L'Algérie doit prendre des mesures concrètes pour améliorer les droits de l’Homme dans le pays selon une lettre envoyée par six groupes de défense des droits de l’Homme, parmi lesquels Human Rights Watch (HRW).
Cette lettre est adressée au président Bouteflika, alors que le pays fait campagne pour obtenir un siège de trois ans au Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies et dont le vote doit avoir lieu demain 12 novembre.
« L'Algérie doit mettre fin à la répression contre les syndicats indépendants et permettre aux travailleurs d'exercer leur droit de se réunir librement et de manifester sans recourir à la violence pour les disperser », selon HRW.
De son côté, Eric Goldstein, directeur Afrique du Nord/Moyen- Orient à Human Rights Watch, explique que « si l'Algérie veut un siège au Conseil des droits de l’Homme, elle doit montrer sa préoccupation pour les droits de ses propres syndicalistes. Les Algériens doivent pouvoir s'exprimer librement et manifester ou exprimer leurs opinions », a-t-il ajouté.
L'Algérie doit également libérer les personnes qui purgent une peine de prison pour des délits de liberté d'expression, selon HRW. « Les autorités doivent, en particulier, abandonner les accusations d'infractions contre le blogueur Abdelghani Aloui, détenu depuis le 15 septembre, pour avoir critiqué une éventuelle candidature du Président aux prochaines élections et partagé des photos et caricatures du Président sur sa page Facebook » conclut HRW.
« L'Algérie doit mettre fin à la répression contre les syndicats indépendants et permettre aux travailleurs d'exercer leur droit de se réunir librement et de manifester sans recourir à la violence pour les disperser », selon HRW.
De son côté, Eric Goldstein, directeur Afrique du Nord/Moyen- Orient à Human Rights Watch, explique que « si l'Algérie veut un siège au Conseil des droits de l’Homme, elle doit montrer sa préoccupation pour les droits de ses propres syndicalistes. Les Algériens doivent pouvoir s'exprimer librement et manifester ou exprimer leurs opinions », a-t-il ajouté.
L'Algérie doit également libérer les personnes qui purgent une peine de prison pour des délits de liberté d'expression, selon HRW. « Les autorités doivent, en particulier, abandonner les accusations d'infractions contre le blogueur Abdelghani Aloui, détenu depuis le 15 septembre, pour avoir critiqué une éventuelle candidature du Président aux prochaines élections et partagé des photos et caricatures du Président sur sa page Facebook » conclut HRW.