Sur 183 pays recensés, le Maroc vient de glaner 21 places dans le classement «Doing Business 2012», pour se hisser au 94e rang mondial. Cette avancée pour le moins remarquable confère désormais au Royaume le statut du meilleur réformateur global (Global Most Improved Economy) dans le domaine du climat des affaires. Établi par la Banque mondiale, ce classement consacre le travail mené depuis 2009 par les équipes du Comité national de l'environnement des affaires (CNEA).
Les actions menées par ce même département auront ainsi permis au Maroc de se démarquer des pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) grâce à la nette amélioration du service public rendu aux citoyens et aux opérateurs économiques.
La démarche s'est avérée d'autant plus judicieuse qu'elle aura été relayée par la dématérialisation des procédures administratives. Selon le rapport, une réforme judiciaire d'envergure a été introduite en 2011 qui renforce la protection des investisseurs nationaux et internationaux. «Le Maroc est l'économie qui a le plus amélioré sa réglementation des affaires par rapport aux autres économies», peut-on ainsi lire dans ce document intitulé «Doing Business 2012 : Entreprendre dans un monde plus transparent». Par l'entremise de la simplification du processus de délivrance des permis de construire, de l'allègement du fardeau administratif du paiement des taxes et impôts pour les sociétés et du renforcement de la protection des actionnaires minoritaires, le Maroc aura tout de même mis en œuvre pas moins de 15 réformes de sa réglementation des affaires. D'autres mesures ont concerné la facilitation de la création des entreprises.
La Maroc a été aussi mieux classé par rapport à l'année dernière pour ce qui est de la qualité des infrastructures. Il y a lieu de rappeler qu'en vue de promouvoir l'acte d'investir, un intérêt particulier a été accordé à l'amélioration du climat de l'investissement. Dans ce cadre, la modernisation de l'environnement juridique des affaires s'est concrétisée par l'application d'un ensemble de textes relatifs à la consolidation de la concurrence et de la transparence.
Il s'agit essentiellement de la loi sur la concurrence et la liberté des prix, de la loi sur les groupements d'intérêt économiques, de la loi sur la propriété industrielle et intellectuelle visant l'encouragement de la créativité. La stratégie nationale d'appui à la création d'entreprise repose sur l'assouplissement des conditions de création des entreprises, le renforcement de leur accompagnement, l'amélioration des conditions de financement des entreprises, le développement des espaces d'accueil et de l'esprit d'entreprise.
Dans la perspective de consolider son processus d'intégration à l'économie mondiale, l'implication du secteur privé a toujours constitué une priorité. L'expérience de ces dernières années a démontré que ce pari n'a pas été vain. L'implication croissante de l'initiative privée dans l'effort d'investissement national, constatée au cours de ces quelques dernières années, trouve son origine dans la conjugaison de la mise en place d'un environnement global favorable au déroulement normal de l'activité économique et de la mise au point de dispositifs appropriés sur le plan institutionnel.
L'économie nationale fait l'objet chaque année, à l'instar de la plupart des autres économies, d'une évaluation par différents organismes comme le Forum économique mondial (rapports sur la compétitivité mondiale, sur les nouvelles technologies et sur le tourisme), la Banque mondiale (Doing Business) et l'Institut américain «The Heritage Foundation», en collaboration avec «The Wall Street Journal» (Rapport sur l'Indice de liberté économique). Ces rapports offrent la possibilité d'évaluer l'économie nationale, selon un certain nombre de critères, et de la positionner par rapport à des pays concurrents ou partenaires. Ils permettent aussi d'apprécier le rythme du Maroc, comparativement à la norme mondiale et régionale, en matière de conduite et de mise en œuvre des réformes dans différents domaines. Comme en témoignent plusieurs rapports, des progrès sensibles ont été réalisés au Maroc dans différents domaines. En effet, le Royaume a enregistré, selon le dernier rapport de la compétitivité économique, des avancées importantes au niveau de certains indicateurs macroéconomiques.
Les actions menées par ce même département auront ainsi permis au Maroc de se démarquer des pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) grâce à la nette amélioration du service public rendu aux citoyens et aux opérateurs économiques.
La démarche s'est avérée d'autant plus judicieuse qu'elle aura été relayée par la dématérialisation des procédures administratives. Selon le rapport, une réforme judiciaire d'envergure a été introduite en 2011 qui renforce la protection des investisseurs nationaux et internationaux. «Le Maroc est l'économie qui a le plus amélioré sa réglementation des affaires par rapport aux autres économies», peut-on ainsi lire dans ce document intitulé «Doing Business 2012 : Entreprendre dans un monde plus transparent». Par l'entremise de la simplification du processus de délivrance des permis de construire, de l'allègement du fardeau administratif du paiement des taxes et impôts pour les sociétés et du renforcement de la protection des actionnaires minoritaires, le Maroc aura tout de même mis en œuvre pas moins de 15 réformes de sa réglementation des affaires. D'autres mesures ont concerné la facilitation de la création des entreprises.
La Maroc a été aussi mieux classé par rapport à l'année dernière pour ce qui est de la qualité des infrastructures. Il y a lieu de rappeler qu'en vue de promouvoir l'acte d'investir, un intérêt particulier a été accordé à l'amélioration du climat de l'investissement. Dans ce cadre, la modernisation de l'environnement juridique des affaires s'est concrétisée par l'application d'un ensemble de textes relatifs à la consolidation de la concurrence et de la transparence.
Il s'agit essentiellement de la loi sur la concurrence et la liberté des prix, de la loi sur les groupements d'intérêt économiques, de la loi sur la propriété industrielle et intellectuelle visant l'encouragement de la créativité. La stratégie nationale d'appui à la création d'entreprise repose sur l'assouplissement des conditions de création des entreprises, le renforcement de leur accompagnement, l'amélioration des conditions de financement des entreprises, le développement des espaces d'accueil et de l'esprit d'entreprise.
Dans la perspective de consolider son processus d'intégration à l'économie mondiale, l'implication du secteur privé a toujours constitué une priorité. L'expérience de ces dernières années a démontré que ce pari n'a pas été vain. L'implication croissante de l'initiative privée dans l'effort d'investissement national, constatée au cours de ces quelques dernières années, trouve son origine dans la conjugaison de la mise en place d'un environnement global favorable au déroulement normal de l'activité économique et de la mise au point de dispositifs appropriés sur le plan institutionnel.
L'économie nationale fait l'objet chaque année, à l'instar de la plupart des autres économies, d'une évaluation par différents organismes comme le Forum économique mondial (rapports sur la compétitivité mondiale, sur les nouvelles technologies et sur le tourisme), la Banque mondiale (Doing Business) et l'Institut américain «The Heritage Foundation», en collaboration avec «The Wall Street Journal» (Rapport sur l'Indice de liberté économique). Ces rapports offrent la possibilité d'évaluer l'économie nationale, selon un certain nombre de critères, et de la positionner par rapport à des pays concurrents ou partenaires. Ils permettent aussi d'apprécier le rythme du Maroc, comparativement à la norme mondiale et régionale, en matière de conduite et de mise en œuvre des réformes dans différents domaines. Comme en témoignent plusieurs rapports, des progrès sensibles ont été réalisés au Maroc dans différents domaines. En effet, le Royaume a enregistré, selon le dernier rapport de la compétitivité économique, des avancées importantes au niveau de certains indicateurs macroéconomiques.