politique sur la base de l'initiative d'autonomie qui reste toujours pertinente et d'actualité et le seul cadre pouvant permettre à parvenir à cette solution.
Mais, autre élément important dans cette résolution, l’appel ferme et sans ambigüité à l’Algérie pour qu’elle facilité le recensement par le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) tout en insistant que l'enregistrement des populations est une obligation conventionnelle imprescriptible et qui est mise à la charge de l'Algérie.
On comprend dès lors la situation dans laquelle l’Algérie s’est fourvoyée en refusant systématiquement tout recensement de la population des séquestrés sahraouis dans les camps de Tindouf.
La raison est toute simple. Elle a gonflé les chiffres, en incorporant des personnes non sahraouies (mauritaniens, algériens, maliens, tchadiens, nigériens, libyens) parmi les séquestrés afin de pouvoir bénéficier d’un maximum d’aides des instances ou associations étrangères qu’elle détourne sans vergogne avec ses affidés du polisario.
Ce revers annoncé de l’Algérie et des soutiens du polisario au Conseil de Sécurité constitue la preuve irréfutable que le Maroc est dans ses droits au Sahara.
Cette résolution est également une ferme invitation de la communauté internationale à l’Algérie et au polisario à faire preuve de plus de sérieux dans leurs efforts pour résoudre ce contentieux dans le cadre du plan proposé par le Maroc.
Enfin, et je terminerai mon propos, sur ce sujet en informant les lecteurs sur les révélations mensongères de la presse algérienne au sujet du Sahara marocain. Des mensonges évidement orchestrés par la DRS algérienne, unique détentrice de ce dossier sensible.
Ce mensonge planifié par les services algériens était basé sur une soit disant déclaration du Secrétaire Général de la Ligue Arabe, Monsieur Nabil Al Arabi. Lors de sa visite à Alger.
En effet, quotidien algérien Al Khabar, connu pour ses accointances avec la DRS, avait fait dire à Nabil Al Arabi que, et je cite, « les sahraouis à l’image de tout les peuples du monde ont le droit à l’autodétermination », le faisant par la même occasion critiquer le Maroc sur ses supposés écarts sur les droits de l’homme dans ses provinces du sud.
Suite à cette incartade diplomatique, la Ligue Arabe a apporté un démenti cinglant et déclaré que Monsieur Nabil Al Arabi, s’est exprimé sur la question du Sahara dans le total respect du processus engagé par les Nations Unies, en prenant soin de ne point interférer sur le dossier, en précisant que la Ligue n’a jamais été saisie sur le dossier et qu’elle reste respectueuse des décisions onusiennes sur la question.
A noter que cette manipulation médiatique était intervenue à la veille de la mise en débat mardi 24 avril à New York, par le Conseil de Sécurité, des développements de la question du Sahara, en vue de statuer, par voie de résolution, sur la prorogation de la mission de la MINURSO.
De plus ; il est ahurissant de constater la lecture faite par les journaux algériens de la résolution onusienne sur le Sahara marocain qui vient d’être adoptée. C’est tout simplement du délire à l’état pur et un débit d’affirmations mensongères sans aucune retenue. C’est une grande spécialité algérienne. Un reliquat tenace des pratiques acquises ex-URSS et dans les anciennes républiques des pays de l’Est.
En conclusion, on peut affirmer que la diplomatie algérienne est bel et bien en totale déconfiture mais aussi en plein dans la gadoue et que les camouflets en aller retour qu’elle ne cesse recevoir me rappelle un très beau film avec Terence Hill « Mon nom est personne ».
Ce camouflet peut être comparé à l’estocade que porte le torero à un taureau titubant afin de lui couper les oreilles.
En effet, l’aller du camouflet réside la déclaration finale sanctionnant les travaux de la 10ème session du Conseil d'association Maroc-UE tenue le 23 avril 2012 à Luxembourg, qui encourage toutes les parties à continuer de travailler avec l'Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l'ONU en vue de progresser dans la recherche d'une solution, en faisant preuve de réalisme et d'un esprit de compromis dans le cadre des propositions présentées par le Maroc. Elle exprime également son attachement au respect des droits de l'Homme dans les camps sahraouis de Tindouf.
En effet, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté à l’unanimité une résolution prorogeant d'un an le mandat de la MINURSO. Une résolution qui exprime aussi un rejet des approches révolues que les autres parties, Algérie et polisario, essaient de faire renaître de leurs cendres.
De plus une simple lecture du texte de la résolution fait ressortir que le Conseil de Sécurité a pris acte des efforts du Maroc pour parvenir à une solution politique sur la base de l'initiative d'autonomie qui reste toujours pertinente et d'actualité et le seul cadre pouvant permettre à parvenir à cette solution.
Mais, autre élément important dans cette résolution, l’appel ferme et sans ambigüité à l’Algérie pour qu’elle facilité le recensement par le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) tout en insistant que l'enregistrement des populations est une obligation conventionnelle imprescriptible et qui est mise à la charge de l'Algérie.
On comprend dès lors la situation dans laquelle l’Algérie s’est fourvoyée en refusant systématiquement tout recensement de la population des séquestrés sahraouis dans les camps de Tindouf.
La raison est toute simple. Elle a gonflé les chiffres, en incorporant des personnes non sahraouies (mauritaniens, algériens, maliens, tchadiens, nigériens, libyens) parmi les séquestrés afin de pouvoir bénéficier d’un maximum d’aides des instances ou associations étrangères qu’elle détourne sans vergogne avec ses affidés du polisario.
Ce revers annoncé de l’Algérie et des soutiens du polisario au Conseil de Sécurité constitue la preuve irréfutable que le Maroc est dans ses droits au Sahara.
Cette résolution est également une ferme invitation de la communauté internationale à l’Algérie et au polisario à faire preuve de plus de sérieux dans leurs efforts pour résoudre ce contentieux dans le cadre du plan proposé par le Maroc.
Enfin, et je terminerai mon propos, sur ce sujet en informant les lecteurs sur les révélations mensongères de la presse algérienne au sujet du Sahara marocain. Des mensonges évidement orchestrés par la DRS algérienne, unique détentrice de ce dossier sensible.
Ce mensonge planifié par les services algériens était basé sur une soit disant déclaration du Secrétaire Général de la Ligue Arabe, Monsieur Nabil Al Arabi. Lors de sa visite à Alger.
En effet, quotidien algérien Al Khabar, connu pour ses accointances avec la DRS, avait fait dire à Nabil Al Arabi que, et je cite, « les sahraouis à l’image de tout les peuples du monde ont le droit à l’autodétermination », le faisant par la même occasion critiquer le Maroc sur ses supposés écarts sur les droits de l’homme dans ses provinces du sud.
Suite à cette incartade diplomatique, la Ligue Arabe a apporté un démenti cinglant et déclaré que Monsieur Nabil Al Arabi, s’est exprimé sur la question du Sahara dans le total respect du processus engagé par les Nations Unies, en prenant soin de ne point interférer sur le dossier, en précisant que la Ligue n’a jamais été saisie sur le dossier et qu’elle reste respectueuse des décisions onusiennes sur la question.
A noter que cette manipulation médiatique était intervenue à la veille de la mise en débat mardi 24 avril à New York, par le Conseil de Sécurité, des développements de la question du Sahara, en vue de statuer, par voie de résolution, sur la prorogation de la mission de la MINURSO.
De plus ; il est ahurissant de constater la lecture faite par les journaux algériens de la résolution onusienne sur le Sahara marocain qui vient d’être adoptée. C’est tout simplement du délire à l’état pur et un débit d’affirmations mensongères sans aucune retenue. C’est une grande spécialité algérienne. Un reliquat tenace des pratiques acquises ex-URSS et dans les anciennes républiques des pays de l’Est.
En conclusion, on peut affirmer que la diplomatie algérienne est bel et bien en totale déconfiture mais aussi en plein dans la gadoue et que les camouflets en aller retour qu’elle ne cesse recevoir me rappelle un très beau film avec Terence Hill « Mon nom est personne ».