Par ces législatives du 25 novembre 2011, le peuple marocain et Son Roi viennent de donner au monde arabo-musulman une belle leçon de démocratie.
Par ailleurs, et alors que le Maroc vient de réussir un double jackpot, sociétal sur le plan interne et diplomatique sur la scène internationale, l’Algérie est, quant à elle, en chute libre et sans parachute.
Le Maroc, contrairement à l’Algérie, a organisé des législatives saines, transparentes et respectueuses des normes démocratiques en vigueur chez les grandes nations. Le bon déroulement de ces élections ainsi que de la campagne électorale ont été salués par l’ensemble de la communauté internationale et soulignés par les observateurs nationaux et étrangers présents sur place mais aussi par la presse étrangère.
La réussite totale de ces élections a occasionné une grande migraine aux dirigeants et généraux algériens. Ils sont aujourd’hui aux bords de l’apoplexie, eux qui ont annulé les législatives de 1992, volant la victoire aux islamistes du FIS et déclenchant une période de terreur sans précédent.
De plus, la situation politique et sécuritaire ne plaide pas en faveur de ce pays et met gravement en péril la sécurité, la stabilité, la quiétude des pays voisins et de leur population. Une situation qui ne laisse pas indifférent la communauté internationale et l’interpelle.
Son soutien aux anciennes dictatures libyenne et tunisienne, son parrainage aveugle au mouvement séparatiste du polisario, connu pour ses accointances avec le terrorisme islamiste et le trafic de drogue international, mettent en péril sécuritaire toute la région sahélo-saharienne, mais aussi maghrébine, africaine et, par ricocher, la rive nord de la Méditerranée. Les derniers évènements dans les camps de la honte de Tindouf et au Nord Mali le prouvent.
Il est temps pour les militaires d’Alger de cesser leurs jeux sordides et stériles. Les dès sont désormais jetés. Ils doivent laisser le peuple algérien s’exprimer librement lors des prochaines consultations législatives et présidentielles. Au cas contraire, ils devraient s’attendre à la vindicte populaire comme on l’a vu en Libye, en Egypte et en Tunisie, mais aussi en Syrie et au Yémen.
Qu’ils sachent également, que le taux de participation dans les provinces sahariennes, largement supérieur à ceux des autres provinces marocaines, prouve l’indéfectible attachement à la Mère Patrie et à ses Institutions des sahraouis, une composante à part entière de la nation marocaine.
Je voudrais conclure mon billet par cette simple phrase : nous, marocains, berbères, arabes, musulmans et israélites, venons de donner une belle rouste à ceux qui ne cessent de dénigrer et d’insulter notre pays, son peuple et ses institutions.
Ces derniers doivent maintenant danser et balancer sur le white and black blues car nous sommes des millions, treize à la douze, à leur mettre des coups de pompes aux fesses.
Farid Mnebhi.
Par ailleurs, et alors que le Maroc vient de réussir un double jackpot, sociétal sur le plan interne et diplomatique sur la scène internationale, l’Algérie est, quant à elle, en chute libre et sans parachute.
Le Maroc, contrairement à l’Algérie, a organisé des législatives saines, transparentes et respectueuses des normes démocratiques en vigueur chez les grandes nations. Le bon déroulement de ces élections ainsi que de la campagne électorale ont été salués par l’ensemble de la communauté internationale et soulignés par les observateurs nationaux et étrangers présents sur place mais aussi par la presse étrangère.
La réussite totale de ces élections a occasionné une grande migraine aux dirigeants et généraux algériens. Ils sont aujourd’hui aux bords de l’apoplexie, eux qui ont annulé les législatives de 1992, volant la victoire aux islamistes du FIS et déclenchant une période de terreur sans précédent.
De plus, la situation politique et sécuritaire ne plaide pas en faveur de ce pays et met gravement en péril la sécurité, la stabilité, la quiétude des pays voisins et de leur population. Une situation qui ne laisse pas indifférent la communauté internationale et l’interpelle.
Son soutien aux anciennes dictatures libyenne et tunisienne, son parrainage aveugle au mouvement séparatiste du polisario, connu pour ses accointances avec le terrorisme islamiste et le trafic de drogue international, mettent en péril sécuritaire toute la région sahélo-saharienne, mais aussi maghrébine, africaine et, par ricocher, la rive nord de la Méditerranée. Les derniers évènements dans les camps de la honte de Tindouf et au Nord Mali le prouvent.
Il est temps pour les militaires d’Alger de cesser leurs jeux sordides et stériles. Les dès sont désormais jetés. Ils doivent laisser le peuple algérien s’exprimer librement lors des prochaines consultations législatives et présidentielles. Au cas contraire, ils devraient s’attendre à la vindicte populaire comme on l’a vu en Libye, en Egypte et en Tunisie, mais aussi en Syrie et au Yémen.
Qu’ils sachent également, que le taux de participation dans les provinces sahariennes, largement supérieur à ceux des autres provinces marocaines, prouve l’indéfectible attachement à la Mère Patrie et à ses Institutions des sahraouis, une composante à part entière de la nation marocaine.
Je voudrais conclure mon billet par cette simple phrase : nous, marocains, berbères, arabes, musulmans et israélites, venons de donner une belle rouste à ceux qui ne cessent de dénigrer et d’insulter notre pays, son peuple et ses institutions.
Ces derniers doivent maintenant danser et balancer sur le white and black blues car nous sommes des millions, treize à la douze, à leur mettre des coups de pompes aux fesses.
Farid Mnebhi.