L’expert international en matière de terrorisme et du crime organisé, Jose Maria Gil Garre a appelé, mardi, l'ONU à ne pas fermer les yeux sur la question du Sahara, accusant le Polisario "d'avoir besoin du conflit pour continuer à exister, alors que les dirigeants de ce groupe sont aujourd'hui millionnaires".
Le Polisario est un facteur de déstabilisation dans la région sahélo-saharienne en raison de ses liens avérés avec les narcotrafiquants d'Amérique latine et la nébuleuse terroriste qui se développe dans cette région, à New York, Jose Maria Gil Garre.
Les cartels latino-américains de la drogue ont investi l'Afrique, tirant profit des collusions entre les narcotrafiquants latino-américains et certains groupes dans la région sahélo-saharienne, notamment des éléments du Polisario, a affirmé le Directeur de l'observatoire pour la sécurité internationale et des Etudes stratégiques et président de "Eurogroup", basé à Murcie (Espagne).
Selon lui, le Front Polisario bafoue les droits du peuple sahraoui dans les camps. Rien ne justifie la poursuite du conflit, a-t-il clamé. Il a souhaité "que les Nations Unies soient capables d'observer ce qui se passe réellement dans la zone, sinon l'Organisation fera preuve d'un manque de responsabilité".
En effet, a-t-il poursuivi, pour approvisionner le marché européen, les organisations criminelles, cherchent de nouvelles "routes" pour amener leur marchandise à bon port, faisant du continent africain, notamment la région sahélo-saharienne, leur "nouvelle route", à la faveur de la frontière poreuse, de la corruption, les narcos ont réussi à faire de plusieurs Etats africains de véritables plaques tournantes.
L'Afrique de l'Ouest, qui est proche de l'Europe où les Etats y sont fragiles ou inexistants avec des structures faibles et une corruption forte, "constitue la voie idéale et un mouvement corrompu comme le Polisario ne peut que favoriser cette situation", a souligné cet expert à l'issue d'une étude de plus de quatre ans consacrée à l'observation de la migration de la grande criminalité internationale.
Pour Jose Maria Gil Garre, il ne fait aucun doute qu'il existe une "collusion entre ces groupes latino-américains et des éléments du Polisario, en raison des idéologies qu'ils ont en partage et de l'appât du gain facile", comme il ne fait aucun doute entre les liens entre les séparatistes et AQMI, a-t-il expliqué devant la 4eme Commission des Nations Unies.
L'instable région du Sahel déjà confrontée au terrorisme, "constitue un danger pour le Maghreb, notamment le Maroc et l'Algérie", pays empruntés par les trafiquants pour écouler leurs marchandises en Europe, soulignant que la meilleure manière de se prémunir passe, d'abord, par une véritable coopération directe et loyale entre ces deux pays.
"Pour améliorer la stratégie opérationnelle antiterroriste dans la zone, il est nécessaire d'œuvrer ensemble dans un esprit d'engagement sincère" entre les deux pays.
Le Polisario est un facteur de déstabilisation dans la région sahélo-saharienne en raison de ses liens avérés avec les narcotrafiquants d'Amérique latine et la nébuleuse terroriste qui se développe dans cette région, à New York, Jose Maria Gil Garre.
Les cartels latino-américains de la drogue ont investi l'Afrique, tirant profit des collusions entre les narcotrafiquants latino-américains et certains groupes dans la région sahélo-saharienne, notamment des éléments du Polisario, a affirmé le Directeur de l'observatoire pour la sécurité internationale et des Etudes stratégiques et président de "Eurogroup", basé à Murcie (Espagne).
Selon lui, le Front Polisario bafoue les droits du peuple sahraoui dans les camps. Rien ne justifie la poursuite du conflit, a-t-il clamé. Il a souhaité "que les Nations Unies soient capables d'observer ce qui se passe réellement dans la zone, sinon l'Organisation fera preuve d'un manque de responsabilité".
En effet, a-t-il poursuivi, pour approvisionner le marché européen, les organisations criminelles, cherchent de nouvelles "routes" pour amener leur marchandise à bon port, faisant du continent africain, notamment la région sahélo-saharienne, leur "nouvelle route", à la faveur de la frontière poreuse, de la corruption, les narcos ont réussi à faire de plusieurs Etats africains de véritables plaques tournantes.
L'Afrique de l'Ouest, qui est proche de l'Europe où les Etats y sont fragiles ou inexistants avec des structures faibles et une corruption forte, "constitue la voie idéale et un mouvement corrompu comme le Polisario ne peut que favoriser cette situation", a souligné cet expert à l'issue d'une étude de plus de quatre ans consacrée à l'observation de la migration de la grande criminalité internationale.
Pour Jose Maria Gil Garre, il ne fait aucun doute qu'il existe une "collusion entre ces groupes latino-américains et des éléments du Polisario, en raison des idéologies qu'ils ont en partage et de l'appât du gain facile", comme il ne fait aucun doute entre les liens entre les séparatistes et AQMI, a-t-il expliqué devant la 4eme Commission des Nations Unies.
L'instable région du Sahel déjà confrontée au terrorisme, "constitue un danger pour le Maghreb, notamment le Maroc et l'Algérie", pays empruntés par les trafiquants pour écouler leurs marchandises en Europe, soulignant que la meilleure manière de se prémunir passe, d'abord, par une véritable coopération directe et loyale entre ces deux pays.
"Pour améliorer la stratégie opérationnelle antiterroriste dans la zone, il est nécessaire d'œuvrer ensemble dans un esprit d'engagement sincère" entre les deux pays.