YouTube - Algérie ; Détournement des aides humanitaires par le Polisario.: "Depuis plusieurs années, les responsables du Polisario opèrent de grands détournements de l'aide humanitaire, publique et privée, octroyée aux populations des campements de Tindouf.
Ces détournements ordonnés par le secrétaire général du Polisario, Mohamed Abdelaziz, et exécutés suivant ses directives et orientations, ont incité plusieurs cadres de l'organisation à lui signifier qu'il était inadmissible de continuer d'exploiter l'aide humanitaire pour son enrichissement personnel. Une telle pratique constitue un abus de la bonne foi des organisations humanitaires donatrices.
Les appels de ces cadres ont été vains.
En effet, Mohamed Abdelaziz maintient sa politique de détournement de l'aide humanitaire dans les directions suivantes :
1- Des centaines de tonnes de denrées, de médicaments et de biens d'équipement sont régulièrement vendues à travers des filières, dans le sud algérien ( Tindouf, Bechar, Laabadla, Oum Laassal, Adrar) et dans le nord mauritanien ( Bir Morgrein, Ain Bentili, Lehfira, Zouerat, Nouaddhibou, Choum et Atar) et même à Nouakchott.
2- L'intendance de l'armée du Polisario est totalement fournie par l'aide humanitaire. Les recettes de ces ventes frauduleuses vont dans deux directions : renflouement des caisses du mouvement pour entretenir son action diplomatique, politique et militaire. Alimentation des comptes personnels de Mohamed Abdelaziz et des membres de sa famille (commerçants à Tindouf, Bechar, Oran, Oum Laassal), ainsi que d'autres dirigeants du Polisario.
D'autres détournements sont à signaler :
C'est le cas d'importantes sommes d'argent attribuées par des organisations humanitaires pour l'achat de viande fraîche ou des équipements scolaires et sanitaires.
Ces sommes sont automatiquement empochées par les membres de la direction du Polisario et des fausses factures sont fournies aux donateurs, en guise de justificatifs de dépenses.
Combien de fois des organisations suédoises (Rada Barnen et Sida) ont envoyé de l'argent en espèce ou sous forme de chèque pour l'achat de viande, mais cet argent n' a jamais été utilisé pour ce à quoi il était destiné. En contrepartie, les organisations donatrices ont reçu de fausses factures.
Des sommes touts aussi importantes, destinées à la construction d'écoles ou de dispensaires, ont été versées dans la caisse du « ministère de la défense » et en contrepartie, le Polisario montre aux donateurs des constructions de fortune, bâties par les prisonniers de guerre marocains.
Le détournement par le Polisario de l'aide humanitaire a d'ailleurs été relevé par la presse algérienne.
Pour mettre fin à une situation, qui est devenue un élément essentiel de la « morale » de la direction du Polisario, le HCR doit agir pour prendre en charge l'administration directe de la distribution humanitaire.
En effet, tant que la gestion de cette aide restera entre les mains du Polisario, ce dernier continuera à en disposer comme bon lui semble, ce qui est totalement contraire aux objectifs et aux motivations de cette aide humanitaire.
Cela implique une présence effective d'une administration du HCR dans les campements des réfugiés, au lieu de gérer cette aide à partir d'un bureau à Alger.
Ces détournements ordonnés par le secrétaire général du Polisario, Mohamed Abdelaziz, et exécutés suivant ses directives et orientations, ont incité plusieurs cadres de l'organisation à lui signifier qu'il était inadmissible de continuer d'exploiter l'aide humanitaire pour son enrichissement personnel. Une telle pratique constitue un abus de la bonne foi des organisations humanitaires donatrices.
Les appels de ces cadres ont été vains.
En effet, Mohamed Abdelaziz maintient sa politique de détournement de l'aide humanitaire dans les directions suivantes :
1- Des centaines de tonnes de denrées, de médicaments et de biens d'équipement sont régulièrement vendues à travers des filières, dans le sud algérien ( Tindouf, Bechar, Laabadla, Oum Laassal, Adrar) et dans le nord mauritanien ( Bir Morgrein, Ain Bentili, Lehfira, Zouerat, Nouaddhibou, Choum et Atar) et même à Nouakchott.
2- L'intendance de l'armée du Polisario est totalement fournie par l'aide humanitaire. Les recettes de ces ventes frauduleuses vont dans deux directions : renflouement des caisses du mouvement pour entretenir son action diplomatique, politique et militaire. Alimentation des comptes personnels de Mohamed Abdelaziz et des membres de sa famille (commerçants à Tindouf, Bechar, Oran, Oum Laassal), ainsi que d'autres dirigeants du Polisario.
D'autres détournements sont à signaler :
C'est le cas d'importantes sommes d'argent attribuées par des organisations humanitaires pour l'achat de viande fraîche ou des équipements scolaires et sanitaires.
Ces sommes sont automatiquement empochées par les membres de la direction du Polisario et des fausses factures sont fournies aux donateurs, en guise de justificatifs de dépenses.
Combien de fois des organisations suédoises (Rada Barnen et Sida) ont envoyé de l'argent en espèce ou sous forme de chèque pour l'achat de viande, mais cet argent n' a jamais été utilisé pour ce à quoi il était destiné. En contrepartie, les organisations donatrices ont reçu de fausses factures.
Des sommes touts aussi importantes, destinées à la construction d'écoles ou de dispensaires, ont été versées dans la caisse du « ministère de la défense » et en contrepartie, le Polisario montre aux donateurs des constructions de fortune, bâties par les prisonniers de guerre marocains.
Le détournement par le Polisario de l'aide humanitaire a d'ailleurs été relevé par la presse algérienne.
Pour mettre fin à une situation, qui est devenue un élément essentiel de la « morale » de la direction du Polisario, le HCR doit agir pour prendre en charge l'administration directe de la distribution humanitaire.
En effet, tant que la gestion de cette aide restera entre les mains du Polisario, ce dernier continuera à en disposer comme bon lui semble, ce qui est totalement contraire aux objectifs et aux motivations de cette aide humanitaire.
Cela implique une présence effective d'une administration du HCR dans les campements des réfugiés, au lieu de gérer cette aide à partir d'un bureau à Alger.