Le Département d'Etat US a renouvelé vendredi sa mise en garde aux ressortissants américains
contre les risques de voyage en Algérie, en raison de la menace terroriste «persistante» et des risques de kidnapping dans ce pays.
«Le Département d'Etat exhorte les citoyens américains se rendant en Algérie à procéder à une évaluation minutieuse des risques à leur sécurité personnelle, en tenant compte du degré élevé de la menace terroriste et de kidnapping» dans ce pays, lit-on dans une nouvelle alerte au voyage relative à l'Algérie, diffusée par la diplomatie américaine.
Le document souligne, en outre, que le groupe terroriste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) reste «actif et opère à travers le territoire algérien», en rappelant qu'Aqmi avait revendiqué notamment l'enlèvement d'une ressortissante italienne et son chauffeur algérien, ainsi que l'attentat suicide perpétré en 2011 contre l'Académie militaire algérienne de Cherchell, près de la capitale Alger.
Les autorités américaines mettent en garde aussi contre la menace posée par le «Mouvement pour l'unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest» (Mujao), également actif sur le territoire algérien. Ce groupe terroriste, rappelle le Département d'Etat, avait kidnappé, en octobre 2011, trois ressortissants européens, dont deux Espagnols et un Italien, dans les camps de Tindouf, en territoire algérien.
Le document de la diplomatie US rappelle également l'attaque terroriste suivie de la prise d'otage de dizaines de ressortissants étrangers et d'Algériens dans le complexe gazier d'Inamenas en janvier dernier, perpétrée par «Les Signataires par le sang», groupe terroriste lié à Aqmi et dirigé par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar.
Cette opération s'était soldée par la mort de dizaines d'otages, dont trois Américains, selon la même source, qui relève que Belmokhtar et son groupe continuent de représenter une menace dans la région.
Par ailleurs, le Département d'Etat indique que «l'Administration américaine estime que la menace qui plane sur le personnel de l'ambassade US à Alger est suffisamment grave pour inciter les membres de cette mission diplomatique à vivre et à travailler sous des restrictions sécuritaires significatives».
«Le Département d'Etat exhorte les citoyens américains se rendant en Algérie à procéder à une évaluation minutieuse des risques à leur sécurité personnelle, en tenant compte du degré élevé de la menace terroriste et de kidnapping» dans ce pays, lit-on dans une nouvelle alerte au voyage relative à l'Algérie, diffusée par la diplomatie américaine.
Le document souligne, en outre, que le groupe terroriste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) reste «actif et opère à travers le territoire algérien», en rappelant qu'Aqmi avait revendiqué notamment l'enlèvement d'une ressortissante italienne et son chauffeur algérien, ainsi que l'attentat suicide perpétré en 2011 contre l'Académie militaire algérienne de Cherchell, près de la capitale Alger.
Les autorités américaines mettent en garde aussi contre la menace posée par le «Mouvement pour l'unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest» (Mujao), également actif sur le territoire algérien. Ce groupe terroriste, rappelle le Département d'Etat, avait kidnappé, en octobre 2011, trois ressortissants européens, dont deux Espagnols et un Italien, dans les camps de Tindouf, en territoire algérien.
Le document de la diplomatie US rappelle également l'attaque terroriste suivie de la prise d'otage de dizaines de ressortissants étrangers et d'Algériens dans le complexe gazier d'Inamenas en janvier dernier, perpétrée par «Les Signataires par le sang», groupe terroriste lié à Aqmi et dirigé par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar.
Cette opération s'était soldée par la mort de dizaines d'otages, dont trois Américains, selon la même source, qui relève que Belmokhtar et son groupe continuent de représenter une menace dans la région.
Par ailleurs, le Département d'Etat indique que «l'Administration américaine estime que la menace qui plane sur le personnel de l'ambassade US à Alger est suffisamment grave pour inciter les membres de cette mission diplomatique à vivre et à travailler sous des restrictions sécuritaires significatives».