Une solution politique et mutuellement acceptable au conflit du Sahara Occidental passe par l'application d'une large autonomie de cette région, telle que proposée par le Maroc. C’est une suggestion qui a été avancée par des experts en matière de droits de l’homme réunis mardi à Genève, en marge des travaux de la 17ème session du Conseil des droits de l'Homme (CDH) de l'ONU. Il est temps de trouver une solution politique, mutuellement acceptable à ce conflit, suggèrent les panelistes, appelant l'Algérie, sans qui le Polisario n'aurait pas existé, à mettre fin à son obstination et à s'engager sérieusement sur la voie d'une solution rapide au confli.
Cette solution, affirment-ils, passe par l'application d'une large autonomie de cette région, telle que proposée par le Maroc. Pour les conférenciers, le plan d’autonomie marocain est à même de garantir aux populations séquestrées depuis plus de 36 ans dans les camps de Tindouf, leur identité et leur culture, ainsi que la gestion de leurs propres affaires.
Ces populations, expliquent les intervenants à un panel organisé au Palais des Nations à Genève, pourront ainsi échapper aux conditions inhumaines dans les camps de Tindouf, contribuer au développement socio-économique de leur pays, le Maroc et de garantir de la sorte, un avenir meilleur à leurs enfants.
La conférence intitulée : "Droits de l'Homme, Paix et Sécurité dans les zones de conflit ", a été initiée par l'Action Internationale pour la Paix et le Développement dans la région des Grands Lacs (AIPD-GL), en partenariat avec le Comité International pour le Respect et l'Application de la Charte et l'Union de l'Action Féminine (UAF). Elle était animée par des représentants de l’International Democratic Centre (IDC), de la Société Espagnole pour le Droit International des Droits Humains, du Comité International pour l'Application de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, de l'ONG "AI Intimae pour le Développement des Droits de l'Homme et Coexistence".
La mise en œuvre du plan d'autonomie au Sahara, ajoutent les conférenciers, permettra aussi d’extirper les populations des camps de Tindouf de leur calvaire et de leur isolement et consolidera la stabilité dans toute la région, tout en l’immunisant contre les menaces croissantes des groupes terroristes.
Le règlement de ce vieux conflit, estiment-ils, n'a jamais été aussi urgent surtout au moment où les pays d'Afrique du Nord connaissent des bouleversements qui pourraient générer de l'instabilité dans toute la région et la rendre un terrain fertile pour les réseaux terroristes et les narcotrafiquants. Les éléments armés du Polisario, soutiennent-ils, seraient tentés d'offrir leurs services au mouvement terroriste Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI).
Qualifiant le Polisario de despotique et de totalitaire, les panélistes affirment que le mouvement séparatiste ne représente pas les populations sahraouies, très largement acquises à l'initiative d'autonomie. Pour preuves, les intervenants rappellent les retours massifs au Maroc des Sahraouis qui fuient, les camps de Tindouf de manière individuelle et collective.
Cette solution, affirment-ils, passe par l'application d'une large autonomie de cette région, telle que proposée par le Maroc. Pour les conférenciers, le plan d’autonomie marocain est à même de garantir aux populations séquestrées depuis plus de 36 ans dans les camps de Tindouf, leur identité et leur culture, ainsi que la gestion de leurs propres affaires.
Ces populations, expliquent les intervenants à un panel organisé au Palais des Nations à Genève, pourront ainsi échapper aux conditions inhumaines dans les camps de Tindouf, contribuer au développement socio-économique de leur pays, le Maroc et de garantir de la sorte, un avenir meilleur à leurs enfants.
La conférence intitulée : "Droits de l'Homme, Paix et Sécurité dans les zones de conflit ", a été initiée par l'Action Internationale pour la Paix et le Développement dans la région des Grands Lacs (AIPD-GL), en partenariat avec le Comité International pour le Respect et l'Application de la Charte et l'Union de l'Action Féminine (UAF). Elle était animée par des représentants de l’International Democratic Centre (IDC), de la Société Espagnole pour le Droit International des Droits Humains, du Comité International pour l'Application de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, de l'ONG "AI Intimae pour le Développement des Droits de l'Homme et Coexistence".
La mise en œuvre du plan d'autonomie au Sahara, ajoutent les conférenciers, permettra aussi d’extirper les populations des camps de Tindouf de leur calvaire et de leur isolement et consolidera la stabilité dans toute la région, tout en l’immunisant contre les menaces croissantes des groupes terroristes.
Le règlement de ce vieux conflit, estiment-ils, n'a jamais été aussi urgent surtout au moment où les pays d'Afrique du Nord connaissent des bouleversements qui pourraient générer de l'instabilité dans toute la région et la rendre un terrain fertile pour les réseaux terroristes et les narcotrafiquants. Les éléments armés du Polisario, soutiennent-ils, seraient tentés d'offrir leurs services au mouvement terroriste Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI).
Qualifiant le Polisario de despotique et de totalitaire, les panélistes affirment que le mouvement séparatiste ne représente pas les populations sahraouies, très largement acquises à l'initiative d'autonomie. Pour preuves, les intervenants rappellent les retours massifs au Maroc des Sahraouis qui fuient, les camps de Tindouf de manière individuelle et collective.