Selon une source de l'AFP, deux coopérants espagnols et un italien ont été enlevés tôt dimanche matin dans un camp de réfugiés sahraouis près de Tindouf, dans l'ouest de l'Algérie, a annoncé le ministère espagnol des Affaires étrangères.
Il s'agirait du camps nommé Rabuni ou deux Espagnols ainsi qu'un Italien ont été enlevés. a déclaré un porte-parole du ministère. Il n'a donné aucune précision sur les circonstances de cet enlèvement, indiquant seulement qu'il s'agissait de "coopérants travaillant dans les camps sahraouis"
Le camp de réfugiés sahraouis de Rabuni est situé près de Tindouf, en Algérie proche du Sahara Marocain où sont parqués de nombreux Sahraouis pour servir de moyens de propagande et de chantage contre l’intégrité territoriale du Maroc.
Ancienne colonie espagnole, le Sahara occidental a réintégré en 1975 le Maroc. L'Algérie qui soutient Front Polisario,, réclame l'indépendance du territoire via un référendum d'autodétermination tandis que le Maroc offre une autonomie sous sa souveraineté, refusant toute indépendance.
Cet enlèvement, probablement orchestré par Al Quaïda au Maghreb Islamique (AQMI), ou l’une des bandes armées ayant prêté allégeance à la nébuleuse terroriste active dans le Sahel, confirme les nombreuses hypothèses selon lesquelles le Front Polisario ne serait plus en capacité de garantir la sécurité des Sahraouis vivant dans les camps, et aurait été infiltré par AQMI, voire aurait tissé avec la franchise local d’Al Quaïda des liens d’assistance mutuels.
Depuis plusieurs années, les observateurs et spécialistes en sécurité sahélienne avaient pourtant prévenu contre le risque que le Polisario ne soit contaminé par AQMI, et il semblerait bien que le scénario catastrophe, réfuté avec violence par Alger, soit en train de se dérouler sous nos yeux impuissants.
Le premier message extrêmement inquiétant est que les enlèvements sont en train de se situer de plus en plus au nord du Sahel, et dans le cas d’espèce, en plein territoire algérien.
Le second enseignement de cet enlèvement est que l’option d’un micro-état administré par le Polisario constitue une menace sécuritaire pour la région dans son ensemble, la balkanisation de la façade nord-occidentale africaine devenant un risque prégnant pour la région dans son ensemble.
Il s'agirait du camps nommé Rabuni ou deux Espagnols ainsi qu'un Italien ont été enlevés. a déclaré un porte-parole du ministère. Il n'a donné aucune précision sur les circonstances de cet enlèvement, indiquant seulement qu'il s'agissait de "coopérants travaillant dans les camps sahraouis"
Le camp de réfugiés sahraouis de Rabuni est situé près de Tindouf, en Algérie proche du Sahara Marocain où sont parqués de nombreux Sahraouis pour servir de moyens de propagande et de chantage contre l’intégrité territoriale du Maroc.
Ancienne colonie espagnole, le Sahara occidental a réintégré en 1975 le Maroc. L'Algérie qui soutient Front Polisario,, réclame l'indépendance du territoire via un référendum d'autodétermination tandis que le Maroc offre une autonomie sous sa souveraineté, refusant toute indépendance.
Cet enlèvement, probablement orchestré par Al Quaïda au Maghreb Islamique (AQMI), ou l’une des bandes armées ayant prêté allégeance à la nébuleuse terroriste active dans le Sahel, confirme les nombreuses hypothèses selon lesquelles le Front Polisario ne serait plus en capacité de garantir la sécurité des Sahraouis vivant dans les camps, et aurait été infiltré par AQMI, voire aurait tissé avec la franchise local d’Al Quaïda des liens d’assistance mutuels.
Depuis plusieurs années, les observateurs et spécialistes en sécurité sahélienne avaient pourtant prévenu contre le risque que le Polisario ne soit contaminé par AQMI, et il semblerait bien que le scénario catastrophe, réfuté avec violence par Alger, soit en train de se dérouler sous nos yeux impuissants.
Le premier message extrêmement inquiétant est que les enlèvements sont en train de se situer de plus en plus au nord du Sahel, et dans le cas d’espèce, en plein territoire algérien.
Le second enseignement de cet enlèvement est que l’option d’un micro-état administré par le Polisario constitue une menace sécuritaire pour la région dans son ensemble, la balkanisation de la façade nord-occidentale africaine devenant un risque prégnant pour la région dans son ensemble.