Selon le journal arabophone algérien "Al Dzaraïr Times", les concertations se sont déroulées au Centre principal militaire d'investigation (CPMI) situé sur la base de Ben Aknoun, qui dépendent directement du tout-puissant Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS).

L'Algérie reproche, à Ould Abdel Aziz, son soutien au plan marocain sur le Sahara. Lors d'une rencontre récente en Libye, le président Bouteflika proposait une formule concurrente à son homologue de Mauritanie mais ce dernier déclinait l'offre, jugée pourtant "généreuse et équitable" par les algériens.
Le refus a été considéré comme un "impardonnable affront" par les hauts responsables des renseignements algériens ; ils ont donc "juré la perte du chef de l'État mauritanien, par tous les moyens", selon l'expression de l'un d'entre eux, cité dans l'article de "Al Dzaraïr Times". Désormais, le projet bénéficierait du concours indispensable d'une bonne partie de l'opposition mauritanienne.
Source : taqadoumy.