Encore une fois, la presse algérienne et ses commanditaires ont versé dans la bêtise, en donnant libre cours à un déferlement d’expressions injurieuses à l’égard du Maroc et de son Roi. Animés par une animosité intrinsèque et croyant trouver une occasion de descendre le Maroc en flammes, ils se sont ligués pour faire étalage de griefs, nourris de contre-vérités, perceptibles dans des éditoriaux traduisant l’état psychique de leurs auteurs et qui trahissent la sous-traitance.
Pour se convaincre de l’immodération, voire de l’immoralité, de la presse algérienne dans le traitement de l’affaire de la grâce accordée par erreur – puis retirée – au pédophile espagnol, il n’y a qu’à faire le parallèle avec celui réfléchi et professionnel réservé par le reste de la presse internationale à la même question.
Connaissant l’assujettissement de la presse algérienne à une ligne éditoriale à la solde de la junte qui détient les rênes d’un pouvoir qui ne dit pas son nom et qui s’évertue à nourrir toute sorte de griefs contre le Maroc, il fallait s’y attendre. Rodée à la transfiguration des réalités pour satisfaire à la volonté malsaine de nuire à l’image de notre pays - ce qui depuis belle lurette est un secret de polichinelle -, elle n’a d’autre alternative que de tenter de mystifier nos moindres paroles, faits et gestes et de jeter le discrédit sur le pays qui, sans chercher à le faire, dame le pion sur la scène internationale à une Algérie rétrograde et pleine de rancœur depuis la guerre des sables qu’elle a provoquée et où elle a été battue à plate couture, jusqu’à nos jours où les écarts sont criards.
C’est dans ce contexte qu’Alger n’arrive pas à transcender – tant qu’aucun changement majeur n’intervient pas au niveau de son régime cloîtré –, qu’il est naturellement indiqué d’essayer de comprendre ses assauts désespérés contre le pays qui se veut frère et qu’elle n’a de cesse d’en faire un ennemi, en dépit du bon sens, des vertus du bon voisinage et de l’appel de la communauté internationale à la construction d’un avenir commun dans le cadre de la coopération fructueuse et de l’entente conviviale.
C’est donc sous couvert de commenter l’incident malheureux qui a fait profiter un violeur d’enfants de la grâce royale, avec un décalage dans le temps au moment où cette grâce a été retirée et l’intéressé sous les verrous, que la presse algérienne s’est donné le mot, dans un cynisme inouï et une mauvaise foi consommée, pour s’attaquer au Maroc et particulièrement au Roi du Maroc en orchestrant insidieusement une campagne déchaînée, dans les règles d’un complot outre-frontière. Trop heureux de saisir une occasion de faire mal, les éditorialistes algériens, de concert, se sont emmêlés les pinceaux pour accoucher d’une analyse identique qui puise des mêmes sources douteuses et noie le peu de faits avérés dans une multitude de racontars et d’allégations infondés, le tout saupoudré de questions sournoises.
Pour toute réponse à cette presse véhémente, on n’en veut que ces accolades chaleureuses, émouvantes, franches et sincères, échangées entre le Souverain et les parents et membres des familles des victimes du pédophile honni. Ces images de l’accueil compatissant consacré par Sa Majesté aux parents et proches des victimes, grandement appréciées par l’ensemble des Marocains, leur resteront gravées pour longtemps dans la mémoire. Comme quoi, les liens noués entre le peuple marocain et son Roi sont d’une nature exceptionnelle. A défaut d’en saisir la portée et les effets, il incombe à tous d’en admettre l’existence et d’en respecter la teneur et le bienfait qui en résulte. L’Algérie est dans une sphère, le Maroc dans une autre.
Maintenant, mettons d’autres choses au clair. Voici tiré du discours du Trône du 30 juillet 2013, un passage qui a fait mal à Alger, pourtant il est censé l’aider à se rendre à l’évidence pour aller de l’avant : «Le capital sympathie dont jouit notre première cause à l’international, s’est accru grâce à une bonne appréciation des tenants et des aboutissants de la question de notre intégrité territoriale. Cette évolution trouve son illustration dans le soutien grandissant apporté à notre initiative judicieuse, en l’occurrence notre proposition d’autonomie. A cet égard, Nous relevons notamment que la dernière résolution du Conseil de Sécurité a fermement réaffirmé les paramètres incontournables pour parvenir à une solution politique consensuelle et réaliste. Par ailleurs, cette résolution met particulièrement l’accent sur la dimension régionale de ce différend et souligne la responsabilité de l’Algérie, en tant que partie concernée par ce litige, tant au niveau politique que sur le plan juridico-humanitaire touchant à la situation dégradante qui prévaut dans les camps de Tindouf.» A bon entendeur...
Connaissant l’assujettissement de la presse algérienne à une ligne éditoriale à la solde de la junte qui détient les rênes d’un pouvoir qui ne dit pas son nom et qui s’évertue à nourrir toute sorte de griefs contre le Maroc, il fallait s’y attendre. Rodée à la transfiguration des réalités pour satisfaire à la volonté malsaine de nuire à l’image de notre pays - ce qui depuis belle lurette est un secret de polichinelle -, elle n’a d’autre alternative que de tenter de mystifier nos moindres paroles, faits et gestes et de jeter le discrédit sur le pays qui, sans chercher à le faire, dame le pion sur la scène internationale à une Algérie rétrograde et pleine de rancœur depuis la guerre des sables qu’elle a provoquée et où elle a été battue à plate couture, jusqu’à nos jours où les écarts sont criards.
C’est dans ce contexte qu’Alger n’arrive pas à transcender – tant qu’aucun changement majeur n’intervient pas au niveau de son régime cloîtré –, qu’il est naturellement indiqué d’essayer de comprendre ses assauts désespérés contre le pays qui se veut frère et qu’elle n’a de cesse d’en faire un ennemi, en dépit du bon sens, des vertus du bon voisinage et de l’appel de la communauté internationale à la construction d’un avenir commun dans le cadre de la coopération fructueuse et de l’entente conviviale.
C’est donc sous couvert de commenter l’incident malheureux qui a fait profiter un violeur d’enfants de la grâce royale, avec un décalage dans le temps au moment où cette grâce a été retirée et l’intéressé sous les verrous, que la presse algérienne s’est donné le mot, dans un cynisme inouï et une mauvaise foi consommée, pour s’attaquer au Maroc et particulièrement au Roi du Maroc en orchestrant insidieusement une campagne déchaînée, dans les règles d’un complot outre-frontière. Trop heureux de saisir une occasion de faire mal, les éditorialistes algériens, de concert, se sont emmêlés les pinceaux pour accoucher d’une analyse identique qui puise des mêmes sources douteuses et noie le peu de faits avérés dans une multitude de racontars et d’allégations infondés, le tout saupoudré de questions sournoises.
Pour toute réponse à cette presse véhémente, on n’en veut que ces accolades chaleureuses, émouvantes, franches et sincères, échangées entre le Souverain et les parents et membres des familles des victimes du pédophile honni. Ces images de l’accueil compatissant consacré par Sa Majesté aux parents et proches des victimes, grandement appréciées par l’ensemble des Marocains, leur resteront gravées pour longtemps dans la mémoire. Comme quoi, les liens noués entre le peuple marocain et son Roi sont d’une nature exceptionnelle. A défaut d’en saisir la portée et les effets, il incombe à tous d’en admettre l’existence et d’en respecter la teneur et le bienfait qui en résulte. L’Algérie est dans une sphère, le Maroc dans une autre.
Maintenant, mettons d’autres choses au clair. Voici tiré du discours du Trône du 30 juillet 2013, un passage qui a fait mal à Alger, pourtant il est censé l’aider à se rendre à l’évidence pour aller de l’avant : «Le capital sympathie dont jouit notre première cause à l’international, s’est accru grâce à une bonne appréciation des tenants et des aboutissants de la question de notre intégrité territoriale. Cette évolution trouve son illustration dans le soutien grandissant apporté à notre initiative judicieuse, en l’occurrence notre proposition d’autonomie. A cet égard, Nous relevons notamment que la dernière résolution du Conseil de Sécurité a fermement réaffirmé les paramètres incontournables pour parvenir à une solution politique consensuelle et réaliste. Par ailleurs, cette résolution met particulièrement l’accent sur la dimension régionale de ce différend et souligne la responsabilité de l’Algérie, en tant que partie concernée par ce litige, tant au niveau politique que sur le plan juridico-humanitaire touchant à la situation dégradante qui prévaut dans les camps de Tindouf.» A bon entendeur...
Mohammed SEDRATI