"La province d'Aousserd dont le nom est associé à une bataille éponyme qui a marqué l'histoire de la résistance nationale marocaine. Une bataille mémorable et importante s'est déroulée en février 1958 et durant laquelle les résistants ont mené un combat héroïque contre les forces de coalition franco-espagnole'.
Lancés dans une vaste opération conjointe de ratissage dite 'opération d'écouvillon' contre la résistance, les Etats-majors espagnol et français, disposant d'une armée nombreuse et d'un armement moderne, n'avait, en effet, à aucun moment, imaginé que leurs troupes allaient être confrontées, à la localité de Laglat, à des résistants aux effectifs réduits et peu armés, mais décidés à lutter avec abnégation et ténacité pour la défense de l'unité du pays.
Cette bataille importante permet de donner un éclairage sur l'une des épopées de la lutte inscrites en lettres d'or dans les annales de la résistance nationale au même titre que les autres batailles menées dans différentes régions du Royaume.
A 270 km de Dakhla, au sud du Maroc se trouve la ville d'Aousserd. C'est dans ce lieu du Sud qu'une découverte vient d'y être faite ces dernières années. Il s'agirait de la découverte de quelques tombes anciennes qui datent de 15.000 ans. Cependant, selon l'archéologue Abdeslam Mekdad, cette datation est presque impossible. « Au Maroc les plus vielles tombes qui ont été découvertes ne datent pas plus de 4000 ans » déclare t-il. Selon lui concernant cette trouvaille à Aousserd, il s'agirait probablement de monuments funéraires à antennes. En terme archéologique, ces derniers sont aussi appelés des tumulus à antennes. Cela signifie également une élévation de terrain formée par l'accumulation de terres ou de pierres au-dessus d'une sépulture, datant de l'âge du bronze. Cette construction a une forme tumulaire. En dessous de la pierre, on trouve une chambre funéraire construite à partir de dalles. Dans cette chambre funéraire se trouve les squelettes humains couverts de pierre. A cette tombe, on associe deux antennes mis en place à partir de plusieurs dalles de pierre. A première vue cela ressemble à quelqu'un qui tends les bras. Cette technique est selon Abdeslam Mekdad, en étroite simulation avec un rituel ancien intégré dans la protohistoire. Cette période date de 2000 ans av J.C, c'est-à dire le deuxième millénaire. Par ailleurs, il faudrait faire des fouilles archéologiques sur place pour pouvoir déterminer la date précise de ces monuments. Aussi, ces fouilles permettront de comprendre la position historique de ces tombes funéraires. Concrétement, la fouille doit se réaliser de manière très minutieuse. En effet, il ne faudrait pas détériorer toute trace du monument qui permettrait d'élaborer les éléments de la datation. Concernant cette découverte d'Aousserd, les fouilles archéologiques n'ont pas encore commencé. Il faudrait attendre la constitution d'une équipe d'archéologues et d'anthropologues. Dans une première étape, les chercheurs vont s'atteler à d'étudier comment la tombe a été construite. Après une fouille minutieuse, les chercheurs devraient arriver à la chambre funéraire. C'est de cette manière qu'ils pourraient comprendre la position historique des sépultures. Une fois arrivé à la chambre funéraire, les anthropologues vont étudier la position du squelette. Dans la chambre funéraire, c'est tout un monde qui est offert à la découverte et à la surprise des archéologues. Généralement, les chercheurs retrouvent des assiettes, des bijoux... Cela permet de reconstituer la vie des gens de l'époque. La vie mais aussi leur rituel et leurs traditions. C'est une richesse pour le pays de savoir qu'il existait à un moment de l'histoire une ancienne civilisation terrestre. Selon M. Mekdad, pendant le deuxième millénaire, des offrandes étaient offerts aux morts pour combattre les esprits. C'est pour cela qu'on retrouve tout autour des tombes des bijoux, des vases et d'autres objets de valeurs. Cette découverte d'Aousserd concerne deux nécropoles dans lesquelles on aurait trouvé une trentaine ou une quarantaine de monuments intacts. Ces derniers n'ont pas été pillés et sont bien conservés. Selon Abdesslam Mekdad les monuments qui sont découverts au Maroc sont souvent bien conservés. Générallement, ces monuments sont exposés au pillage mais pour lutter contre cela, les chercheurs essaient de sensibiliser la population avoisinante, car le ministère de la culture ne peut pas mettre des gardiens partout. En outre, les archélogues essaient de travailler avec les autorités locales pour assurer la garde. La prochaine étape pour Aousserd, sera bien évidemment la constitution d'une équipe de chercheurs , anthropologues et archéologues pour effectuer des fouilles. Le ministère de la culture qui finance, devra lancer une campagne pour fouiller 4 ou 5 monuments.
Lancés dans une vaste opération conjointe de ratissage dite 'opération d'écouvillon' contre la résistance, les Etats-majors espagnol et français, disposant d'une armée nombreuse et d'un armement moderne, n'avait, en effet, à aucun moment, imaginé que leurs troupes allaient être confrontées, à la localité de Laglat, à des résistants aux effectifs réduits et peu armés, mais décidés à lutter avec abnégation et ténacité pour la défense de l'unité du pays.
Cette bataille importante permet de donner un éclairage sur l'une des épopées de la lutte inscrites en lettres d'or dans les annales de la résistance nationale au même titre que les autres batailles menées dans différentes régions du Royaume.
A 270 km de Dakhla, au sud du Maroc se trouve la ville d'Aousserd. C'est dans ce lieu du Sud qu'une découverte vient d'y être faite ces dernières années. Il s'agirait de la découverte de quelques tombes anciennes qui datent de 15.000 ans. Cependant, selon l'archéologue Abdeslam Mekdad, cette datation est presque impossible. « Au Maroc les plus vielles tombes qui ont été découvertes ne datent pas plus de 4000 ans » déclare t-il. Selon lui concernant cette trouvaille à Aousserd, il s'agirait probablement de monuments funéraires à antennes. En terme archéologique, ces derniers sont aussi appelés des tumulus à antennes. Cela signifie également une élévation de terrain formée par l'accumulation de terres ou de pierres au-dessus d'une sépulture, datant de l'âge du bronze. Cette construction a une forme tumulaire. En dessous de la pierre, on trouve une chambre funéraire construite à partir de dalles. Dans cette chambre funéraire se trouve les squelettes humains couverts de pierre. A cette tombe, on associe deux antennes mis en place à partir de plusieurs dalles de pierre. A première vue cela ressemble à quelqu'un qui tends les bras. Cette technique est selon Abdeslam Mekdad, en étroite simulation avec un rituel ancien intégré dans la protohistoire. Cette période date de 2000 ans av J.C, c'est-à dire le deuxième millénaire. Par ailleurs, il faudrait faire des fouilles archéologiques sur place pour pouvoir déterminer la date précise de ces monuments. Aussi, ces fouilles permettront de comprendre la position historique de ces tombes funéraires. Concrétement, la fouille doit se réaliser de manière très minutieuse. En effet, il ne faudrait pas détériorer toute trace du monument qui permettrait d'élaborer les éléments de la datation. Concernant cette découverte d'Aousserd, les fouilles archéologiques n'ont pas encore commencé. Il faudrait attendre la constitution d'une équipe d'archéologues et d'anthropologues. Dans une première étape, les chercheurs vont s'atteler à d'étudier comment la tombe a été construite. Après une fouille minutieuse, les chercheurs devraient arriver à la chambre funéraire. C'est de cette manière qu'ils pourraient comprendre la position historique des sépultures. Une fois arrivé à la chambre funéraire, les anthropologues vont étudier la position du squelette. Dans la chambre funéraire, c'est tout un monde qui est offert à la découverte et à la surprise des archéologues. Généralement, les chercheurs retrouvent des assiettes, des bijoux... Cela permet de reconstituer la vie des gens de l'époque. La vie mais aussi leur rituel et leurs traditions. C'est une richesse pour le pays de savoir qu'il existait à un moment de l'histoire une ancienne civilisation terrestre. Selon M. Mekdad, pendant le deuxième millénaire, des offrandes étaient offerts aux morts pour combattre les esprits. C'est pour cela qu'on retrouve tout autour des tombes des bijoux, des vases et d'autres objets de valeurs. Cette découverte d'Aousserd concerne deux nécropoles dans lesquelles on aurait trouvé une trentaine ou une quarantaine de monuments intacts. Ces derniers n'ont pas été pillés et sont bien conservés. Selon Abdesslam Mekdad les monuments qui sont découverts au Maroc sont souvent bien conservés. Générallement, ces monuments sont exposés au pillage mais pour lutter contre cela, les chercheurs essaient de sensibiliser la population avoisinante, car le ministère de la culture ne peut pas mettre des gardiens partout. En outre, les archélogues essaient de travailler avec les autorités locales pour assurer la garde. La prochaine étape pour Aousserd, sera bien évidemment la constitution d'une équipe de chercheurs , anthropologues et archéologues pour effectuer des fouilles. Le ministère de la culture qui finance, devra lancer une campagne pour fouiller 4 ou 5 monuments.