Une lecture exhaustive des informations publiées par cette agence internationale suffit pour s'apercevoir du complot ourdi contre les causes marocaines par cette agence, dont la ligne éditoriale verse dans la déformation
volontaire, la falsification des faits et les mensonges dans certains cas, voire le mutisme, lorsque le devoir professionnel exige que soient relatées avec fidélité les nombreuses réalisations accomplies par le Maroc dans les domaines politique, économique, social et des droits de l'homme. Il y va également d'autres questions dont l'importance va au-delà de la simple sphère nationale et qui trouvent écho chez tous les médias internationaux à l'exception de l'AFP.
N'est-il pas du devoir de la rédaction centrale de l'AFP de s'assurer de la véracité des informations avant leur diffusion ? Ou s'agit-il là d'une règle professionnelle qui ne s'applique pas aux informations intéressant le Maroc ?
Dernièrement, l'agence AFP a feint d'oublier de publier des informations sur l'arrestation et les supplices infligés à Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud par le "polisario" sur le territoire algérien, en représailles à sa position favorable au plan d'autonomie proposé par le Maroc pour un règlement définitif du différend régional artificiel autour du Sahara.
Elle a de même fermé les yeux sur l'interdiction faite par les autorités algériennes aux père et frère de Mustapha Salma pour se rendre dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien, en vue de rendre visite à l'épouse et aux enfants du militant sahraoui.
Cette interdiction ne constitue-t-elle pas une violation à un des droits humanitaires garanti par les chartes internationales ? Et pourquoi l'AFP n'a pas évoqué les souffrances endurées par un octogénaire à l'aéroport d'Alger qui est à un jet de pierre de son bureau dans la capitale algérienne?
Tout récemment encore, et lors de la visite de M. Christopher Ross, envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara, le chef des séparatistes, le dénommé "Mohamed Abdelaziz" a été promu par l'AFP au rang de "président de la fantomatique RASD", une république qui n'existe nulle part sur la carte du monde, ne serait que dans l'imaginaire de faiseurs de mythes et de chimères et ce en violation du droit international et des résolutions onusiennes.
Il est permis en effet de constater que ces pratiques de l'Agence AFP, guidée par des éléments intrus dans son bureau à Alger, ainsi que celles auxquelles recourt l'APS pour dénigrer quotidiennement le Maroc ne diffèrent en rien de celles de certains cercles connus dans les médias espagnols qui font
un fonds de commerce de leur conscience professionnelle pour afficher leur hostilité au Maroc.
Nul doute que cette animosité suspecte est due au fait que le bureau de l'AFP à Alger ne jouit d'aucune liberté de manœuvre, ni d'un quelconque droit d'investigation pour aller à la recherche de l'information exacte. Des lignes rouges l'en empêchent surtout lorsqu'il s'agit du Maroc et de la question du Sahara marocain.
Du fait, AFP-Alger se contente des mêmes informations colportées par l'APS et l'autre agence fictive. Comment dès lors, cette grande agence professionnelle se permet-elle de se laisser entrainer dans la foulée de l'APS et sa compagne agence fantôme?
Au cas contraire, il serait permis de s'interroger pourquoi elle n'a pas dit mot de l'arrestation par les services de sécurité algérienne de deux journalistes marocains à l'aéroport de Tindouf, au sud de l'Algérie, alors qu'ils devaient couvrir l'arrivée de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud de Smara aux camps de Tindouf ?
Au cas contraire, il serait permis de s'interroger pourquoi elle n'a pas dit mot de l'arrestation par les services de sécurité algérienne de deux journalistes marocains à l'aéroport de Tindouf, au sud de l'Algérie, alors qu'ils devaient couvrir l'arrivée de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud de Smara aux camps de Tindouf?
Autre attitude qui soulève interrogation et indignation: Pourquoi l'AFP n'a accordé aucun intérêt à l'interdiction de journalistes marocains empêchés, récemment, par les autorités espagnoles d'entrer à Sebta et Melilia pour couvrir le mouvement de protestation sociale qui s'est déclenché dans les deux présides occupés.
N'est-il pas du devoir professionnel de l'AFP d'informer sur ce qu'ont enduré ces journalistes victimes d'insultes et d'agressions verbales par la sécurité espagnole?
Autant de manquements de l'agence aux règles et pratiques de la profession qui consistent en la mission d'éclairer l'opinion publique et non le contraire.
Les exemples de partialité et de parti pris de l'AFP sont nombreux: la dernière en date est la couverture des événements de Laâyoune survenus lundi dernier.
Alors que ces événements, à caractère purement social, ont été gérés dans la discipline et le respect de la loi, comme en ont témoigné de nombreux médias internationaux, l'AFP, et particulièrement son bureau d'Alger, a vu autre chose dans ces événements, se rangeant ainsi du côté de la meute des médias anti-marocains avec à leur tête l'APS et certains médias espagnols dont ''El Mundo'' qui a amplifié le bilan des incidents de Laâyoune prétendant que 19 personnes ont trouvé la mort et que des centaines de corps non identifiés jonchaient les rues de la ville.
Ces informations relèvent d'une piètre fiction qui n'est colportée que par les ennemis du Maroc mus par une haine viscérale.
Le fait de dire qu'une lecture des informations diffusées sur le Maroc par l'Agence de presse algérienne ne différent guère de celles diffusées par l'AFP ne relève point du hasard. Cette dernière a diffusé vendredi matin "une information" (citant ses sources préférées auprès du polisario), faisant état de dizaines de morts et de 4500 blessés, soit la même information diffusée par l'agence de presse algérienne!!
Comment l'AFP ne s'est elle pas rendue compte qu'elle avait diffusé, jeudi soir, une information selon laquelle quatre personnes ont été blésées dont l'une a rendu l'âme ? Comme se fait-il que ce chiffre soit multiplié, le lendemain, par mille selon une information diffusée par son bureau à Alger, alors que le nombre des personnes se trouvant au campement de Gdeim Izik au moment de l'intervention des forces de l'ordre pour libérer les personnes âgées, les femmes et les enfants, ne dépassait guère les 900 âmes.
L'unique et réel bilan est celui annoncé par les autorités marocaines: dix morts parmi les forces de l'ordre (forces auxiliaires, gendarmerie royale, protection civile). Des martyrs morts pour défendre la sécurité et la sûreté des citoyens et l'intégrité nationale.
Une enquête judiciaire a d'ailleurs été ouverte pour définir les circonstances de la mort d'une personne décédée après avoir été fauchée par un véhicule lors des incidents.
Pourquoi l'AFP a brillé par son mutisme lorsque des citoyens marocains ont été lâchement agressés par des manifestants pro-polisario lors des actes de vandalisme et des attaques commis contre les représentations diplomatiques et consulaires du Maroc en Espagne?
Le Maroc, qui avance d'un pas sûr sur la voie de la consécration d'un modèle unique dans la région, se construit sur les bases solides de la démocratie, de l'Etat de Droit, des droits humains et de l'égalité.
Il est sur la voie de la consécration du progrès socio-économique à travers de grands projets structurants et des chantiers de réforme politique, en premier lieu le projet de régionalisation avancée qui concernera en premier lieu les provinces du sud du Royaume.
Le Maroc s'inscrit dans la modernité et la dynamique et ce en phase avec l'évolution dans le monde pour asseoir sa présence sur la scène internationale.
Et si l'AFP choisit de passer sous silence ces avancées, de se livrer à des comptes-rendus tendancieux et de diffuser des informations sciemment orientées, elle ne fait que confirmer clairement son parti-pris pour des milieux hostiles au Maroc qui obéissent à des agendas politiques déterminés.
Elle en assume ainsi l'entière responsabilité aux plans professionnel et éthique.
volontaire, la falsification des faits et les mensonges dans certains cas, voire le mutisme, lorsque le devoir professionnel exige que soient relatées avec fidélité les nombreuses réalisations accomplies par le Maroc dans les domaines politique, économique, social et des droits de l'homme. Il y va également d'autres questions dont l'importance va au-delà de la simple sphère nationale et qui trouvent écho chez tous les médias internationaux à l'exception de l'AFP.
N'est-il pas du devoir de la rédaction centrale de l'AFP de s'assurer de la véracité des informations avant leur diffusion ? Ou s'agit-il là d'une règle professionnelle qui ne s'applique pas aux informations intéressant le Maroc ?
Dernièrement, l'agence AFP a feint d'oublier de publier des informations sur l'arrestation et les supplices infligés à Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud par le "polisario" sur le territoire algérien, en représailles à sa position favorable au plan d'autonomie proposé par le Maroc pour un règlement définitif du différend régional artificiel autour du Sahara.
Elle a de même fermé les yeux sur l'interdiction faite par les autorités algériennes aux père et frère de Mustapha Salma pour se rendre dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien, en vue de rendre visite à l'épouse et aux enfants du militant sahraoui.
Cette interdiction ne constitue-t-elle pas une violation à un des droits humanitaires garanti par les chartes internationales ? Et pourquoi l'AFP n'a pas évoqué les souffrances endurées par un octogénaire à l'aéroport d'Alger qui est à un jet de pierre de son bureau dans la capitale algérienne?
Tout récemment encore, et lors de la visite de M. Christopher Ross, envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara, le chef des séparatistes, le dénommé "Mohamed Abdelaziz" a été promu par l'AFP au rang de "président de la fantomatique RASD", une république qui n'existe nulle part sur la carte du monde, ne serait que dans l'imaginaire de faiseurs de mythes et de chimères et ce en violation du droit international et des résolutions onusiennes.
Il est permis en effet de constater que ces pratiques de l'Agence AFP, guidée par des éléments intrus dans son bureau à Alger, ainsi que celles auxquelles recourt l'APS pour dénigrer quotidiennement le Maroc ne diffèrent en rien de celles de certains cercles connus dans les médias espagnols qui font
un fonds de commerce de leur conscience professionnelle pour afficher leur hostilité au Maroc.
Nul doute que cette animosité suspecte est due au fait que le bureau de l'AFP à Alger ne jouit d'aucune liberté de manœuvre, ni d'un quelconque droit d'investigation pour aller à la recherche de l'information exacte. Des lignes rouges l'en empêchent surtout lorsqu'il s'agit du Maroc et de la question du Sahara marocain.
Du fait, AFP-Alger se contente des mêmes informations colportées par l'APS et l'autre agence fictive. Comment dès lors, cette grande agence professionnelle se permet-elle de se laisser entrainer dans la foulée de l'APS et sa compagne agence fantôme?
Au cas contraire, il serait permis de s'interroger pourquoi elle n'a pas dit mot de l'arrestation par les services de sécurité algérienne de deux journalistes marocains à l'aéroport de Tindouf, au sud de l'Algérie, alors qu'ils devaient couvrir l'arrivée de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud de Smara aux camps de Tindouf ?
Au cas contraire, il serait permis de s'interroger pourquoi elle n'a pas dit mot de l'arrestation par les services de sécurité algérienne de deux journalistes marocains à l'aéroport de Tindouf, au sud de l'Algérie, alors qu'ils devaient couvrir l'arrivée de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud de Smara aux camps de Tindouf?
Autre attitude qui soulève interrogation et indignation: Pourquoi l'AFP n'a accordé aucun intérêt à l'interdiction de journalistes marocains empêchés, récemment, par les autorités espagnoles d'entrer à Sebta et Melilia pour couvrir le mouvement de protestation sociale qui s'est déclenché dans les deux présides occupés.
N'est-il pas du devoir professionnel de l'AFP d'informer sur ce qu'ont enduré ces journalistes victimes d'insultes et d'agressions verbales par la sécurité espagnole?
Autant de manquements de l'agence aux règles et pratiques de la profession qui consistent en la mission d'éclairer l'opinion publique et non le contraire.
Les exemples de partialité et de parti pris de l'AFP sont nombreux: la dernière en date est la couverture des événements de Laâyoune survenus lundi dernier.
Alors que ces événements, à caractère purement social, ont été gérés dans la discipline et le respect de la loi, comme en ont témoigné de nombreux médias internationaux, l'AFP, et particulièrement son bureau d'Alger, a vu autre chose dans ces événements, se rangeant ainsi du côté de la meute des médias anti-marocains avec à leur tête l'APS et certains médias espagnols dont ''El Mundo'' qui a amplifié le bilan des incidents de Laâyoune prétendant que 19 personnes ont trouvé la mort et que des centaines de corps non identifiés jonchaient les rues de la ville.
Ces informations relèvent d'une piètre fiction qui n'est colportée que par les ennemis du Maroc mus par une haine viscérale.
Le fait de dire qu'une lecture des informations diffusées sur le Maroc par l'Agence de presse algérienne ne différent guère de celles diffusées par l'AFP ne relève point du hasard. Cette dernière a diffusé vendredi matin "une information" (citant ses sources préférées auprès du polisario), faisant état de dizaines de morts et de 4500 blessés, soit la même information diffusée par l'agence de presse algérienne!!
Comment l'AFP ne s'est elle pas rendue compte qu'elle avait diffusé, jeudi soir, une information selon laquelle quatre personnes ont été blésées dont l'une a rendu l'âme ? Comme se fait-il que ce chiffre soit multiplié, le lendemain, par mille selon une information diffusée par son bureau à Alger, alors que le nombre des personnes se trouvant au campement de Gdeim Izik au moment de l'intervention des forces de l'ordre pour libérer les personnes âgées, les femmes et les enfants, ne dépassait guère les 900 âmes.
L'unique et réel bilan est celui annoncé par les autorités marocaines: dix morts parmi les forces de l'ordre (forces auxiliaires, gendarmerie royale, protection civile). Des martyrs morts pour défendre la sécurité et la sûreté des citoyens et l'intégrité nationale.
Une enquête judiciaire a d'ailleurs été ouverte pour définir les circonstances de la mort d'une personne décédée après avoir été fauchée par un véhicule lors des incidents.
Pourquoi l'AFP a brillé par son mutisme lorsque des citoyens marocains ont été lâchement agressés par des manifestants pro-polisario lors des actes de vandalisme et des attaques commis contre les représentations diplomatiques et consulaires du Maroc en Espagne?
Le Maroc, qui avance d'un pas sûr sur la voie de la consécration d'un modèle unique dans la région, se construit sur les bases solides de la démocratie, de l'Etat de Droit, des droits humains et de l'égalité.
Il est sur la voie de la consécration du progrès socio-économique à travers de grands projets structurants et des chantiers de réforme politique, en premier lieu le projet de régionalisation avancée qui concernera en premier lieu les provinces du sud du Royaume.
Le Maroc s'inscrit dans la modernité et la dynamique et ce en phase avec l'évolution dans le monde pour asseoir sa présence sur la scène internationale.
Et si l'AFP choisit de passer sous silence ces avancées, de se livrer à des comptes-rendus tendancieux et de diffuser des informations sciemment orientées, elle ne fait que confirmer clairement son parti-pris pour des milieux hostiles au Maroc qui obéissent à des agendas politiques déterminés.
Elle en assume ainsi l'entière responsabilité aux plans professionnel et éthique.