Le classement réalisé par INSEAD est accablant, il classe l’Algérie dernière de la classe, devancé par des pays plus pauvres et instables. Malgré les milliards de dollars injectés dans la recherche et l’innovation, l’Algérie n’avance pas, au contraire, elle recule.
Le classement de INSEAD qui se base sur l’Indice mondial de l’innovation (GII) est une claque donnée au dirigeants de notre pays. La recherche scientifique y est inexistante, malgré les énormes moyens financiers octroyés aux universités ces dix dernières années, ainsi que l’importante augmentation de salaire dont bénéficient les pseudos « chercheurs » ; 250.000 DA/mois pour les chefs de département trop souvent absents, alors que le smic en Algérie ne dépasse pas les 10.000DA/mois.
L’université algérienne est en panne !!! Incapable d’avoir de grande lignes directives afin d’inculquer à leurs étudiants le gout de la recherche et l’innovation. Des laboratoires vides après 15h, et les bureaux après 16h00. Où sont donc nos chercheurs ? Ne parlons pas de la publication scientifique qui est quasi-inexistante ; 50 publications scientifiques pour 1 million d’habitants selon une étude réalisée par le Groupe Thomson Reuters en 2010, l’un des plus faible taux au monde. Mais où sont donc nos chercheurs ? Où sont donc les milliards injectés dans la recherche ? Ont-ils servis uniquement à la construction d’universités ? Dont au passage les murs se fissurent au bout de 2 ans ? Ou sert-il à payer les soi-disant stages ou séminaire à l’étranger de nos chercheurs et ingénieurs ? Le classement INSEAD mets l’Algérie à la 125 places, soit la dernière, devancée par des pays en guerre comme le Soudan, ou des pays instables politiquement comme la Côte d’Ivoire ! Ainsi que des pays nettement plus pauvre comme l’Ethiopie, le Niger, le Benin ou le Ghana.
Le classement de INSEAD qui se base sur l’Indice mondial de l’innovation (GII) est une claque donnée au dirigeants de notre pays. La recherche scientifique y est inexistante, malgré les énormes moyens financiers octroyés aux universités ces dix dernières années, ainsi que l’importante augmentation de salaire dont bénéficient les pseudos « chercheurs » ; 250.000 DA/mois pour les chefs de département trop souvent absents, alors que le smic en Algérie ne dépasse pas les 10.000DA/mois.
L’université algérienne est en panne !!! Incapable d’avoir de grande lignes directives afin d’inculquer à leurs étudiants le gout de la recherche et l’innovation. Des laboratoires vides après 15h, et les bureaux après 16h00. Où sont donc nos chercheurs ? Ne parlons pas de la publication scientifique qui est quasi-inexistante ; 50 publications scientifiques pour 1 million d’habitants selon une étude réalisée par le Groupe Thomson Reuters en 2010, l’un des plus faible taux au monde. Mais où sont donc nos chercheurs ? Où sont donc les milliards injectés dans la recherche ? Ont-ils servis uniquement à la construction d’universités ? Dont au passage les murs se fissurent au bout de 2 ans ? Ou sert-il à payer les soi-disant stages ou séminaire à l’étranger de nos chercheurs et ingénieurs ? Le classement INSEAD mets l’Algérie à la 125 places, soit la dernière, devancée par des pays en guerre comme le Soudan, ou des pays instables politiquement comme la Côte d’Ivoire ! Ainsi que des pays nettement plus pauvre comme l’Ethiopie, le Niger, le Benin ou le Ghana.