Il est à signaler aussi que la majorité écrasante des ministres, des généraux qui ont dirigé l’Algérie depuis 1962 ont tous une double nationalité. Chakib Khalil est un Américain, Lyazid Zarhouni est un Tunisien comme le chef terroriste Ali Benhadj. L’ensemble des généraux jouissent de la nationalité Française pour avoir servi ce pays durant la guerre de libération en Algérie. A titre illustratif, le tortionnaire Khaled Nezzar, et selon une biographie écrite de ses propres mains, était un sous officier de l’armée françaises jusqu’à la fin de l’année 1959. Ce sont ces vérités que la presse algérienne devrait étaler !
Le premier chef d’état algérien imposé par un coup d’état du clan de Oujda en 1962, Ahmed Ben Bella, était de parents marocains. A ce jour, l’actuel locataire d’El Mouradia, l’invisible Bouteflika, est aussi Marocain, puisqu’il est né à Oujda.. On se demande pourquoi alors l’acquisition du chanteur algérien Cheb Khaled de la nationalité marocaine a soulevé un tollé général en Algérie ? Pourquoi la presse algérienne ne fait jamais allusion à la « marocanité » de ces deux chefs d’état, si demander la nationalité marocaine est une tare ?
La haine que vouent les décideurs algériens au Maroc, c’est-à-dire les généraux qui ont tous fait carrière dans l’armée Française durant la guerre de libération nationale, est injustifiée. Les marocains ont pourtant joué un rôle prépondérant pour la libération de l’Algérie du joug colonial. Les leaders historiques sont toujours reconnaissants envers ce pays frère. C’est grâce au Maroc que le FLN avait pris part au congrès de Bandung en 1956. Ce ne sont pas les exemples et les faits historiques qui manquent pour se rendre compte du rôle que le Maroc avait joué en faveur de l’indépendance de l’Algérie. A vrai dire, même les régions de Tlemcen et de Tindouf sont territoires marocains. L’armée française les avait annexés à l’Algérie.
Il est à signaler aussi que la majorité écrasante des ministres, des généraux qui ont dirigé l’Algérie depuis 1962 ont tous une double nationalité. Chakib Khalil est un Américain, Lyazid Zarhouni est un Tunisien comme le chef terroriste Ali Benhadj. L’ensemble des généraux jouissent de la nationalité Française pour avoir servi ce pays durant la guerre de libération en Algérie. A titre illustratif, le tortionnaire Khaled Nezzar, et selon une biographie écrite de ses propres mains, était un sous officier de l’armée françaises jusqu’à la fin de l’année 1959. Ce sont ces vérités que la presse algérienne devrait étaler ! Mais hélas, personne n’en parle. On préfère s’acharner sur un chanteur qui ne vaut rien dans la balance du pouvoir.
Nassim N.
La haine que vouent les décideurs algériens au Maroc, c’est-à-dire les généraux qui ont tous fait carrière dans l’armée Française durant la guerre de libération nationale, est injustifiée. Les marocains ont pourtant joué un rôle prépondérant pour la libération de l’Algérie du joug colonial. Les leaders historiques sont toujours reconnaissants envers ce pays frère. C’est grâce au Maroc que le FLN avait pris part au congrès de Bandung en 1956. Ce ne sont pas les exemples et les faits historiques qui manquent pour se rendre compte du rôle que le Maroc avait joué en faveur de l’indépendance de l’Algérie. A vrai dire, même les régions de Tlemcen et de Tindouf sont territoires marocains. L’armée française les avait annexés à l’Algérie.
Il est à signaler aussi que la majorité écrasante des ministres, des généraux qui ont dirigé l’Algérie depuis 1962 ont tous une double nationalité. Chakib Khalil est un Américain, Lyazid Zarhouni est un Tunisien comme le chef terroriste Ali Benhadj. L’ensemble des généraux jouissent de la nationalité Française pour avoir servi ce pays durant la guerre de libération en Algérie. A titre illustratif, le tortionnaire Khaled Nezzar, et selon une biographie écrite de ses propres mains, était un sous officier de l’armée françaises jusqu’à la fin de l’année 1959. Ce sont ces vérités que la presse algérienne devrait étaler ! Mais hélas, personne n’en parle. On préfère s’acharner sur un chanteur qui ne vaut rien dans la balance du pouvoir.
Nassim N.