La liberté de réunion
Les autorités algériennes continuent de restreindre la liberté de réunion, en s'appuyant sur les techniques préventives, notamment en bloquant l'accès aux sites de manifestations prévues et arrêter les organisateurs à l'avance pour empêcher les manifestations publiques de même de commencer. Lors de manifestations pacifiques dans le sud du pays, organisé par les associations de chômeurs, la police a arrêté des manifestants. Tribunaux plus tard condamné plusieurs d'entre eux à des amendes ou d'emprisonnement avec sursis. La police a arrêté Taher Belabes, un coordonnateur pour le Comité national pour la défense des droits des chômeurs, dans la ville méridionale de Ouargla, le 2 Janvier, après la police a dispersé des manifestants pacifiques emplois et le limogeage des responsables locaux exigeants pour ne pas avoir à lutter contre le chômage. Procureurs chargés Belabes avec «entrave à la circulation" et "incitation à un rassemblement" et condamné le 3 Février à un mois de prison et une amende de 50.000 dinars algériens (614 US $).
Liberté d'Association
Le 20 Février 2013, la police a arrêté et expulsé 10 membres non algériens des associations de chômeurs dans d'autres pays du Maghreb qui avaient voyagé à Alger pour assister à la première Forum Maghreb pour la lutte contre le chômage et le travail temporaire ( Forum maghrébin verser la Lutte Contre le Chômage et Le Travail précaire ) qui devait avoir lieu le 20 Février et 21 au centre de syndicat dans le quartier de Bab Ezzouar. Les fonctionnaires les ont détenus au poste de police de Bab Ezzouar, avant de les emmener à l'aéroport, d'où ils ont expulsé cinq Tunisiens et trois Mauritaniens que le même jour, et deux Marocains générateurs d'lendemain.
Liberté d'expression
L'Etat assure toutes les stations de télévision et de radio, et sur des questions clés, telles que la sécurité et la politique étrangère et économique, ils diffusé la ligne officielle et laissez pas de commentaire dissident ou reportages critiques.
La loi Janvier 2012 sur l'information éliminé les peines de prison mais a soulevé des amendes pour les journalistes qui commettent des délits d'expression. Les infractions comprennent diffamation ou méprisant pour le président, les institutions étatiques et les tribunaux. La loi a également élargi restrictions imposées aux journalistes en les obligeant à respecter les concepts formulés en termes vagues, tels que l'unité nationale et de l'identité, de l'ordre public, et les intérêts économiques nationaux.
Autres délits d'expression imprègnent encore le code pénal, qui prévoit jusqu'à trois ans de prison pour tracts, bulletins, ou des dépliants qui «peuvent nuire à l'intérêt national" et jusqu'à un an pour avoir diffamé ou insulté le président de la république, le parlement, l'armée, ou institutions de l'Etat. Les procureurs transporter des journalistes et des éditeurs indépendants au tribunal pour diffamation ou insulte aux fonctionnaires, et les tribunaux de première instance les condamner parfois à la prison et de lourdes amendes, seul à avoir recours tribunaux annulent ou convertir à des peines avec sursis les peines imposées par les tribunaux inférieurs.
Le 19 mai, le parquet d'Alger chargé Hisham Abboud, directeur et propriétaire du journal privé Jaridati et son édition française Mon Journal , de compromettre la sécurité de l'État en publiant un article sur la santé du président Abdelaziz Bouteflika. Le ministère des Télécommunications a interdit deux journaux de publier un rapport en première page sur la détérioration de la santé du président, sur la base de sources et des sources proches de Bouteflika médicales françaises.
Harcèlement judiciaire
En 2013, les autorités chargées de plusieurs militants des droits de l'homme et des dirigeants syndicaux de crimes liés à l'exercice pacifique de leur droit de se réunir ou de leur harmonisation du soutien à des grèves et des manifestations. Un tribunal le 6 mai condamné Abdelkader Kherba, membre du Comité national de défense des droits des chômeurs ( Comité national pour la défense des droits des Chômeurs-CNDDC) à deux mois de prison, et lui 20 000 dinars (250 dollars) une amende après avoir distribué des tracts sur le chômage national.
Droits des syndicats
Autorités algériennes en 2013 ont de plus en plus serré vers le bas sur les efforts des travailleurs de former des syndicats indépendants et d'organiser et de participer à des manifestations et des grèves pacifiques. Les autorités ont bloqué manifestations syndicales, de syndicalistes arrêtés arbitrairement, et poursuivi certains sur des accusations criminelles, alors que le véritable motif derrière leur répression semble avoir été la peine pour activités syndicales.
Autorités algériennes s'engagent dans des manœuvres administratives de refuser le statut juridique des syndicats indépendants. La loi sur la légalisation de nouveaux syndicats exige que ces groupes seulement de signaler aux autorités qu'ils existent, ne pas chercher la permission de former. Mais les autorités refusent parfois de délivrer un reçu prouvant qu'ils ont été notifiés.
L'Union des enseignants du supérieur solidaires ( Syndicat des Enseignants du Supérieur Solidaires ), par exemple, a déposé ses papiers le 19 Janvier 2012. Il reçu aucune réception à l'époque et n'a pas encore reçu de réponse du gouvernement, ce qui signifie qu'il ne peut pas fonctionner légalement.
Responsabilité pour les crimes passés
La loi de 2006 sur la paix et la réconciliation nationale fournit un cadre juridique pour l'impunité des auteurs d'atrocités pendant la guerre civile. La loi permet également un crime de dénigrer les institutions de l'État ou les forces de sécurité pour la façon dont ils ont fait preuve durant le conflit politique, potentiellement pénaliser les personnes qui affirment que les forces commis des violations des droits de l'homme. Associations de disparus, qui continuent d'appeler à la vérité et la justice, l'objet de harcèlement.