Amnesty International a, le 13 mai 2014, rendu public son rapport qui, comme à son habitude, accuse le Royaume du Maroc pour «pratique d’actes graves de tortures» et à «l’impunité des tortionnaires».
Pour étayer ses accusations, cette ONG‘s s’est basée sur des témoignages sans valeurs et non crédibles à savoir ceux d’El Houcine Bah, interpellé le 04 mai 2013 en compagnie de 05 autres personnes, pour jets de pierres et menaces envers les forces l’ordre.
Un comportement qui leur a valu une garde à vue suivie d’une condamnation par le juge. Une procédure légale qui se pratique dans toutes les grandes démocraties.
Quant aux racontars du sieur Bah, ils lui ont été dictés pas des activistes du polisario pour décrédibiliser le Maroc sur la question de ses avancées en matière des Droits de l’Homme et correspondaient à un agenda fixé par les ennemis de l’intégrité territoriale marocaine pour forcer le Conseil de sécurité à modifier les prérogatives de la MINURSO.
Autre élément qui a conduit injustement les experts d’Amesty International à pointer du doigt le Maroc, celui de la réception d’informations sur des cas de tortures ou mauvais traitements en détention sur 05 personnes arrêtés, le 22 et 23 mai 2013, lors de manifestations dans la ville de Smara. Des informations, transmises à cette ONG’s par des tierces personnes qui n’ont jamais été vérifiées et attestées.
Ces individus ont été poursuivis et condamnés pour atteinte à l’ordre public et dégradation de biens publics et privés, comme le veut la pratique démocratique.
Donc ce nouveau rapport, hostile au Maroc, est basé sur des informations infondées et ne peut donc constituer une référence.
Je rappelerai à Amnesty International que, dans sa résolution 2152 du 29 avril 2014, le Conseil de Sécurité de l’ONU a confirmé les avancées notables du Royaume du Maroc en Matières des Droits de l’Homme à travers notamment le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH).
Je rappelerai également à cette ONG’s que pour la seule année 2013, le Maroc a reçu deux visites.
La première a été effectuée par le groupe de travail sur la traite des êtres humains et la seconde par le groupe de travail sur la détention arbitraire. De plus, les autorités ont toujours œuvré en vue de faciliter et de garantir les conditions de déroulement de ces visites sur tout le territoire national.
D'autres rapporteurs spéciaux se rendront au Maroc durant l’année en cours, notamment l'expert indépendant en charge des engagements des Droits de l'Homme en faveur d'un environnement sûr, propre, sain et durable, le rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats et sur la liberté de religion ou de conviction, le rapporteur spécial sur la peine de mort et les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires et le rapporteur spécial chargé de la question de la violence contre les femmes.
Des faits réels qui contredisent totalement les inepties contenues dans le dernier rapport d’Amnesty International et qui prouvent son manque de crédibilité.
Un manque de crédibilité confirmé par la présentation, le 07 mai 2014 à Athènes, du rapport Pasquier sur le Sahara marocain et qui sera soumis à la prochaine session plénière de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) du 23 au 27 juin 2014.
Dans ce rapport, Madame Pasquier appelle à la poursuite des efforts et du travail du Conseil National des Droits de l’Homme afin de consacrer les valeurs et le respect des Droits Humains au Maroc, recommande une meilleure coordination du Maroc avec le Comité International de la Croix Rouge et la mise en œuvre des recommandations issues des Procédures Spéciales du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies.
S’agissant de l’Algérie, le rapport Pasquier n’y va pas de main morte. Il est exigé de l’Algérie le recensement, l’enregistrement et l’identification des populations des camps de Tindouf pour établir le nombre effectif des réfugiés dans ces camps et l’ouverture inconditionnelle sur les Procédures Spéciales du Conseil des Droit de l’Homme des Nations-Unies.
Ce rapport appelle également l’Algérie et le polisario à mettre un terme aux violations des droits de libre expression, de réunion et d’association pour tous les réfugiés saharaouis, y compris en s’assurant qu’ils sont libres de manifester leur marocanité et de rejoindre le Royaume du Maroc.
Une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU et un rapport Pasquier qui prouvent, si besoin est, qu’Amnesty International s’est totalement embourbé sur le cas du Maroc et amènent à s’interroger sur sa crédibilité.
Pour ma part, j’apporte aux lecteurs quelques éléments de preuves irréfutables sur les pratiques peu respectables de nombre de ses responsables et qui détruisent sa crédibilité.
Nul ne peut contester le conflit d’intérêt entre le Président Amnesty France, Francis Perrin, et la société total qui a conduit à l’occultation du rôle de Total en Birmanie dans les rapports d’Amnesty International. Un article publié par Bakchich à ce sujet en 2008 est éloquent.
Autre trouble, celui du versement d’indemnités de départ à deux dirigeants d’Amnesty International en 2009 dépassant le million d’Euros. Un versement qui avait été dévoilé par un article publié sur Mail OnLine.
L’exploitation par Amnesty International de faits mensongers sur de soi-disant mercenaires de Kadhafi rapportés par la Présidente d’Amnesty International-France, Geneviève Garrigos qu’elle a démentis plus tard.
Un autre versement d’indemnités de départ qui a soulevé nombre de questions, celui perçu par la 7ème Secrétaire Général d’Amnesty International, Irène Zubaida Khan qui a fait l’objet d’un article du Canard Enchaîné en date du 23 mars 2011.
Enfin, le gros mensonge d’Amnesty International n’est ni plus ni moins son communiqué dans lequel elle a accusé le Maroc de restreindre la liberté de circulation de l’activiste sahraouie Aminatou Haidar alors qu’elle animait une conférence en Espagne après avoir quitté le Maroc avec un passeport marocain.
En conclusion, au regard de ce qui précède, on peut, sans risque de se tromper, affirmer qu’Amnesty International est manipulé de l’intérieur par ses responsables qui défendent leurs propres intérêts et non celui des Droits de l’Homme.
Amnesty International concocte des rapports qui reposent sur des données non fiables ou transmises par certaines parties occultes en contrepartie de gratifications alléchantes ou qui sont élaborés à partir de vieilles informations tirées de ses tiroirs poussiéreux, non remises à jour et qu’elle nous réchauffe pour nous les resservir.
Aussi, si au Casino l’expression «rien ne va plus» signale aux joueurs la fin des mises, dans ce cas d’espèce, il signale la fin de la crédibilité d’Amnesty International.
Quant à la presse algérienne, prompte à sortir l’artillerie lourde contre le Maroc suite à la publication du rapport erroné d’Amnesty International, elle n’a pipé mot sur le rapport Pasquier. C’est dire de la valeur déontologique d’une presse aux ordres de ses généreux financiers de la DRS et du Palais d’El Mouradia.
Farid Mnebhi
Un comportement qui leur a valu une garde à vue suivie d’une condamnation par le juge. Une procédure légale qui se pratique dans toutes les grandes démocraties.
Quant aux racontars du sieur Bah, ils lui ont été dictés pas des activistes du polisario pour décrédibiliser le Maroc sur la question de ses avancées en matière des Droits de l’Homme et correspondaient à un agenda fixé par les ennemis de l’intégrité territoriale marocaine pour forcer le Conseil de sécurité à modifier les prérogatives de la MINURSO.
Autre élément qui a conduit injustement les experts d’Amesty International à pointer du doigt le Maroc, celui de la réception d’informations sur des cas de tortures ou mauvais traitements en détention sur 05 personnes arrêtés, le 22 et 23 mai 2013, lors de manifestations dans la ville de Smara. Des informations, transmises à cette ONG’s par des tierces personnes qui n’ont jamais été vérifiées et attestées.
Ces individus ont été poursuivis et condamnés pour atteinte à l’ordre public et dégradation de biens publics et privés, comme le veut la pratique démocratique.
Donc ce nouveau rapport, hostile au Maroc, est basé sur des informations infondées et ne peut donc constituer une référence.
Je rappelerai à Amnesty International que, dans sa résolution 2152 du 29 avril 2014, le Conseil de Sécurité de l’ONU a confirmé les avancées notables du Royaume du Maroc en Matières des Droits de l’Homme à travers notamment le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH).
Je rappelerai également à cette ONG’s que pour la seule année 2013, le Maroc a reçu deux visites.
La première a été effectuée par le groupe de travail sur la traite des êtres humains et la seconde par le groupe de travail sur la détention arbitraire. De plus, les autorités ont toujours œuvré en vue de faciliter et de garantir les conditions de déroulement de ces visites sur tout le territoire national.
D'autres rapporteurs spéciaux se rendront au Maroc durant l’année en cours, notamment l'expert indépendant en charge des engagements des Droits de l'Homme en faveur d'un environnement sûr, propre, sain et durable, le rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats et sur la liberté de religion ou de conviction, le rapporteur spécial sur la peine de mort et les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires et le rapporteur spécial chargé de la question de la violence contre les femmes.
Des faits réels qui contredisent totalement les inepties contenues dans le dernier rapport d’Amnesty International et qui prouvent son manque de crédibilité.
Un manque de crédibilité confirmé par la présentation, le 07 mai 2014 à Athènes, du rapport Pasquier sur le Sahara marocain et qui sera soumis à la prochaine session plénière de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) du 23 au 27 juin 2014.
Dans ce rapport, Madame Pasquier appelle à la poursuite des efforts et du travail du Conseil National des Droits de l’Homme afin de consacrer les valeurs et le respect des Droits Humains au Maroc, recommande une meilleure coordination du Maroc avec le Comité International de la Croix Rouge et la mise en œuvre des recommandations issues des Procédures Spéciales du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies.
S’agissant de l’Algérie, le rapport Pasquier n’y va pas de main morte. Il est exigé de l’Algérie le recensement, l’enregistrement et l’identification des populations des camps de Tindouf pour établir le nombre effectif des réfugiés dans ces camps et l’ouverture inconditionnelle sur les Procédures Spéciales du Conseil des Droit de l’Homme des Nations-Unies.
Ce rapport appelle également l’Algérie et le polisario à mettre un terme aux violations des droits de libre expression, de réunion et d’association pour tous les réfugiés saharaouis, y compris en s’assurant qu’ils sont libres de manifester leur marocanité et de rejoindre le Royaume du Maroc.
Une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU et un rapport Pasquier qui prouvent, si besoin est, qu’Amnesty International s’est totalement embourbé sur le cas du Maroc et amènent à s’interroger sur sa crédibilité.
Pour ma part, j’apporte aux lecteurs quelques éléments de preuves irréfutables sur les pratiques peu respectables de nombre de ses responsables et qui détruisent sa crédibilité.
Nul ne peut contester le conflit d’intérêt entre le Président Amnesty France, Francis Perrin, et la société total qui a conduit à l’occultation du rôle de Total en Birmanie dans les rapports d’Amnesty International. Un article publié par Bakchich à ce sujet en 2008 est éloquent.
Autre trouble, celui du versement d’indemnités de départ à deux dirigeants d’Amnesty International en 2009 dépassant le million d’Euros. Un versement qui avait été dévoilé par un article publié sur Mail OnLine.
L’exploitation par Amnesty International de faits mensongers sur de soi-disant mercenaires de Kadhafi rapportés par la Présidente d’Amnesty International-France, Geneviève Garrigos qu’elle a démentis plus tard.
Un autre versement d’indemnités de départ qui a soulevé nombre de questions, celui perçu par la 7ème Secrétaire Général d’Amnesty International, Irène Zubaida Khan qui a fait l’objet d’un article du Canard Enchaîné en date du 23 mars 2011.
Enfin, le gros mensonge d’Amnesty International n’est ni plus ni moins son communiqué dans lequel elle a accusé le Maroc de restreindre la liberté de circulation de l’activiste sahraouie Aminatou Haidar alors qu’elle animait une conférence en Espagne après avoir quitté le Maroc avec un passeport marocain.
En conclusion, au regard de ce qui précède, on peut, sans risque de se tromper, affirmer qu’Amnesty International est manipulé de l’intérieur par ses responsables qui défendent leurs propres intérêts et non celui des Droits de l’Homme.
Amnesty International concocte des rapports qui reposent sur des données non fiables ou transmises par certaines parties occultes en contrepartie de gratifications alléchantes ou qui sont élaborés à partir de vieilles informations tirées de ses tiroirs poussiéreux, non remises à jour et qu’elle nous réchauffe pour nous les resservir.
Aussi, si au Casino l’expression «rien ne va plus» signale aux joueurs la fin des mises, dans ce cas d’espèce, il signale la fin de la crédibilité d’Amnesty International.
Quant à la presse algérienne, prompte à sortir l’artillerie lourde contre le Maroc suite à la publication du rapport erroné d’Amnesty International, elle n’a pipé mot sur le rapport Pasquier. C’est dire de la valeur déontologique d’une presse aux ordres de ses généreux financiers de la DRS et du Palais d’El Mouradia.
Farid Mnebhi