Les participants à une rencontre, organisée dimanche à Porto (Nord du Portugal) sur la question du Sahara marocain, ont appelé le gouvernement et les acteurs de la société civile portugais à intervenir pour mettre un terme aux violations graves des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf, en territoire algérien.
Au cours de cette rencontre initiée par l'Association des immigrés marocains et de l'amitié luso-arabe "Assalam", les intervenants ont appelé les responsables et acteurs civils portugais à se rendre dans les camps de Tindouf pour constater de visu le calvaire qu'endurent les marocains séquestrés et les souffrances et humiliations dont ils pâtissent en violation flagrante des règles les plus élémentaires du droit international humanitaire, indique lundi un communiqué de l'association.
Ils ont également appelé la société civile portugaise et la communauté internationale à faire pression sur l'Algérie pour que cessent les exactions commises dans les camps de Tindouf.
Les participants ont aussi dénoncé le détournement de l'aide humanitaire destinée aux populations des camps, affirmant que l'Algérie doit assumer ses responsabilités permettant notamment au Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) de recenser et de protéger les séquestrés.
Ils ont de même souligné la nécessité d'une intervention urgente de la communauté internationale pour lever le siège imposé aux populations séquestrées dans les camps, tout en dénonçant l'instrumentalisation de la question des droits de l'Homme par l'Algérie et le +polisario+.
Isolée diplomatiquement sur la scène internationale en raison de sa position contre-productive sur le dossier du Sahara, l'Algérie veut revenir à la charge en instrumentalisant la question des droits de l'Homme, ont souligné les participants qui ont dénoncé les manÂœuvres de l'Algérie pour saper le processus de construction d'un Maghreb fort, unifié et solidaire.
Les intervenants n'ont pas manqué également de saluer le plan d'autonomie proposé par le Maroc, faisant remarquer que "cette initiative sérieuse et courageuse" offre une "occasion historique" pour parvenir à un règlement définitif de la question du Sahara dans le cadre de la souveraineté marocaine.
Ils ont également affirmé que l'initiative d'autonomie des provinces du sud, qui bénéficie du soutien de la communauté internationale, a le grand mérite de permettre à l'ensemble des citoyens de la région de gérer eux-mêmes leurs propres affaires de manière démocratique.
Ils ont également appelé la société civile portugaise et la communauté internationale à faire pression sur l'Algérie pour que cessent les exactions commises dans les camps de Tindouf.
Les participants ont aussi dénoncé le détournement de l'aide humanitaire destinée aux populations des camps, affirmant que l'Algérie doit assumer ses responsabilités permettant notamment au Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) de recenser et de protéger les séquestrés.
Ils ont de même souligné la nécessité d'une intervention urgente de la communauté internationale pour lever le siège imposé aux populations séquestrées dans les camps, tout en dénonçant l'instrumentalisation de la question des droits de l'Homme par l'Algérie et le +polisario+.
Isolée diplomatiquement sur la scène internationale en raison de sa position contre-productive sur le dossier du Sahara, l'Algérie veut revenir à la charge en instrumentalisant la question des droits de l'Homme, ont souligné les participants qui ont dénoncé les manÂœuvres de l'Algérie pour saper le processus de construction d'un Maghreb fort, unifié et solidaire.
Les intervenants n'ont pas manqué également de saluer le plan d'autonomie proposé par le Maroc, faisant remarquer que "cette initiative sérieuse et courageuse" offre une "occasion historique" pour parvenir à un règlement définitif de la question du Sahara dans le cadre de la souveraineté marocaine.
Ils ont également affirmé que l'initiative d'autonomie des provinces du sud, qui bénéficie du soutien de la communauté internationale, a le grand mérite de permettre à l'ensemble des citoyens de la région de gérer eux-mêmes leurs propres affaires de manière démocratique.