Paris - Les éléments aujourd'hui connus dans l'affaire des deux journalistes français Eric Laurent et Catherine Graciet, mis en cause pour tentative de "chantage" et d'"extorsion de fonds" du Maroc sont "accablants", affirme le quotidien français "Le Monde", dans son numéro daté de jeudi.
"Le mal est fait", écrit la publication, expliquant que les deux journalistes étaient prêts à renoncer à la publication d'un ''ouvrage critique sur le Maroc'' contre de l'argent.
Le journaliste français Eric Laurent avait contacté le Cabinet Royal pour annoncer qu'il se préparait à publier, avec Catherine Graciet, un livre sur le Maroc, mais qu'il était prêt à y renoncer si on lui remettait trois millions d'euros.
Après une garde à vue de plus de 30 heures dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), suite à leur interpellation, le 27 août, les deux journalistes avaient été déférés devant un juge d'instruction qui les a mis en examen pour "chantage" et "extorsion de fonds".
Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Paris et trois juges d'instruction ont été chargés d'instruire ce dossier.
Le journaliste français Eric Laurent avait contacté le Cabinet Royal pour annoncer qu'il se préparait à publier, avec Catherine Graciet, un livre sur le Maroc, mais qu'il était prêt à y renoncer si on lui remettait trois millions d'euros.
Après une garde à vue de plus de 30 heures dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), suite à leur interpellation, le 27 août, les deux journalistes avaient été déférés devant un juge d'instruction qui les a mis en examen pour "chantage" et "extorsion de fonds".
Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Paris et trois juges d'instruction ont été chargés d'instruire ce dossier.