La première industrie légale du cannabis aux États-Unis est officiellement née mercredi au Colorado, donnant le coup d'envoi à une expérience qui sera suivie de près par plusieurs États américains et pays à travers le monde.
Les promoteurs de la cause espèrent que cela démontrera que la légalisation est une alternative plus intéressante que la coûteuse lutte contre le narcotrafic.
Les propriétaires des boutiques de marijuana du Colorado qui ont ouvert leurs portes aux premiers clients, mercredi matin le premier janvier, espèrent pour leur part que l'industrie générera autant de revenus que l'espèrent les représentants de l'État.
À Denver, plus d'une dizaines de personnes faisaient la queue devant l'un de ces commerces.
«Nous voulions faire partie de ce mouvement», a affirmé Brandon Harris, qui a fait 20 heures de route à partir de Blanchester, dans l'État de l'Ohio, afin d'être sur place.
«Nous faisons l'histoire en ce moment», a-t-il ajouté.
Quelques heures auparavant, les adeptes de marijuana accueillaient la nouvelle année _ et la nouvelle industrie _ en allumant des pipes à eau dans une fête où l'on soulignait la «fin de la prohibition» au centre-ville de Denver.
À l'autre bout de la ville, un camion servait de la nourriture et des boissons chaudes aux campeurs qui attendaient l'ouverture des portes.
Les détracteurs de la légalisation préviennent qu'un accès plus facile à la substance se traduira par des abus, incluant chez les adolescents, et par de la criminalité.
La consommation de pot est légale depuis l'an dernier au Colorado, mais l'arrivée du Green Wednesday représente une victoire supplémentaire pour le mouvement qui se battait pour la légalisation de la marijuana depuis des décennies.
Des dizaines d'États américains et de pays songent aussi à modifier leurs lois sur la marijuana.
L'Uruguay est récemment devenue la première nation à créer un marché réglementé et légal de la substance.
Les propriétaires des boutiques de marijuana du Colorado qui ont ouvert leurs portes aux premiers clients, mercredi matin le premier janvier, espèrent pour leur part que l'industrie générera autant de revenus que l'espèrent les représentants de l'État.
À Denver, plus d'une dizaines de personnes faisaient la queue devant l'un de ces commerces.
«Nous voulions faire partie de ce mouvement», a affirmé Brandon Harris, qui a fait 20 heures de route à partir de Blanchester, dans l'État de l'Ohio, afin d'être sur place.
«Nous faisons l'histoire en ce moment», a-t-il ajouté.
Quelques heures auparavant, les adeptes de marijuana accueillaient la nouvelle année _ et la nouvelle industrie _ en allumant des pipes à eau dans une fête où l'on soulignait la «fin de la prohibition» au centre-ville de Denver.
À l'autre bout de la ville, un camion servait de la nourriture et des boissons chaudes aux campeurs qui attendaient l'ouverture des portes.
Les détracteurs de la légalisation préviennent qu'un accès plus facile à la substance se traduira par des abus, incluant chez les adolescents, et par de la criminalité.
La consommation de pot est légale depuis l'an dernier au Colorado, mais l'arrivée du Green Wednesday représente une victoire supplémentaire pour le mouvement qui se battait pour la légalisation de la marijuana depuis des décennies.
Des dizaines d'États américains et de pays songent aussi à modifier leurs lois sur la marijuana.
L'Uruguay est récemment devenue la première nation à créer un marché réglementé et légal de la substance.