Connu pour être un anti marocain primaire et faisant partie de ces militaires Algériens qui n'ont jamais digéré leurs défaites face aux FAR lors de la guerre des sables et d'Amgala, Mohamed Touati ne manque jamais une occasion pour dénigrer le Maroc et toutes personnes ou pays qui apportent leur soutient a la cause Marocaine sur l'intégrité territoriale du Royaume.
Notre vieillissant Touati (73 ans) qui après s'être enrichi illégalement en dizaines de millions sur le dos des algériens, et auquel on accorde un rôle déterminant, notamment dans la décision de l’annulation du deuxième tour des élections législatives de janvier 1992, se la joue à donner des leçons de droits dans divers domaines alors que lui même les a bafoué durant toute sa carrière et même après sa retraite.
Quoi de plus normal que le guide de la révolution libyenne se soit aperçu qu'il n'y a que l'Algérie qui navigue a contre courant des idéaux maghrébins et est le seul pays a entraver la réalisation du grand Maghreb avec son histoire créée de toute pièce qu'est l'affaire du Sahara.
Quel est le pays frontalier avec l'Algérie et qui n'a pas de problèmes avec ce pouvoir mafieux en Algérie. De tout temps l'Algérie n'a été qu'une semeuse de problèmes à ses voisins.
Bien sur, quand on parle de l'Algérie, on parle surtout de ces hommes qui l'ont façonné, qui ont gouverné, géré, dirigé et surtout conseillé sur la ligne a suivre, et Monsieur Touati en a fait partie et était la tète pensante du pays (elmokh). C'était lui l'idiot logue (idéologue) des pouvoirs qui se sont succédés en place.
Quel en est le résultat? Ou en est l'Algérie? Quel est sa place dans le concert des nations?
Je vous le demande a vous Monsieur Touati d'imaginer l'Algérie sans pétrole, et faites en la comparaison avec vos voisins que sont le Maroc et la Tunisie. On aura eu la Somalie entre ces deux pays.
Je ne m'amuserai jamais a penser que les Algériens sont des fainéants, mais plutôt les fainéants c'était les décideurs et les têtes pensantes qui se sont succédés en Algérie depuis ces cinquante ans d'indépendance de l'Algérie, Voila votre résultat.
" il n’y a pas de politique économique qui vaille pour un pays comme l’Algérie si elle ne vise pas deux buts : répondre aux besoins de l’emploi et doter le pays de capacités nationales de production et de réalisations de biens consommables et de biens d’équipement. Autrement dit, le pays ne doit pas avoir vocation à n’être qu’un marché pour autrui. Il doit l’être d’abord pour les Algériens." N'avez vous pas eu assez de temps durant ces cinquante ans de l'indépendance de l'Algérie pour réfléchir a comment sortir votre pays économiquement du bourbier dans lequel il se trouve.
L’Algérie ne produit pas suffisamment. Elle importe de tout: céréales, médicaments, poudre de lait, fruits et légumes, viandes, électro-ménager, voitures...Il est vrai cependant que dans l’état actuel de la conjoncture économique mondiale et essentiellement celui dans lequel se trouve le secteur du marché pétrolier, l’Algérie ne doit pas faire la fine bouche. Mais la réalité l’interpelle et peut même la rattraper.
Vous avez les yeux rivés sur les cours du pétrole (don dieu au peuple Algérien que vous vous êtes accaparé à des fins personnels, enrichissement illicite"Affaire Sonatrach")Les experts de la banque américaine tablent sur «une amélioration des fondamentaux, en premier lieu un resserrement du marché des produits distillés, et une croissance robuste de la demande, de 1,7 million de barils». La baisse de la demande dans les pays membres de l’Ocde devrait être largement compensée par celle en provenance des pays émergents, essentiellement ceux d’Asie et du Moyen-Orient. Une bouffée d’oxygène pour l’économie algérienne dont les recettes proviennent, à 98%, de ses exportations en hydrocarbures. Franchement que serait devenue l'Algérie sans pétrole.
Depuis prés de quarante ans que l'Algérie n'a cessé de mettre des bâtons dans les roues du Maroc, le Maroc peut encore endurer quarante autres années et à ce moment la l'Algérie n'aura plus de pétrole, et je vous laisse deviner la suite.
Peut être pour vos petits enfants et famille qui seraient restés vivre en Algérie, je vous conseille de lire cette fausse fiction.
La Chine est devenue la première puissance économique et militaire du monde, détrônant depuis quelques années déjà les Etats-Unis d’Amérique.
Cependant, les relations internationales sont toujours caractérisées par la volonté des grands pays de dominer la terre et de s’accaparer de ses richesses, notamment l’or noir devenu de plus en plus rare.
Des régions entières du globe subissent des famines endémiques sous l’oeil indifférent des pays nantis.
La terre ne suffit plus à nourrir tous ses habitants. Les télévisions ne diffusent plus les images, désormais banales, des milliers de loques humaines décharnées, agonisant au milieu de cadavres puants que personne ne prend la peine d’enterrer.
L’Algérie ne produit plus une goutte de pétrole ni de gaz. Au contraire, elle doit en importer pour couvrir ses besoins, auprès des pays du Moyen-Orient dont les réserves considérables ne sont pas encore épuisées.
Malheureusement, il n’y a plus un sous dans la Banque d’Algérie. Personne ne peut expliquer comment les immenses réserves de change du pays se sont évaporées au fil du temps, en dépit des investissements énormes consentis par l’Etat algérien et qui n’ont pas eu d’effets palpables à long terme sur l’économie du pays.
Malgré les louanges quotidiennes adressées aux princes du Golfe, et les courbettes obséquieuses à l’égard du Serviteur des Lieux Saints, nos frères arabes restent insensibles aux supplications du gouvernement algérien, exigeant d’être payés rubis sur l’ongle.
L’Algérie est en panne généralisée.
Aucune usine ne fonctionne. Aucune voiture ne circule. Les aéroports sont fermés, faute de kérosène.
Les avions de la compagnie Air Algérie, alignés sur le tarmac de l’aéroport Houari Boumediène, immobilisés depuis des années, sont attaqués par la rouille, et ont été méthodiquement désossés.
La seule activité qui fait encore rentrer des devises reste l’exportation de la ferraille.
Le gouvernement a spécialement créé à cet effet, un ministère appelé le ministère de la Valorisation des Déchets ferreux.
Sa tâche est immense, et constitue un défi difficile à relever. Il s’agit, ni plus ni moins, de démanteler tous les complexes industriels du pays devenus obsolètes, à l’arrêt faute d’énergie et de pièces détachées, en vue de vendre ces millions de tonnes de ferraille pour glaner quelques devises susceptibles de payer l’importation de denrées alimentaires vitales pour nourrir la population affamée.
L’exode rural a vidé la campagne de ses habitants, et personne ne cultive les terres arables livrées à la prédation des promoteurs immobiliers.
Tout doit être importé, alors que les caisses de l’Etat sont désespérément vides.
L’Algérie vit une des heures les plus dramatiques de son histoire. Des émeutes ont éclaté un peu partout sur l’immense contrée du pays, réclamant du pain devenu introuvable, toutes les boul*******s ayant fermé faute de farine et d’électricité pour faire marcher les fours.
Les services de sécurité sont débordés, face aux scènes de pillage et de brigandage devenues banales dans toutes les bourgades du pays.
Les policiers, n’ayant pas reçu leur solde depuis des mois, ne manifestent d’ailleurs aucun excès de zèle pour réprimer les manifestants de carburant.
Les Djebels sont infestés de terroristes qui contrôlent une grande partie du pays, soumettant les citoyens à la charia islamique. les navires de guerre chinois, américains et européens patrouillent dans les eaux territoriales algériennes pour traquer El Qaida, sans même demander l’autorisation du gouvernement algérien, ni l’aval de l’ONU.
Ils tirent sans sommation sur les milliers de harraga qui tentent de fuir chaque jour le pays à destination de l’Eldorado européen.
Le Maroc et la Tunisie, qui n’ont pas été piégés par la malédiction de l’or noir, sont parvenus graduellement, à force de travail, à tirer profit de leur propres spécificités pour développer leurs pays et les soustraire au sous-développement. Leur niveau de vie n’est pas loin de celui de l’Occident.
Les Algériens qui essayent de franchir les frontières de ces pays frères sont impitoyablement abattus.
Gagnés par le découragement, rongés par la famine, ils se sont tournés vers leurs frères du maquis qui leur fournissent de quoi se nourrir.
La fibre nationaliste, à fleur de peau qui faisait jadis vibrer les Algériens, s’est éteinte depuis longtemps. Le passé glorieux des ancêtres qui avaient chassé le colonialisme n’est qu’une lointaine réminiscence.
L’élite politique et intellectuelle nationale, réfugiée en France, manifeste à tout bout de champ pour réclamer davantage de liberté et de démocratie pour l’Algérie, pendant que soixante millions d’Algériens meurent de faim.
Des fils et des petits-fils d’anciens apparatchiks, confortablement installés à l’étranger, figurent parmi ceux qui militent, dans les salons parisiens, pour le redressement du pays.
L’anarchie généralisée qui règne en Algérie a attiré les convoitises des pays voisins qui veulent s’accaparer une portion de son territoire.
Le Maroc, en souvenir d’une vieille revendication longtemps mise en sourdine, a fait une incursion profonde en territoire algérien, jusqu’à la wilaya de Tlemcen, arguant de droits historiques qu’il prétendait détenir sur ces régions.
La Tunisie n’hésite par à réclamer toute une partie de l’Est algérien pour des motifs similaires.
Même le Mali avance des arguments invraisemblables et fallacieux pour réclamer une partie du Sahara.
L’Algérie, enfant malade de l’Afrique du Nord, qui, au temps de sa gloire, inspirait crainte et respect, est devenue la proie de petits prédateurs prêts à tout pour se partager son territoire.
Certains analystes lui président le sort funeste de l’ancien Irak démembré, ayant donné naissance en 2020 à trois Etats indépendants : le Kurdistan, la République Chiite de l’Irak et l’Etat Islamique du Rafidein, d’obédience sunnite.
Les observateurs qui suivent depuis longtemps la scène politique et économique de l’Algérie n’arrivent toujours pas à comprendre comment ce pays prometteur aux richesses matérielles et humaines illimitées, qui a arraché son indépendance au prix d’une révolution mémorable, et malgré l’intelligence et la conscience politique de son élite et de ses dirigeants, en soit arrivé à un tel état de délabrement, en l’an 2050.
NB :
2050, c’est demain.