Les déceptions se suivent et ne se ressemblent pas pour les séparatistes du Polisario et leurs mentors algériens, qui viennent d’essuyer un nouveau revers suite à la décision du gouvernement de la république de Maurice de retirer sa reconnaissance de la fantomatique RASD.
Le récent appel depuis Tindouf des dirigeants du polisario à leur soi-disant "diplomatie" pour multiplier les efforts afin d'engranger un maximum de reconnaissance à la république fantoche en 2014 ne semble pas avoir eu d'écho auprès de nombreux pays ayant décidé de retirer leurs reconnaissances de l’entité imaginaire, donnant ainsi toutes leurs chances aux efforts sincères et initiatives sérieuses que le Maroc ne cesse d'entreprendre en vue de parvenir à un règlement durable au conflit crée de toutes pièces autour de son intégrité territoriale.
La République de Maurice vient ainsi s’ajouter à une longue liste d'Etats qui ne reconnaissent plus une entité qui n’existe en réalité que dans l'imaginaire des ennemis de l'intégrité territoriale dont le seul souci est de freiner la marche du Maroc vers davantage de progrès et de stopper les aspirations de la population de toute la région maghrébine à une intégration devenue une nécessité stratégique. Après tout récemment, le Panama et le Paraguay voilà qu'un autre pays tout aussi important sur l'échiquier international qu'est la république de Maurice se rend à l'évidence qu'il ne peut plus continuer à reconnaitre une entité qui n'existe pas, ce qui représente un triple camouflet pour les séparatistes du Polisario et leur soutien algérien en l’espace de moins de trois mois.
La décision de la république de Maurice, qui intervient, comme l’a souligné la primature de ce pays, dans le cadre d’une révision de la position de Port-Louis sur un certain nombre de questions internationales, vient ainsi conforter le Maroc dans ses positions légitimes face aux velléités des ennemis de son intégrité territoriale.
Les décisions successives de retrait de la reconnaissance de la pseudo-RASD, ressenties durement à Alger comme dans les camps de Tindouf (sud-ouest de l’Algérie), dénotent un changement profond de la donne concernant le conflit artificiel autour du Sahara à la faveur de l’initiative marocaine d’octroyer une large autonomie aux provinces du sud dans le cadre de la souveraineté nationale.
Le conflit du Sahara dit occidental, rappelle-t-on, est un conflit imposé au Maroc par l’Algérie qui finance et qui héberge sur son territoire à Tindouf le mouvement séparatiste du polisario. Le polisario, soutenu par le pouvoir algérien, revendique la création d’un Etat factice au Maghreb. Cette situation bloque tous les efforts de la communauté internationale pour une intégration économique et sécuritaire régionale.
La République de Maurice vient ainsi s’ajouter à une longue liste d'Etats qui ne reconnaissent plus une entité qui n’existe en réalité que dans l'imaginaire des ennemis de l'intégrité territoriale dont le seul souci est de freiner la marche du Maroc vers davantage de progrès et de stopper les aspirations de la population de toute la région maghrébine à une intégration devenue une nécessité stratégique. Après tout récemment, le Panama et le Paraguay voilà qu'un autre pays tout aussi important sur l'échiquier international qu'est la république de Maurice se rend à l'évidence qu'il ne peut plus continuer à reconnaitre une entité qui n'existe pas, ce qui représente un triple camouflet pour les séparatistes du Polisario et leur soutien algérien en l’espace de moins de trois mois.
La décision de la république de Maurice, qui intervient, comme l’a souligné la primature de ce pays, dans le cadre d’une révision de la position de Port-Louis sur un certain nombre de questions internationales, vient ainsi conforter le Maroc dans ses positions légitimes face aux velléités des ennemis de son intégrité territoriale.
Les décisions successives de retrait de la reconnaissance de la pseudo-RASD, ressenties durement à Alger comme dans les camps de Tindouf (sud-ouest de l’Algérie), dénotent un changement profond de la donne concernant le conflit artificiel autour du Sahara à la faveur de l’initiative marocaine d’octroyer une large autonomie aux provinces du sud dans le cadre de la souveraineté nationale.
Le conflit du Sahara dit occidental, rappelle-t-on, est un conflit imposé au Maroc par l’Algérie qui finance et qui héberge sur son territoire à Tindouf le mouvement séparatiste du polisario. Le polisario, soutenu par le pouvoir algérien, revendique la création d’un Etat factice au Maghreb. Cette situation bloque tous les efforts de la communauté internationale pour une intégration économique et sécuritaire régionale.