Le Fonds Monétaire International (FMI) a décidé de reconduire la ligne de précaution et de liquidité (LPL), qui avait été accordée au Maroc le 3 août 2012, a appris APA.
La LPL est ouverte sur une période de 24 mois, et porte sur un montant de 6,21 milliards de dollars, ce qui permettra au Maroc de poursuivre sa politique d’emprunts internationaux engagés depuis plusieurs mois.
«Cette décision réconforte les réformes engagée par le Royaume et prouve que les institutions financières internationales continuent d’accorder leur confiance au Maroc », affirme le ministère marocain de l’Economie et des Finances, dans un communiqué.
Après la détérioration des comptes fiscaux et externes en 2012, les autorités marocaines ont pris des mesures significatives pour réduire les fragilités, malgré un environnement externe défavorable et un contexte régional stimulant.
«La LPL continuera à soutenir les autorités afin de poursuivre les réformes du pays, dont l’objectif est de promouvoir une croissance économique vigoureuse et solidaire, tout en offrant une assurance utile contre les chocs exogènes», ajoute le ministère.
Selon Nemat Shafik, vice-directeur exécutif du FMI, la LPL a permis au Maroc d’obtenir une garantie contre les risques extérieurs et conforté la stratégie économique des autorités après la détérioration des comptes fiscaux et des avoirs extérieurs en 2012.
La LPL, qui remplace la ligne de crédit et de précaution (LCP), a été conçue pour répondre aux besoins de liquidité des pays membres dont l’économie est solide mais qui restent exposés à certains facteurs de vulnérabilité. Selon un communiqué du FMI, la LPL continuera à soutenir les autorités afin de poursuivre les réformes du pays, dont l’objectif consiste à promouvoir une croissance économique vigoureuse et solidaire tout en offrant une assurance contre les chocs exogènes.
Si la décision du FMI traduit une certaine confiance dans l’économie marocaine suite aux réformes engagées par le gouvernement pour contrôler le déficit budgétaire, cette ligne de crédit implique une conditionnalité ex post. Ainsi le fonds appelle le Maroc à accélérer les réformes structurelles pour soutenir la compétitivité extérieure de l’économie nationale ainsi que pour maintenir les équilibres macroéconomiques.
Cette reconduction devrait rassurer les investisseurs étrangers et améliorer les perspectives économiques et financières du pays.
Après la détérioration des comptes fiscaux et externes en 2012, les autorités marocaines ont pris des mesures significatives pour réduire les fragilités, malgré un environnement externe défavorable et un contexte régional stimulant.
«La LPL continuera à soutenir les autorités afin de poursuivre les réformes du pays, dont l’objectif est de promouvoir une croissance économique vigoureuse et solidaire, tout en offrant une assurance utile contre les chocs exogènes», ajoute le ministère.
Selon Nemat Shafik, vice-directeur exécutif du FMI, la LPL a permis au Maroc d’obtenir une garantie contre les risques extérieurs et conforté la stratégie économique des autorités après la détérioration des comptes fiscaux et des avoirs extérieurs en 2012.
La LPL, qui remplace la ligne de crédit et de précaution (LCP), a été conçue pour répondre aux besoins de liquidité des pays membres dont l’économie est solide mais qui restent exposés à certains facteurs de vulnérabilité. Selon un communiqué du FMI, la LPL continuera à soutenir les autorités afin de poursuivre les réformes du pays, dont l’objectif consiste à promouvoir une croissance économique vigoureuse et solidaire tout en offrant une assurance contre les chocs exogènes.
Si la décision du FMI traduit une certaine confiance dans l’économie marocaine suite aux réformes engagées par le gouvernement pour contrôler le déficit budgétaire, cette ligne de crédit implique une conditionnalité ex post. Ainsi le fonds appelle le Maroc à accélérer les réformes structurelles pour soutenir la compétitivité extérieure de l’économie nationale ainsi que pour maintenir les équilibres macroéconomiques.
Cette reconduction devrait rassurer les investisseurs étrangers et améliorer les perspectives économiques et financières du pays.